Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains en sortant
les torchons de la corbeille à linge (sale) pour lire ce genre d’article :
« "Julia
a été impériale, un vrai roc" : découvrez la réaction de l’épouse de
Benjamin Griveaux après la diffusion de la sextape. »
Ça m’a rappelé une vieille blague. Vers 1900, à la « belle
époque », un premier ministre est attablé au Fouquet’s avec son épouse quand
une jeune femme vient lui faire un bisou sur le front en disant :
- Bonjour biquet !
- C’est qui celle-là, demande l’épouse ?
- C’est ma maitresse, répond le premier ministre
Outrée, la légitime manque de s’étouffer et déclare :
- Je divorce
- Si tu veux, dit son mari, mais alors, finie la
belle vie, les domestiques, la tralala, l’opéra et les belles robes
A ce moment-là, l’épouse regarde vers le fond de la salle et
demande à son mari :
- Ce n’est pas « ton » ministre des
finances, là-bas, qui nous fait des signes ?
- Si, c’est bien lui.
- Mais qui est la femme avec lui ?
- C’est sa maîtresse.
- La-nôtre est mieux.
La gentry parisienne n’a pas beaucoup changé, et elle ne se
limite pas à la faune LREM.