Il est vrai que j’ai lu un peu vite, mais pour résumer ma position, cela correspond à dire que quoi qu’on en dise l’informatique libre ou pas, reste le fait d’écrire un gigantesque bouquin administratif, bouquin ayant besoin pour son évolution de distribution d’étiquettes genre code barres GS1 avec distributeurs largement accessibles, l’informatique doit passer par sa « révolution tel queliste » rimbaldienne ou mallarméenne en quelque sorte, et sortir de sa croyance en la syntaxe.