@ Monica
Je partage votre point de vue.
Je n’ai eu d’autre but par cet article que d’attirer l’attention sur les règles qui prévalent en démocratie, que l’adversaire plaise ou non.
Le titre de « Marianne » s’inscrit dans une logique de guerre civile.
Si guerre il y a en démocratie, elle se mène avec des moyens pacifiés : le débat, l’instauration de contre-pouvoir avec l’opposition et ses propositions, le vote, le respect de règles minimales de respect mutuel. Paul Villach