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LecteurOisif 13 décembre 2008 21:19

Je trouve votre vision des choses un peu trop généralisée.
Et puis, qui mieux que les personnes depressives peuvent savoir ce qu’est la maladie ?
Moins on en sait plus on parle c’est étrange tout de même , vous ne trouvez pas ?

Les personnes chez qui ces médicaments auront marché qualifiront souvent leur dépression de "sévère"(réelle, percuasive, confirmée par le handicap généré).

En effet, des etudes a l’appui ont démontrés une éfficacité des antidepresseurs majoritaire pour les cas de dépréssion sévère.

Puisque le médicament agit au niveau moléculaire, il n’agit pas sur une tristesse simplement mais sur la maladie (avec tous les symptômes).

Le médicament n’aura donc pas d’éfficacité si la tristesse est uniquement dû à un mal-être et non pas à une réelle dépression.

Ont cite également,que beaucoup de personnes sont diagnostiquées dépressives à tord.
En effet, certaines personnes pour bénéficié de la médication ne remettent pas en question leur diagnostique, ils ne recherchent que l’effet sédatif de certains antidépresseurs pour atténuer leur stress. 
Cette catégorie de personne recherchent un soulagement à leur detresse personnelle, pas forcément en lien avec une dépression.

Il peut s’agir de personne vivants seules,
ou suceptibles de mal vivre leur quotidien.

Le médecin préfère prescrire en suivant un principe de précaution, il voit parfois peu ses patients et vit avec la peur de passer à côté d’une vrai dépression. D’ailleurs les laboratoires amplifie cette pression au soignant.

Le problème ne vient donc pas des laboratoires et médecins uniquement, il concerne l’ensemble de notre société qui surmédicalise le mal être, au déssaroi des personnes nécéssitantes.

Il est a rappellé que des personnes ayant vécu un ou plusieurs épisodes dépressifs caractérisés ont parfois des récidives.Il est fortement dommage de diagnostiqué a tord des personnes dépressives quand d’autres le sont réellement et dommageables pour les personnes réellement dépressives de se passer de molécules qui ,rappelez vous, n’ont pas toujours éxistées.

La depression est une maladie complexe et aucune molécule ne marche identiquement d’un patient à l’autre jusqu’a preuve du contraire.

Ne crachons pas sur des médicaments quand cela est nécessaire, ils ne rendent pas tout rose, ils ne rendent pas fous non plus, mais est ce mieux d’avoir une dépression que de se soigner ?
Je vous laisse y réfléchir à tête reposée...



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