@ L’auteur
Depuis environ 2004, j’avais remarqué la plutôt rapide émergence de cette culture vestimentaire "hip-hop" chez les adulescents et "bitch pop" chez les adulescentes de Montréal... Avec un regard plus amusé qu’autre chose car leurs porteurs le font surtout voire uniquement par instinct grégaire... Bref, des fashion victims en masse plus qu’autre chose.
En outre, les émeutiers et même la police anti-émeute montrélaises feraient doucement rigoler leurs homologues américains ou européens habitués à des degrés de tension sociale/raciale violence physique nettement plus élevés. Des émeutes qui, de surcroît, n’avaient que très peu de contours sociaux ou ethniques. Dès lors, je trouve dommage que la police montréalaise tombe aussi dans ce cliché socio-ethnique. Où est donc passé le sens de l’observation des flics montréalais ?
Merci pour cet article.
Amicalement