« un système communautaire paralysé, arcbouté sur ses privilèges, incapable de sortir d’un mode de gestion bureaucratique à un mode de gestion démocratique faute de volonté, de modèle, d’instruments et de vision d’avenir. »
C’est le danger d’aujourd’hui et il est très grand. Il est à combattre, avant d’imaginer un autre danger qui n’en serait qu’une conséquence.
Le Non à la constitution a été une première étape indispendable pour échapper à ce danger, faisons maintenant en sorte que ce Non soit compris et accepté (ce qui est loin d’être fait), puis partons sur d’autres voies.
Ne vous en déplaise, le Non n’est pas dépassé, il reste fondateur. Pour la première fois, un « Stop » a été prononcé pour sortir de l’ornière.
Am.