Bizarrement, il ne s’est pas opposé à la réforme de la constitution - réforme qui été une des plus grosses manoeuvres dans notre République depuis bien longtemps. C’est là que je trouve que Debré mélange peut-être « revanche » ou « haine » avec « principes de la Répulique ». Car, ayant passé en revue certains lois bloquées par le Conseil, on remarque qu’il ne s’est pas opposé à de « grosses » réformes mais plutot à des textes médiatisées... Cela, dans l’optique de contrer Sarkozy ?