Je n’aime pas du tout la prose, les sous-entendus, de la prose de l’auteur. Force m’est néanmoins de constater que si un tel massacre avait existé, il aurait donné lieu à une opération de ’ maintenance ’ qui aurait nécessité de nombreux moyens, entre autres humains.
Et jamais personne n’aurait parlé ? Cela ne tient pas debout...
Ce fut très sale et édulcoré des deux côtés. Le mythe.