Alors l’argument « C’est pas de notre faute, c’est à cause de la crise » vaut son pesant d’or. En effet, si l’on inscrit l’équilibre budgétaire dans la constitution, comment qu’on fait à la prochaine crise (qui ne manquera pas d’arriver prochainement, vu comme c’est parti) ? Sachant bien sûr qu’une majeure partie de ce déficit a servi à renflouer les banques qui, sinon, se seraient cassées la gueule.
Franchement c’est le genre d’argument qu’un journaliste un peu intègre démonte en 2 temps 3 mouvements. Ah oui c’est vrai j’oubliais, journaliste et intègre, en France, c’est antinomique.