Très bonne critique de ce beau film, assez austère tout de même.
Je ne serais pas si dur que l’auteur ; je pense que la scène de « relâchement », le moment où ils écoutent « Le Lac des cygnes »et boivent un verre de vin, est une concession, ou un hommage à leur humanité : ils ne sont pas des dieux, j’ai envie de dire, ils ne sont pas des « machines ».