Chère Lisa,
J’ai pris grand plaisir à lire ce texte. Nous serions donc faits comme des rats. A nous déprimer lorsque nous sommes seuls, à nous jeter sur les parois de la cage pour nous électrocuter plus vite ... ou bien à nous entretuer lorsque nous sommes plusieurs. Le plus fort gagne, il agite ses pattes et fait vibrer ses moustaches d’aise, le salaud ;-(
Optimiste, je vois cependant une solution
Il nous faut soudoyer les chercheurs, c’est clair. Ainsi, ils nous font sortir de la cage, coupent l’électricité, nous filent pour nous requinquer des bons morceaux de Comté (c’est plein de calcium), du bon chocolat noir (c’est plein de magnésium) et hop, nous voilà partis, patte dans la patte, dans le grand monde.
Non mais, ils ne nous auront pas comme ça, ces ratiers !