L’auteur peut bien agiter ses bras et se tordre les mains, elle n’y pourra rien. Nous sommes tous devenus des consommateurs, même (et surtout) elle qui ne cesse de traîner dans les lieux de débauche mercantile que sont les supermarchés. Tant qu’il y aura des biens à acheter et assez d’argent pour les acheter, rien ne changera. Même les religions, qu’on imaginait naïvement imperméables au consumérisme en prônant avant tout la spiritualité, se sont mises à la vente de produits divers, allant de petites croix aux biscuits, fromages et bougies parfumées. Lourdes est devenu un gros business florissant merci bien...
Seule une crise grave et un rationnement imposé feront changer les choses. Temporairement...