Il est cocasse de voir Sylvain Reboul, chantre du Oui à la constitution européenne et à son dogme de la « concurrence libre et non faussée », nous présenter sa volonté de réguler (donc fausser) la liberté de la concurrence...
Ce qui se passe aujourd’hui montre à quel point les Français ont eu raison de refuser de marquer dans le marbre d’une constitution un dogme aussi pervers.