Bonjour, Thierry SALADIN
« Si vous saviez le nombre de gens qui tout au long de ma vie m’ont répondu oralement ou par écrit que ces questions (...) n’étaient pas la priorité »
Vous avez raison.
Ce genre de réponse, pas seulement pour les questions linguistiques, est en effet très irritant car cela sous-entend que seules les questions « prioritaires » — lesquelles, d’ailleurs ? — devraient être abordées.
Cela n’a aucun sens, la société étant constituée de domaines très divers qui, tous, ont une importance, fût-ce aux yeux d’une minorité de personnes. Dès lors, personne ne peut s’ériger en juge habilité à décider arbitrairement ce qui est important, et ce qui ne l’est pas.
Bien à vous !