Bonjour, Olivier
« fébrilité », oui, « panique », certainement pas. Cela dit, l’« inquiétude » est réelle dans la camp macroniste où l’on craint en effet de ne pas disposer de la majorité absolue, synonyme de mainmise totale sur votes législatifs.
Une hypothèse qui explique pourquoi « les républicains ont décidé de ne pas donner de consignes de vote si leur candidat était écarté du second tour ».
Cette posture augmente en effet de facto les chances de victoire locale de candidats opposés à la macronie. Ce qui, dans une assemblée où Macron ne disposerait que d’une majorité relative donnerait aux élus LR-UDI un pouvoir d’arbitrage sur de nombreux textes.
CQFD !