Coucou Cap’tain !
Le problème, et avec les yeux bien ouverts, c’est que c’est aussi des maux pour de plus en plus de gens.
Alors, certes, il y a la crise qui est mondiale et dont les banquiers, spéculateurs sans scrupules et autres traders sont principalement responsables. Mais lorsqu’on se retrouve avec un président qui soutient - ou se soumet, ou encore s’acoquine - à ces derniers et qui reconduit un gouvernement du même acabit, en y invitant, en plus, les pires sbires-lécheurs qui n’ont comme intérêt que le leur propre, il y a de quoi aligner les mots. Oui !
Parce que « Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes »