A vrai dire, si Sarkozy n’était pas le président de la république, je m’en foutrais royalement. Seulement voilà, il l’est. Et ça implique que toutes ses décisions, déclarations, tous ses faits et gestes ont une incidence, directe ou indirecte, sur la vie des individus qui l’ont (ou pas, d’ailleurs) élu. Il est donc normal qu’on en parle. A fortiori si on est en profond désaccord avec ses décisions, déclarations, faits et gestes. A fortiori si ce monsieur sature tellement l’espace de communication qu’il n’y a plus rien d’autre... Alors quelque part, vous avez raison : on ne parle plus que de lui. Mais avouez qu’il le cherche bien...