Le vrai problème, c’est la progression spectaculaire des abstentionnistes : 55% des électeurs pourraient bien se réserver le droit de s’exprimer autrement que par les urnes...
Avec une caractéristique assez inattendue : alors que le taux d’abstention est généralement plus faible au second tour, elle est ici en 2011, identique au premier et second tour : une volonté affirmée en quelque sorte.