à Gabriel : l’affirmation sans preuve de l’existence de « dieu » est la définition même d’un dogme. Toute croyance ne repose pas forcément sur un dogme, mais toute foi, si. Par définition du mot foi, selon ses créateurs.
Ensuite, vous inverser la charge de la preuve : ce n’est pas aux non-croyants de prouver que ce soit, c’est aux cléricaux de prouver ce qu’ils racontent. C’est un argument éculé des religions, un peu court.
En revanche, je ne peux que vous approuver lorsque vous dites que " Le doute incite à la
recherche et à la tolérance. La recherche et la tolérance nous conduisent à un
début de connaissance". C’est justement parce que je suis d’accord avec vous sur ce point que l’absence de doute et de tolérance inhérent aux dogmes religieux a fait l’objet de mon article, ce qui semble vous avoir échappé ?