Félicitations à l’auteur pour cet article profond et argumenté.
On sent la recherche développée sur la distinction « anglais / langue internationale ».
La considération de la langue internationale d’un code est intéressante et originale (du moins pour moi), mais je note que la frontière est ténue entre ce code et une vraie langue ; en effet, lorsque j’étais en séjour à Vancouver, au bout de 2 semaines je me suis rendu compte que ma sémantique mentale était bel et bien anglaise : je ne me contentais pas de transcrire des phrases françaises en anglais, je les pensais en anglais. Le terme de code est-il le mieux approprié, n’y a-t-il pas autre chose derrière ?
Ne te laisse pas abattre par ces grincheux d’esperanteux.
(dsl pour le doublon)