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Marc Viot idoine 18 juillet 2009 15:43

>Le communicateur analyse et accepte les représentations et stratégies de ses cibles (je comprend et j’accepte que l’expression cibles puisse choquer).

L’utilisation du mot « cible » ne me choque pas particulièrement, il me semble descriptif de la relation qu’il sous-entend « X vers Y », comme une flêche se dirigeant d’un point A vers un point B.

Ainsi, je dirais que de la façon dont vous présentez la PNL, j’entends : Même si cet acte peut être considéré comme inclus dans un échange de flêche généralisé, la volonté de lancer la flêche ne procède pas d’un acte interactif, mais d’une volonté individuelle où les besoins de la cible sont pris en compte dans une mesure circonscrite dès le départ (distance, taille, nature, etc ...).

Même si le travail du communicateur est je cite :

<d’être suffisamment emphatique et synchronisé avec ses cibles pour pouvoir agir sur les représentations et stratégies de celles-ci (de manière altruiste ou non)> et qu’il tente de répondre <effectivement à des besoins et les satisfaits d’une certaine façon (gagnant / gagnant)".>

Je comprend une certaine distanciation entre la fonction de « communicateur » et de la personne qui en assume le rôle.

--- Avant d’aller plus loin, j’aimerais être certain que les deux points que je traduis de votre intervention correspondent à votre interprétation. ---

>Lorsque j’évoque la notion de survie, je fais référence bien sûr à cet axiome de la PNL qui affirme qu’à la base de toutes actions il y a toujours une intention positive, (même chez les criminels).

Totalement d’accord sur ce point.

>Contrairement à ce qu’on pourrait croire c’est l’acquis qui déstructure.

Je ne sais pas qui est « on », mais je ne partage pas complètement cette façon de présenter les choses. Il me semble qu’il existe des acquisitions structurantes, d’autres destructurantes. Cependant je vous accorde que le franchissement de certaines frontières conceptuelles soit de nature destructurante.

>La découverte consciente de soi affranchi la personne humaine de beaucoup de servitudes.

Totalement d’accord sur ce point.

> Je me souviens de cette citation d’un personnage sympathique« Le jour ou l’homme aura été aussi loin que l’on puisse aller, aura découvert tout ce qu’il aura pu, il lui restera une chose à découvrir, c’est lui-même ».

C’est amusant, parce qu’il me semble que pendant des millénaires LA grande priorité, fut justement cette quête personnelle.

Alors, je vous le demande : Pourquoi attendre ?


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