Je confirme, ayant rencontré un étudiant danois parti à Paris et suivant un programme en grande majorité en anglais, il comprenait fort bien le français. Seul l’expression orale était encore basique.
Les études dites "scientifiques" sont les principales concernées par l’anglais.
Notamment le mathématicien.
Il faut être aveugle pour ne pas constater que publier un "paper" en français ne connaitra pas le même succès que de le publier en anglais dans une revue internationnale.
De plus, si le mathématicien veut se tenir à jour, il a intérêt à comprendre les articles écrits en anglais venant de Chypre, du Dannemark, d’Israël, d’Inde,...