cette histoire est une illustration de la difficulté à extrapoler des résultats d’études dites « épidémiologiques ». notamment par le fait qu’il faut être sûr qu’il n’existe qu’un seul facteur de différenciation entre les deux groupes étudiés.
Dans le cas présent il semblerait que des streptocoques aient joués un rôle déterminant.
Question à l’auteur : pas de streptocoque au Chili ? On peut être amené à supposer, mais je peux me tromper, que les chiliens avaient a peu de chose près les mêmes probabilités d’avoir ce genre d’infection non ? A partir de là il faudrait retirer les décès liés à cette bactérie des deux populations et recalculer le facteur de mortalité.
Mais tout cela est tellement loin de l’agitation médiatique dans notre règne de l’instant ; communiquer sur des chiffres qui ne veulent rien dire est devenue monaie courante.