Très intéressant !
Mais comment passer de manifestations de ce type : "Il y a un mécontentement diffus qui se traduit par une série d’actions individuelles : le refus des heures supplémentaires, l’absentéisme, les arrêts-maladie, le micro sabotage, le freinage à la production, voire le départ à la retraite anticipée." à des actions collectives visant au "mieux être" ?
(Citation tirée de "On est plus dans une forme de jacquerie du mouvement social")
Il y a un fossé entre les deux : ici le collectif, représenté dans l’article en lien par le syndicalisme, cède le pas à l’individuel.
Une tendance à l’individualisme qui semble irrésistible...