Vous pointez du doigt le paradoxe de l’attitude humaine moderne vis à vis de la nature : seul l’homme a le droit de vie ou de morts sur les autres espèces, tout autre prédateur doit être écarté ou éliminé.
C’est malheureusement faire fi de tout l’écosystème dont l’équilibre repose sur chacune de ses parties.