Sans parler des boîtes privées.....
Si si possible d’être PEGC à 19 ans !! Et même pris en charge si réussite au concours des IPES...
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http://profseteleves.blogs.liberation.fr/silnyavaitqueleseleves/2009/03/dix -ans/comments/page/2/
d’un certain Renato
1967 en fin de première année de fac de sciences, je suis reçu aux IPES (donc trois années payées porf 1er échelon).
1970 Malgré les IPES ,collé au capes (pratiquement pas de postes au
concours !) Pas grave des postes partout de maître auxiliaire. Je suis
nommé à 10 km de chez moi. Directement 18 heures sans formation.
1976 Titularisé PEGC malgré ma maîtrise de sciences. Plus le temps de
préparer le Capes.Toujours mal payé mais je fais un boulot formidable !!
1984 Rio de Janeiro, lycée Français (sans le moindre piston, merci
l’informatique débutante) puis Buenos Aires (parfait).De bons rapports
d’inspection m’attirent des stagiaires (malgré mon manque de formation
initiale comme quoi...).
1992 Intégré certifié (Eh oui).
1994 Retour en France 4 ans de collège zep, grand souvenir. toujours
des stagiaires pour voir comment on peut quand même leur apprendre
quelque chose( je suis pas toujours très fier !!)
Puis grand Lycée de centre ville 8 ans pour en finir. 7ème échelon de la hors classe, rideau.
Prenons le cas d’un èlève avec
une année en avance, ce qui n’était pas si rare que ça à l’époque, dans
certaines matières comme maths physique.., avec les IPES en poche, un
« maître-aux » pouvait en terminale au lycée « formater » pour le bacc des
élèves plus âgés que lui..
Sans IUFM et tutti quanti.... Nos instits : concours d’entrée à l’EN
en quatrième puis un bacc allégé. Elles/ils dès 19 ans avait la
responsabilité d’une classe primaire. Les meilleurs se présentaient aux
IPES, des « sections_écuries » à fort pourcentage de réussite.... autre
grille de correction, autres TD, fuites de sujets... L’ EN manquait cruellement d’enseignants.