mon pauvre yohan
si demain, ce que je ne vous souhaite pas, une nouvelle guerre (il y en a toujours de nouvelles) se déplaçait en France, et que plusieurs années après, il faille reconstruire le pays, je suis convaincu que vous serez le premier a appeler à l’aide ces immigrés que vous dénigrez.
j’ose seulement espérer que lorsqu’ils auront fini le boulot de reconstruction, vous aurez la bonne idée de les remercier, au lieu de faire comme vos ancètres : leur proposer la sortie.
alors ?