Exactement.
Et même au délà : dans un débat, 2 parties : ok.
Dans un procès, 2 parties, plus un juge, dit-on.
Le garant de la règle du jeu, si l’on peut dire. Non seulement ce rôle ne fut pas assumé, mais il a été distordu jusqu’à se confondre avec l’accusation.
On s’apercevra un jour que ce qui s’est passé (aux 2 audiences) est tout simplement inouï du point de vue du strict droit. Un cas d’école qui fera référence, à mon avis.
J’espère que la cassation saura garder indépendance et sérénité. Idéalement, il faudrait que Sarko saute d’ici-là.
Les débats pourraient enfin commencer. Il est évident que ses déclarations empêche la sérénité des débats, les juges n’aimant pas, en général, les sièges éjectables...
Et si la cassation est du même tonneau, on verra ce qu’en pense la cour européenne. L’histoire est en marche et rien n’arrête ça. Mais pendant ce temps là, Christine pleure.