Le bon sens consisterait surtout à noter
- que les taux sur le marché monétaire sont trés bas mais supersoniques lorsqu’il s’agit d’un découvert ou d’un crédit revolving ( 18, 20 25 % ???)
- que les chiffres d’inflation réels, c’est à dire ce qui sort de la poche dans la vrai vie sont complètement masqués. Un seul coup d’oeil sur une feuille d’impôt vous montrera que toute structure ayant le pouvoir de contraindre n’hésite pas à imposer des augmentations de 10 à 200 % par an pour, elle, financer ses dépenses
- que beaucoup de biens communs ne peuvent plus être acquis qu’en s’endettant vu la divergence énorme et croissante entre revenus et coûts d’achats