@
l’auteur et @ Jean-Pierre Llabrés
Je
ne vois pas bien la nécessité « d’en finir avec Dieu » et je ne suis
pas sûr que « le troisième millénaire sera agnostique ».
Je
crois au contraire que le nombre des « croyants », musulmans au moins, continue
de grandir. J’ai mis des guillemets à « croyants » car les
« musulmans » qui choisissent librement de l’être sont en fait très peu
nombreux. Et puisqu’ils sont toujours menacés de mort s’ils cessent « de l’être »
la logique veut que leur nombre continue d’augmenter.
Je
crois indispensable et urgent de vouloir en finir avec la CONCEPTION VIOLENTE
de Dieu. L’important, selon moi, c’est que ceux qui croient en Dieu cessent de
croire à sa volonté de violence, volonté que les responsables religieux -
Benoît XVI en tête - continuent de confirmer et d’enseigner. L’important c’est
que les responsables politiques exigent des responsables religieux - de Benoît
XVI en tout premier lieu – qu’ils débarrassent leur religion de sa conception
criminogène.