On imagine l’auteur rédigeant laborieusement son abécédaire... Bon, voilà la lettre H, qui vais-je donc pouvoir tailler ?
Et c’est dans ce fonctionnariat de la satire qu’il a jeté son dévolu sur Houellebecq, qu’il ne sait même pas lire, mais dont la notoriété et la médiatisation assurent à cet article un accueil minimum, sans trop d’indifférence, de la part du lectorat d’Agoravox .
Pitoyable.
Et au passage, dans un roman, ce que disent les personnages peut être différent de ce que pense l’auteur.