Les avocats de parties civiles ont l’indécence d’évoquer la mémoire du préfet Erignac alors qu’à aucun moment, ils n’ont réagi aux nombreux éléments qui auraient pu permettre d’approcher la vérité. La vérité ne les concerne pas, la vérité ne les intéresse pas. Ils se contentent d’une justice bancale, sur le fond et la forme, d’une condamnation plus que douteuse et entachée d’innombrables tricheries.
Circulez, y’a rien à voir !!