Comme avec l’Equateur, la Bolivie ou l’Iran, le Venezuela subit les foudres des chiens de gardes des néoconservateurs, ultra-libéraux et de leur presse et ONG aux ordres. Pour eux un Etat qui reprend en main ses ressources naturels contre les grandes multinationales, qui se défait du dollar et qui s’émancipe politiquement de la suprématie des US est considéré comme un ennemi à broyer.
La propagande et la démocratie ne sont pas forcément dans le camp ou on croit qu’ils se trouvent.