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Les gentils monstres n’existent pas. Une prophétie autoréalisatrice : effondrement systémique et simulation de pandémie

« Si l'industrie militaire a besoin de guerres, l'industrie pharmaceutique a besoin de maladies. »

« Les élites qui ont dupé le monde dans l'obéissance au Covid sont la manifestation anthropomorphique de l'automate capitaliste dont l'invisibilité est aussi rusée que celle du Virus lui-même. Et la nouveauté de notre époque est que la « société confinée » est le modèle qui garantit le mieux la reproductibilité de la machine capitaliste, quelle que soit sa destination dystopique.[i] »

 

Fabio Vighi, A Self-Fulfilling Prophecy : Systemic Collapse and Pandemic Simulation (LRAB), Août 2021)[ii]

 

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On ajoutera à ce procédé celui encore plus usé jusqu’à la corde du passeport intérieur, complément du passeport international, outil le plus achevé qui soit puisqu’il s’agit désormais d’un contrôle sanitaire et policier - technologiquement opérationnel et évolutif -, qui limite, régule, et peut même interdire indéfiniment jusqu’à l’explosion sociale, économique et politique qui y mettra fin, l’exercice de cette liberté fondamentale qui est celle de vivre, d’aller et venir librement.

Mais rien n’est perdu, loin s’en faut, car tout explose. Voilà qu’après celui du PM Castex le « pass sanitaire » Qr Code du président de la République lui-même a « fuité » sur les réseaux sociaux[iii].

Voilà encore que le gouvernement français est en train de créer l’agence Viginum dont la mission sera de « prévenir la propagation de fausses informations qui risqueraient de perturber le processus électoral français »[iv] et de contrer les attaques numériques venues de l’étranger.

Voilà ensuite que se profile une crise économique, financière, géopolitique, dont on ne peut pas encore mesurer l’ampleur et encore moins la violence, mais qui, dans une double manifestation aux origines différentes, risque fort d’être impitoyable au point de littéralement commencer par mettre au tapis en en révélant les faiblesses essentielles deux géants industriels et financiers dont les dirigeants politiques n’auront - comme d’habitude-, pas voulu voir et donc été incapables d’anticiper et comprendre les signaux d’alerte qui les menaçaient : Evergrande en Chine, Naval Group en France.

La situation est très simple : la volonté effrénée de tout maîtriser, tout contrôler en recourant aux mises en scène et procédés les plus complexes ou inimaginables qui soient se heurte à une résistance irréfragable.

Une machine rusée, impitoyable, antihumaine, se met en place. Peu importe. Elle finira finalement par casser, comme toujours, face à l’humain précisément, cet humain qui refuse de se laisser asservir. Les programmes, quels qu’ils soient, ont en effet ceci d’intéressant : ils ne se déroulent jamais comme prévu.

Comme le disait Martin Heidegger : « Tout fonctionne. C’est bien cela l’inquiétant, que ça fonctionne, et que le fonctionnement entraîne toujours un nouveau fonctionnement…[v] »

Nous donnons ici au Lecteur intéressé la traduction in extenso d’un article remarquable de M. Fabio Vighi[vi] qui m’a été signalé par Madame le Professeur Hélène-Clement-Pitiot (Université Cergy-Pontoise) que je remercie ici.

Comme nous le verrons, nous sommes bien au cœur d’une prophétie autoréalisatrice dont les moteurs ne sont rien d’autres que la conjonction de l’effondrement systémique et de la simulation d’une pandémie.

 

 

« Un an et demi après l'arrivée du Virus, certains ont peut-être commencé à se demander pourquoi les élites dirigeantes habituellement sans scrupules ont décidé de geler la machine mondiale à but lucratif face à un agent pathogène qui cible presque exclusivement les improductifs (les plus de 80 ans). Pourquoi tout ce zèle humanitaire ? Cui bono ? Seuls ceux qui ne connaissent pas les merveilleuses aventures de GloboCap peuvent se leurrer en pensant que le système a choisi de s'arrêter par compassion.

Soyons clairs dès le départ : les grands prédateurs du pétrole, des armes et des vaccins se moquent de l'humanité.

 

 

  1. Suivez l'argent

 

À l'époque pré-Covid, l'économie mondiale était au bord d'un autre effondrement colossal. Voici une brève chronique de la montée en pression :

 

Juin 2019 : Dans son rapport économique annuel -Annual Economic Report- , la Banque des règlements internationaux (BRI), basée en Suisse, la « banque centrale de toutes les banques centrales », tire la sonnette d'alarme internationale. Le document met en évidence « la surchauffe […] sur le marché des prêts à effet de levier », où « les normes de crédit se sont détériorées » et « les obligations de prêt garanti (CLO) ont augmenté – rappelant la forte augmentation des obligations de dette garantie [CDO] qui a amplifié la crise des subprimes [en 2008]. En termes simples, le ventre de l'industrie financière est à nouveau plein de déchets.

 

9 août 2019 : La BRI (Banque des Règlements Internationaux) publie un document de travail - working paper-, appelant à des « mesures de politique monétaire non conventionnelles » pour « protéger l'économie réelle d'une nouvelle détérioration des conditions financières ». Le document indique qu'en offrant « des crédits directs à l'économie » pendant une crise, les prêts de la banque centrale « peuvent remplacer les banques commerciales dans l'octroi de prêts aux entreprises ».

 

15 août 2019 : Blackrock Inc., le fonds d'investissement le plus puissant au monde (gérant environ 7 000 milliards de dollars de fonds d'actions et d'obligations), publie un livre blanc - white paper-, intitulé « Faire face au prochain ralentissement ». Essentiellement, le document demande à la Réserve fédérale américaine d'injecter des liquidités directement dans le système financier pour éviter « un ralentissement dramatique ». Encore une fois, le message est sans équivoque : « Une réponse sans précédent est nécessaire lorsque la politique monétaire est épuisée et que la politique budgétaire seule ne suffit pas. Cette réponse impliquera probablement « aller directement » : « trouver des moyens de mettre l'argent de la banque centrale directement entre les mains des dépensiers des secteurs public et privé » tout en évitant « l'hyperinflation. Les exemples incluent la République de Weimar dans les années 1920 ainsi que l'Argentine et le Zimbabwe plus récemment.

 

22-24 août 2019 : Les banquiers centraux du G7 se réunissent à Jackson Hole, dans le Wyoming, aux Etats-Unis, pour discuter du document de BlackRock ainsi que des mesures urgentes afin d’empêcher l'effondrement imminent. Selon les mots prémonitoires de James Bullard, le président de la Réserve fédérale de St Louis – prescient words of James Bullard -, : « Nous devons juste arrêter de penser que l'année prochaine les choses vont être normales. »

 

15-16 septembre 2019 : Le retournement est officiellement inauguré par une flambée soudaine des taux repo (de 2% à 10,5%). « Repo » est un raccourci pour « repurchase agreement », un contrat par lequel les fonds d'investissement prêtent de l'argent contre des actifs collatéraux (normalement des titres du Trésor). Au moment de l'échange, les opérateurs financiers (banques) s'engagent à racheter les actifs à un prix plus élevé, généralement du jour au lendemain. En bref, les pensions sont des prêts garantis à court terme. Ils sont la principale source de financement des traders sur la plupart des marchés, en particulier la galaxie des produits dérivés. Un manque de liquidité sur le marché des pensions peut avoir un effet domino dévastateur sur tous les principaux secteurs financiers.

 

17 septembre 2019 : La Fed commence le programme monétaire d'urgence, injectant des centaines de milliards de dollars par semaine à Wall Street, exécutant efficacement le plan de « passage direct » de BlackRock. (Sans surprise, en mars 2020, la Fed embauchera BlackRock - hire BlackRock-, pour gérer le plan de sauvetage en réponse à la « crise COVID-19 »).

 

19 septembre 2019 : Donald Trump signe le décret 13887 -l’Executive Order 13887-, établissant un groupe de travail national sur les vaccins contre la grippe dont l'objectif est d'élaborer un « plan national (plan) sur 5 ans pour promouvoir l'utilisation de technologies de fabrication de vaccins plus « agiles et évolutives » et accélérer le développement de vaccins qui protègent contre plusieurs ou tous les virus de la grippe. Il s'agit de contrer "une pandémie de grippe", qui, "contrairement à la grippe saisonnière […] a le potentiel de se propager rapidement dans le monde entier, d'infecter un plus grand nombre de personnes et de provoquer des taux élevés de maladie et de décès dans les populations dépourvues d'immunité préalable ». Comme quelqu'un l'a deviné - someone guessed -, la pandémie était imminente, alors qu'en Europe aussi des préparatifs étaient en cours (voir ici here et ici here).

 

18 octobre 2019 : À New York, une pandémie zoonotique mondiale est simulée lors de l'événement Event 201-, un exercice stratégique coordonné par le Johns Hopkins Biosecurity Center et la Fondation Bill et Melinda Gates.(Note : Succès inespéré, comme on a pu le constater…)

 

21-24 janvier 2020 : La réunion annuelle du Forum économique mondial- WEF annual meeting-, a lieu à Davos, en Suisse, où l'économie et les vaccinations sont discutées.

 

23 janvier 2020 : la Chine met en quarantaine Wuhan et d'autres villes de la province du Hubei.

 

11 mars 2020 : Le directeur général de l'OMS qualifie le Covid-19 de pandémie. Le reste appartient à l'histoire.

 

Relier les points est un exercice assez simple. Si nous le faisons, nous pourrons voir apparaître un schéma directeur bien défini, dont le résumé succinct se lit comme suit : les blocages et la suspension mondiale des transactions économiques visaient à 1) permettre à la Fed d'inonder les marchés financiers en difficulté avec de l'argent fraîchement imprimé tout en report de l'hyperinflation ; et 2) Introduire des programmes de vaccination de masse et des passeports de santé comme piliers d'un régime néo-féodal d'accumulation capitaliste. Comme nous le verrons, les deux objectifs se confondent.

 

En 2019, l'économie mondiale était en proie à la même maladie qui avait causé le resserrement du crédit de 2008. Le monde étouffait sous une montagne de dettes insoutenables. De nombreuses entreprises publiques ne pouvaient pas générer suffisamment de bénéfices pour couvrir les intérêts de leurs propres dettes et ne restaient à flot qu'en contractant de nouveaux emprunts. Les « entreprises zombies » - ‘Zombie companies’ -, (avec une faible rentabilité d'une année sur l'autre, un chiffre d'affaires en baisse, des marges réduites, des flux de trésorerie limités et un bilan fortement endetté) augmentaient partout. La débâcle du marché des pensions de septembre 2019 doit être replacée dans ce contexte économique fragile.

 

(Chacun sait que) lorsque l'air est saturé de matières inflammables toute étincelle peut provoquer l'explosion. Et dans le monde magique de la finance, car tout se tient, un « battement d'ailes de papillon » dans un certain secteur peut faire s'écrouler tout le château de cartes. (Je parlerais plutôt de détonateur ou d’étincelle imprudente). Sur les marchés financiers alimentés par des prêts bon marché, toute augmentation des taux d'intérêt est potentiellement cataclysmique pour les banques, les fonds spéculatifs, les fonds de pension et l'ensemble du marché des obligations d'État, car le coût d'emprunt augmente et les liquidités s'assèchent. C'est ce qui s'est passé avec la « repocalypse » de septembre 2019 : les taux d'intérêt ont grimpé à 10,5% en quelques heures, la panique a éclaté affectant les contrats à terme, les options, les devises et d'autres marchés où les commerçants parient en empruntant à des pensions. La seule façon de désamorcer la contagion était d'injecter autant de liquidités que nécessaire dans le système – comme des hélicoptères larguant des milliers de litres d'eau sur un feu de forêt. Entre septembre 2019 et mars 2020, la Fed a injecté plus de 9 000 milliards de dollars dans le système bancaire,- (more than $9 trillion)-, soit plus de 40 % du PIB américain.

 

Le discours dominant devrait donc être inversé : la bourse ne s'est pas effondrée (en mars 2020) car des blocages ont dû être imposés ; au contraire, des blocages ont dû être imposés parce que les marchés financiers s'effondraient. Avec les blocages, il y a eu la suspension des transactions commerciales, ce qui a drainé la demande de crédit et arrêté la contagion. En d'autres termes, la restructuration de l'architecture financière par une politique monétaire extraordinaire était subordonnée à l'arrêt du moteur de l'économie. Si l'énorme masse de liquidité injectée dans le secteur financier avait atteint des transactions sur le terrain, un tsunami monétaire aux conséquences catastrophiques aurait été déclenché.

 

Comme l'a affirmé l'économiste Ellen Brown – Cf. lien ci-après : as claimed by economist Ellen Brown-, il s'agissait d'un « autre plan de sauvetage », mais cette fois « sous le couvert d'un virus ». De même, John Titus et Catherine Austin Fitts - John Titus and Catherine Austin Fitts -, ont noté que la « baguette magique » de Covid-19 a permis à la Fed d'exécuter littéralement le plan de « passage direct » de BlackRock : elle a procédé à un achat sans précédent d'obligations d'État, tandis que, à une échelle infiniment plus petite, émettant également des « prêts COVID » soutenus par le gouvernement aux entreprises. En bref, seul un coma économique induit donnerait à la Fed la possibilité de désamorcer la bombe à retardement qui s'éternise dans le secteur financier. Filtrée par l'hystérie de masse, la banque centrale américaine a bouché les trous du marché des prêts interbancaires, évitant l'hyperinflation ainsi que le « Financial Stability Oversight Council » (l'agence fédérale de surveillance des risques financiers créée après l'effondrement de 2008), comme discuté ici- here. Cependant, le projet de "passer directement" devrait également être présenté comme une mesure désespérée, car il ne peut que prolonger l'agonie d'une économie mondiale de plus en plus otage de l'impression monétaire et de l'inflation artificielle des actifs financiers.

 

Au cœur de notre situation se trouve une impasse structurelle insurmontable. La financiarisation par l'endettement est la seule voie de fuite du capitalisme contemporain, la voie de secours inévitable pour un modèle reproducteur qui a atteint sa limite historique. Les capitaux se dirigent vers les marchés financiers parce que l'économie basée sur le travail est de moins en moins rentable. Comment en sommes-nous arrivés là ?

 

La réponse peut être résumée comme suit : 1. La mission de l'économie de générer de la plus-value est à la fois la volonté d'exploiter la force de travail et de l'expulser de la production. C'est ce que Marx appelait la « contradiction mouvante » du capitalisme [1]. Alors qu'elle constitue l'essence de notre mode de production, cette contradiction se retourne aujourd'hui contre elle, faisant de l'économie politique un mode de dévastation permanente. 2. La raison de ce retournement de situation est l'échec objectif de la dialectique travail-capital : l'accélération sans précédent de l'automatisation technologique depuis les années 1980 fait que plus de force de travail est éjectée de la production qu'elle n'en (ré)absorbe. La contraction du volume des salaires signifie que le pouvoir d'achat d'une partie croissante de la population mondiale est en baisse, avec comme conséquences inévitables l'endettement et la misère. 3. Comme moins de plus-value est produite, le capital recherche des rendements immédiats dans le secteur financier à effet de levier plutôt que dans l'économie réelle ou en investissant dans des secteurs socialement constructifs comme l'éducation, la recherche et les services publics.

 

En fin de compte, le changement de paradigme en cours est la condition nécessaire à la survie (dystopique) du capitalisme, qui n'est plus capable de se reproduire par le salariat de masse et l'utopie consumériste qui en découle. L'agenda pandémique a été dicté, en définitive, par l'implosion systémique : la baisse de rentabilité d'un mode de production que l'automatisation galopante rend obsolète. Pour cette raison immanente, le capitalisme est de plus en plus dépendant de la dette publique, des bas salaires, de la centralisation des richesses et du pouvoir, d'un état d'urgence permanent et des acrobaties financières.

 

Si nous « suivons l'argent », nous verrons que le blocus économique sournoisement attribué au Virus a obtenu des résultats loin d'être négligeables, non seulement en termes d'ingénierie sociale, mais aussi de prédation financière. J'en soulignerai rapidement quatre.

 

1) Comme prévu, cela a permis à la Fed de réorganiser le secteur financier en imprimant un flux continu de milliards de dollars à partir de rien ; 2) Elle a accéléré l'extinction des petites et moyennes entreprises, permettant aux grands groupes de monopoliser les flux commerciaux ; 3) Cela a encore fait baisser les salaires du travail et facilité des économies de capital importantes grâce au « travail intelligent » (ce qui est particulièrement intelligent pour ceux qui le mettent en œuvre ) ; 4) Cela a permis la croissance du commerce électronique, l'explosion de la Big Tech et la prolifération du pharma-dollar - qui comprend également l'industrie du plastique très décriée, produisant désormais des millions de nouveaux masques et gants chaque semaine, dont beaucoup finissent dans les océans (pour le plus grand bonheur des « green new dealers »). Rien qu'en 2020, la richesse des quelque 2 200 milliardaires de la planète a augmenté de 1 900 milliards de dollars - grew by $1.9 trillion-, une augmentation sans précédent historique. Tout cela grâce à un agent pathogène si mortel que, selon les données officielles, seuls 99,8% des infectés survivent (voir ici, here et ici here), la plupart sans ressentir aucun symptôme.

 

  1. Une autre manière de faire le capitalisme

 

Le motif économique du polar Covid doit être replacé dans un contexte plus large de transformation sociale. Si nous effleurons la surface du récit officiel, un scénario néo-féodal commence à prendre forme. Des masses de consommateurs de plus en plus improductifs sont enrégimentées et mises de côté, simplement parce que « M. Global » ne sait plus quoi en faire. Avec les sous-employés et les exclus, les classes moyennes appauvries sont désormais un problème à traiter avec le bâton des confinements, des couvre-feux, de la vaccination de masse, de la propagande et de la militarisation de la société, plutôt qu'avec la carotte du travail, de la consommation, de la participation. Démocratie et droits sociaux sont remplacés dans l'imaginaire collectif par les droits civiques des minorités et « des vacances bien méritées ».

 

Il est donc illusoire de croire que la finalité des confinements est thérapeutique et humanitaire. Quand le capital s'est-il jamais soucié du peuple ? L'indifférence et la misanthropie sont les traits typiques du capitalisme, dont la seule vraie passion est le profit, et le pouvoir qui l'accompagne. Aujourd'hui, la puissance capitaliste se résume aux noms des trois plus grands fonds d'investissement au monde : BlackRock, Vanguard et State Street Global Advisor. Ces géants, assis au centre d'une immense galaxie d'entités financières, gèrent une masse de valeur proche de la moitié du PIB mondial et sont des actionnaires majeurs dans environ 90 % des sociétés cotées. Autour d'eux gravitent des institutions transnationales comme le Fonds monétaire international, la Banque mondiale, le Forum économique mondial, la Commission trilatérale et la Banque des règlements internationaux, dont la fonction est de coordonner le consensus au sein de la constellation financière. Nous pouvons supposer sans risque que toutes les décisions stratégiques clés – économiques, politiques et militaires – sont au moins fortement influencées par ces élites. Ou voulons-nous croire que Virus les a pris par surprise ? Au contraire, le SARS-CoV-2 – qui, de l'aveu du CDC - CDC, (à lire impérativement) -, et de la Commission européenne - European Commission (à lire aussi) -, n'a jamais été isolé ni purifié – est le nom d'une arme spéciale de guerre psychologique qui a été déployée au moment où le besoin se faisait le plus sentir.

 

Pourquoi faire confiance à un méga cartel pharmaceutique (l'OMS/WHO) qui n'est pas en charge de la « santé publique », mais plutôt de commercialiser des produits privés dans le monde entier aux tarifs les plus rentables possibles ? Les problèmes de santé publique découlent des conditions de travail déplorables, d'une mauvaise alimentation, de la pollution de l'air, de l'eau et des aliments, et surtout de la pauvreté endémique ; pourtant, aucun de ces « agents pathogènes » ne figure sur la liste des préoccupations humanitaires de l'OMS. Les immenses conflits d'intérêts entre les prédateurs de l'industrie pharmaceutique, les agences médicales nationales et supranationales et les responsables politiques cyniques sont désormais un secret de polichinelle. Il n’est pas étonnant que le jour où le COVID-19 a été classé comme pandémie, le WEF, en collaboration avec l'OMS, a lancé la « Covid Action Platform » (lire ci-après) - Covid Action Platform-, une coalition de « protection de la vie » dirigée par plus de 1 000 des entreprises privées les plus puissantes du monde.

 

La seule chose qui compte pour la clique qui dirige l'orchestre de l'urgence sanitaire est d'alimenter la machine à but lucratif, et tout est prévu en ce sens, avec le soutien d'un front politique et médiatique motivé par l'opportunisme.

 

Si l'industrie militaire a besoin de guerres, l'industrie pharmaceutique a besoin de maladies.

 

Ce n'est pas un hasard si la « santé publique » est de loin le secteur le plus rentable de l'économie mondiale, dans la mesure où Big Pharma dépense environ trois fois plus que Big Oil et deux fois plus que Big Tech en lobbying -on lobbying.

 

La demande potentiellement infinie de vaccins et de préparations génétiques expérimentales offre en effet aux cartels pharmaceutiques la perspective de flux de bénéfices presque illimités, en particulier lorsqu'ils sont garantis par des programmes de vaccination de masse subventionnés par l'argent public (c'est-à-dire par davantage de dettes qui nous incomberont).

 

Pourquoi tous les traitements Covid ont-ils été pénalement interdits ou sabotés ? Comme l'admet franchement la FDA -FDA candidly admits-, l'utilisation de vaccins d'urgence n'est possible que s'il n'existe "pas d'alternatives appropriées, approuvées et disponibles". Un cas de vérité caché à la vue de tous. De plus, la religion vaccinale actuelle est étroitement liée à la montée du pharma-dollar, qui, en se nourrissant de pandémies, devrait imiter les splendeurs du « pétro-dollar » - set to emulate the glories of the ‘petro-dollar’, permettant aux États-Unis de continuer à exercer la suprématie monétaire mondiale. Pourquoi l'ensemble de l'humanité (y compris les enfants !) injecterait-il des « vaccins » expérimentaux aux effets indésirables - adverse effects -, de plus en plus inquiétants mais systématiquement minimisés, alors que plus de 99 % des personnes infectées, la grande majorité asymptomatiques, se rétablissent ?

 

La réponse est évidente : parce que les vaccins sont le Veau d'or du troisième millénaire, tandis que l'humanité est un matériel d'exploitation de « dernière génération » en mode cobaye.

 

Dans ce contexte, la mise en scène de la pantomime d'urgence réussit par une manipulation inouïe de l'opinion publique. Chaque « débat public » sur la pandémie est privatisé sans vergogne, ou plutôt monopolisé par la croyance religieuse en des comités technico-scientifiques financés par les élites financières. Toute « discussion libre » est légitimée par l’adhésion à des protocoles pseudo-scientifiques soigneusement purgés du contexte socio-économique : on « suit la science » en feignant de ne pas savoir que « la science suit l’argent ». La célèbre déclaration de Karl Popper selon laquelle la « vraie science » n'est possible que sous l'égide du capitalisme libéral dans ce qu'il a appelé « la société ouverte »,[1] se réalise maintenant dans l'idéologie mondialiste qui anime, entre autres, l'Open Society Foundation de George Soros. La combinaison de « vraie science » et de « société ouverte et inclusive » rend la doctrine Covid presque impossible à remettre en cause.

 

Pour le COVID-19, on pourrait donc imaginer l'agenda suivant. Un récit fictif est préparé à partir d'un risque épidémique présenté de manière à favoriser la peur et la soumission. Très probablement un cas de reclassement diagnostique. Il suffit d'un virus grippal épidémiologiquement ambigu, sur lequel construire une histoire agressive de contagion liée à des zones géographiques où l'impact des maladies respiratoires ou vasculaires chez les personnes âgées et immunodéprimées est élevé - peut-être avec le facteur aggravant d'une forte pollution. Il n'y a pas lieu de se rattraper, étant donné que les unités de soins intensifs des pays "avancés" s'étaient déjà effondrées dans les années précédant l'arrivée du Covid, avec des pics de mortalité pour lesquels personne n'avait rêvé d’instaurer les mises en quarantaine. En d'autres termes, les systèmes de santé publique avaient déjà été démolis, et donc largement (c’est moi qui rajoute) préparés au scénario de pandémie.

 

Mais cette fois il y a méthode dans la folie : l'état d'urgence est décrété, ce qui déclenche la panique, provoquant à son tour l'engorgement des hôpitaux et des maisons de retraite (à haut risque d’infection), l'application de protocoles néfastes, et la suspension des soins médicaux. Et voilà, le Virus tueur devient une prophétie auto-réalisatrice ! La propagande qui fait rage dans les principaux centres du pouvoir financier (notamment en Amérique du Nord et en Europe) est essentielle au maintien de « l'état d'exception » (Carl Schmitt), qui est immédiatement accepté comme la seule forme possible de rationalité politique et existentielle. Des populations entières exposées à de lourds bombardements médiatiques se rendent par autodiscipline, adhérant avec un enthousiasme grotesque à des formes de « responsabilité civique » dans lesquelles la coercition se transforme en altruisme.

 

L'ensemble du scénario pandémique - de la "courbe de contagion" aux "décès Covid" - repose sur le test PCR, qui a été autorisé pour la détection du SRAS-CoV-2 par une étude – Cf.le lien ci-après a study-, réalisée en un temps record sur commande de l'OMS. Comme beaucoup le savent désormais, le manque de fiabilité diagnostique du test PCR a été dénoncé par son inventeur lui-même, le prix Nobel Kary Mullis (malheureusement décédé le 7 août 2019) – Cf.le lien ci-après denounced by its inventor -, et récemment réaffirmé par, entre autres, 22 experts de renommée internationale -cf. le lien ci-après 22 internationally renowned experts -, qui ont exigé sa suppression pour défauts scientifiques évidents. Visiblement, la demande est tombée dans l'oreille d'un sourd.

 

Le test PCR est le moteur de la pandémie. Cela fonctionne à travers les tristement célèbres « seuils de cycle » : plus vous faites de cycles, plus vous produisez de faux positifs (infections, décès par Covid), comme même le gourou Anthony Fauci l'a imprudemment admis lorsqu'il a déclaré que les écouvillons ne valent rien au-dessus de 35 cycles-Cf. lien ci-après : he stated that swabs are worthless above 35 cycles). Or, pourquoi se fait-il que pendant la pandémie des amplifications de 35 cycles ou plus aient été systématiquement réalisées dans les laboratoires du monde entier ? Même le New York Times – (certainement pas un repaire de dangereux négationnistes anti-Covid) – a soulevé cette question clé l'été dernier -Cf. ci-après : raised this key question.

 

Grâce à la sensibilité de l'écouvillon, la pandémie peut être (littéralement activée ou diminuée, allumée et éteinte comme une lampe électrique), ouverte ou fermée comme un robinet, permettant au régime de santé d'exercer un contrôle total sur le « monstre numérologique » des cas et des décès de Covid – les principaux instruments de la terreur quotidienne.

 

Toutes ces alarmes se poursuivent aujourd'hui, malgré l'assouplissement de certaines mesures. Pour comprendre pourquoi, il faut revenir au motif économique. Comme indiqué, plusieurs milliers de milliards d'espèces nouvellement imprimées ont été créées en quelques clics de souris par les banques centrales et injectées dans les systèmes financiers, où elles sont restées en grande partie. L'objectif de la frénésie d'impression était de combler des déficits de liquidité calamiteux. La majeure partie de cet « arbre magique » est toujours gelée dans le système bancaire parallèle, les bourses et divers systèmes de monnaie virtuelle qui ne sont pas destinés à être utilisés pour les dépenses et les investissements. Leur fonction est uniquement de fournir des prêts bon marché pour la spéculation financière. C'est ce que Marx appelait le « capital fictif », qui continue de se développer dans une boucle orbitale désormais totalement indépendante des cycles économiques sur le terrain.

 

L'essentiel est que tout cet argent ne soit pas autorisé à inonder l'économie réelle, car cette dernière surchaufferait et déclencherait une hyperinflation. Et c'est là que Virus continue d'être utile. S'il a d'abord servi à « isoler l'économie réelle » (pour citer encore le document de la BRI), il supervise désormais sa réouverture provisoire, caractérisée par la soumission au dogme de la vaccination et des méthodes chromatiques (i.e. progressives, par demi-tons) d'enrégimentement de masse, qui pourraient bientôt inclure des blocages climatiques - Cf. lien ci-après : climate lockdowns. Rappelez-vous comment on nous a dit que seuls les vaccins nous rendraient notre « liberté » ? De manière trop prévisible, nous découvrons maintenant que le chemin de la liberté est jonché de « variants », c'est-à-dire d'itérations de Virus - Cf. lien ci-après :littered with ‘variants’.

 

Leur but est d'augmenter le « nombre de cas » et donc de prolonger les états d'urgence qui justifient la production de monnaie virtuelle par les banques centrales visant à monétiser la dette et à financer les déficits. Plutôt que de revenir à des taux d'intérêt normaux, les élites choisissent de normaliser l'urgence sanitaire en nourrissant le fantôme de la contagion. Le très médiatisé « tapering » (réduction de la relance monétaire) peut donc attendre – tout comme Pandexit.

 

Dans l'UE, par exemple, le « programme d'achat d'urgence en cas de pandémie » de 1,85 billion d'euros de la Banque centrale européenne, connu sous le nom de PEPP, devrait actuellement se poursuivre jusqu'en mars 2022 -it might need to be extended. Cependant, il a été suggéré qu'il pourrait devoir être prolongé au-delà de cette date. En attendant, la variante Delta fait des ravages dans l'industrie du voyage et du tourisme, avec de nouvelles restrictions (y compris la quarantaine) perturbant la saison estivale. Encore une fois, nous semblons être pris dans une prophétie auto-réalisatrice (surtout si, comme le prix Nobel Luc Montagnier, et bien d'autres l'ont laissé entendre, des variantes, même légères, sont la conséquence de campagnes de vaccination de masse agressives). Quoi qu'il en soit, le point fondamental est que le Virus est toujours nécessaire au capitalisme sénile, dont la seule chance de survie dépend de la génération d'un changement de paradigme du libéralisme à l'autoritarisme oligarchique.

 

  1. Une sortie de secours ?

 

Si leur crime est loin d'être parfait, les orchestrateurs de ce coup d'État mondial doivent néanmoins être crédités d'un certain génie sadique. Leur tour de passe-passe a réussi, peut-être même au-delà des attentes. Cependant, tout pouvoir visant à la totalisation est voué à l'échec, et cela vaut aussi pour les grands prêtres de la religion Covid et les marionnettes institutionnelles qu'ils ont mobilisées pour déployer la « psy-op d'urgence sanitaire ».

 

Après tout, le pouvoir a tendance à se leurrer sur sa toute-puissance. Ceux qui sont assis dans la salle de contrôle ne réalisent pas à quel point leur domination est incertaine. Ce qu'ils ne voient pas, c'est que leur autorité dépend d'une « mission supérieure », à laquelle ils restent en partie aveugles, à savoir l'auto-reproduction anonyme de la matrice capitaliste.

 

Le pouvoir d'aujourd'hui réside dans la machine à but lucratif dont le seul but est de poursuivre son voyage imprudent, conduisant potentiellement à l'extinction prématurée de l'Homo sapiens. Les élites qui ont dupé le monde dans l'obéissance au Covid sont la manifestation anthropomorphique de l'automate capitaliste dont l'invisibilité est aussi rusée que celle du Virus lui-même. Et la nouveauté de notre époque est que la « société confinée » est le modèle qui garantit le mieux la reproductibilité de la machine capitaliste, quelle que soit sa destination dystopique. »

 

Que conclure de cette longue mais passionnante analyse à laquelle l’opinion publique ne souscrira probablement pas – ou pas tout de suite, pas avant d’avoir vraiment peur et de mesurer l’ampleur de son erreur -, prise qu’elle est dans ce mélange de confiance imbécile donnée à des dirigeants félons, de trouille, d’imbécillité et de pleutrerie, de préservation immédiate de son « petit confort » et de volonté de « retrouver la vie d’avant » ainsi que tous ces poncifs qui l’auront conduite à faire littéralement n’importe quoi pour répondre à des intérêts qui ne sont pas les siens ?

 

Rien, sinon que vient un moment où face à une folie généralisée mue par des intérêts politiques et financiers, une hubris qui n’a que faire de la santé publique, il existera toujours des gens qui sauront avoir le courage de dire « Non ! » et dont la force de conviction sera telle qu’elle enrayera un dispositif mortifère.

 

Il n’y a pas de gentils monstres[vii].

 

 

Notes :

[1] Karl Marx, Grundrisse (London : Penguin, 1993), 706.

[2] Karl Popper, The Open Society and its Enemies, 2 volumes (Princeton : Princeton UP, 2013).

 

 

[i] If the military industry needs wars, the pharmaceutical industry needs diseases.

The elites who have conned the world into Covid-obedience are the anthropomorphic manifestation of the capitalist automaton, whose invisibility is as cunning as that of Virus itself. And the novelty of our era is that the ‘locked-down society’ is the model that best guarantees the reproducibility of the capitalist machine, irrespective of its dystopian destination.(Fabio Vighi.op.cit.)

 

[ii] Fabio Vighi, A Self-Fulfilling Prophecy : Systemic Collapse and Pandemic Simulation, The Philosophical Salon, A Los Angeles Review of Books Channel,16 Aug., 2021, https://thephilosophicalsalon.com/a-self-fulfilling-prophecy-systemic-collapse-and-pandemic-simulation/

 

[v] Heidegger, Entretien au Spiegel Fribourg-Zähringen (23.09.1966), http://palimpsestes.fr/textes_philo/heidegger/entretien_spiegel.html

 

[vi] Fabio Vighi est Professeur de Théorie Critique à Cardiff University, UK/RU. Parmi ses œuvres récentes on citera : Critical Theory and the Crisis of Contemporary Capitalism (Bloomsbury 2015, with Heiko Feldner) et Crisi di valore : Lacan, Marx e il crepuscolo della società del lavoro (Mimesis 2018).

 

[vii] Sculos, Bryant William (2015) "Automatons, Robots, and Capitalism in a Very Wrong Twenty-First Century : A Review Essay on Neill Blomkamp’s Chappie," Class, Race and Corporate Power : Vol. 3 : Iss. 1 , Article 4. DOI : 10.25148/CRCP.3.1.16092132 Available at : https://digitalcommons.fiu.edu/classracecorporatepower/vol3/iss1/4

Résumé :

Contrairement aux idées reçues, le long métrage intitulé Chappie de Neill Blomkamp n'est pas un film sur les robots ou l'intelligence artificielle. Ce n'est pas Robocop. Ce n'est pas Court-circuit. Ce n'est pas non plus District 9 ou Elysium. Chappie est un film sur le potentiel dialectiquement créatif et destructeur de l'humanité. C'est un film sur la façon dont les humains en viennent à se comporter comme ils le font à travers leurs circonstances sociales et matérielles, ainsi que les résultats barbares lorsque les deux sont mélangés dans les conditions totalement antidémocratiques du capitalisme néolibéral.


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94 réactions à cet article    


  • Jean 22 septembre 2021 18:03

    Ouch ! plusieurs articles en un, ya de quoi faire, j’espère que vous avez des biscuits ?


    • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 22 septembre 2021 18:46

      @Jean
      Bonsoir et merci pour votre visite comme pour votre lecture.

      Des biscuits, dites-vous ?

      Oui. Je suis parfaitement approvisionné en biscuits et en munitions.

      Invitez-moi sur un plateau de télévision à une heure de grande écoute, face au Premier ministre, au président de la République et au ministre de l’Économie et des Finances.

      Ajoutez-y quelques uns des 27 commissaires européens (je me réserve d’en choisir quelques uns), et je vous garantis une corrida du tonnerre avec une série méthodiquement développée de faenas dont le public comme les intéressés se souviendront longtemps.

      Bien à vous,

      Renaud Bouchard


    • Samy Levrai samy Levrai 23 septembre 2021 01:55

      @Renaud Bouchard
      Tu devrais discuter avec François Asselineau, il est très doué pour les analyses et sa culture est impressionnante, le débat serait d’un niveau très intéressant.


    • Clocel Clocel 22 septembre 2021 18:05

      Alcool un peu fort pour le troupeau avoxien...


      • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 22 septembre 2021 18:56

        @Clocel
        Bonsoir et merci pour votre visite comme pour votre lecture.

        Alcool un peu fort pour le troupeau Avoxien...certes.
        Mais nous sommes encore loin du Baijiu dont le titrage est très puissant.
        J’utiliserais une autre métaphore : il faut piquer profond pour que la douleur soit enfin perçue.
        N’ayez crainte.
        Cela viendra.
        Question de résistance à la douleur...
        https://youtu.be/n9xhJrPXop4?t=50

        Bien à vous,
        Renaud Bouchard


      • Yann Esteveny 22 septembre 2021 18:21

        Message à Monsieur Renaud Bouchard,

        Vous êtes enfin publié ! Il est dommage que les lecteurs ne bénéficient pas de votre article « Irrésistible marche vers le suicide collectif Version 2021.2022 ? Déni, covidisme, sectarisme, lyssenkisme comme moteurs de la Danse Macabre »

        Je cite votre conclusion : « (...) il existera toujours des gens qui sauront avoir le courage de dire « Non ! » et dont la force de conviction sera telle qu’elle enrayera un dispositif mortifère. ».
        Ce n’est pas la force de conviction de ces personnes courageuses qui vaincra mais l’Amour qu’ils porteront. Beaucoup ont accéléré leur mort faute de cette présence.

        Respectueusement


        • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 22 septembre 2021 19:08

          @Yann Esteveny
          Bonsoir et merci pour votre visite comme pour votre commentaire.

          Vous êtes enfin publié ! Il est dommage que les lecteurs ne bénéficient pas de votre article « Irrésistible marche vers le suicide collectif Version 2021.2022 ? Déni, covidisme, sectarisme, lyssenkisme comme moteurs de la Danse Macabre », dites-vous.

          / Effectivement. mais cet article est toujours accessible dans la longue liste du « Salon des Refusés » par la « modération ».

          Tout comme votre article sur les gestes barrières salvateurs. Notice intéressante à lire, comme les consignes que l’on trouve dans les avions. On ne sait jamais...

          Je cite votre conclusion : « (...) il existera toujours des gens qui sauront avoir le courage de dire « Non ! » et dont la force de conviction sera telle qu’elle enrayera un dispositif mortifère. ».
          Ce n’est pas la force de conviction de ces personnes courageuses qui vaincra mais l’Amour qu’ils porteront. Beaucoup ont accéléré leur mort faute de cette présence.

          / Oui.

          Vous avez entièrement raison.

          Puissent les lecteurs comme tous ceux que cela intéressera lire des messages tels que ceux de Mgr Vigano ou encore du RP Teihard de Chardin, La Messe sur le Monde. https://www.diocesedegap.fr/%C2%ABlamessesurlemonde%C2%BB-teilharddechardin1923/

          Comment un haut dignitaire de l’Église catholique explique rationnellement l’asservissement planétaire en cours.  Le texte que l’on propose de lire ci-après, soit la Lettre ouverte au Président des Etats-Unis d’Amérique Donald J. Trump de S.E. le Cardinal Carlo Maria Viganò en date du dimanche 25 octobre 2020, restera très probablement comme un texte majeur susceptible, sur un plan doctrinal qui concerne l’Eglise, le Christianisme et très probablement toutes les religions, de remettre en cause et d’enrayer un glissement vers l’abîme de l’humanité toute entière. Dans cette lettre datée du 25 octobre 2020 et adressée à Donald Trump, l’ancien Nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique dénonce publiquement le projet mondialiste « Great Reset » qui veut en finir avec les libertés humaines au moyen de la dictature sanitaire. Au moment historique lui aussi qui verra très probablement la réélection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis d’Amérique, il ne s’agit pas tant d’un texte théologique que d’un document susceptible de servir à une nouvelle approche géopolitique de dimension mondiale qui s’inscrit précisément (de) par les questions qu’il pose, tant dans ses dimensions humaines qu’économiques, sociales et politiques, dans cette gigantesque redistribution des cartes en train de s’effectuer sous le voile de la pandémie du Covid-19.

          Certes, D. Trump n’a pas été réélu. Mais le corps et l’essence du texte qui suit sont intacts, comme la parole du prélat.

          https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/complotisme-discours-apocalyptique-228296

          Bien à vous,

          Renaud Bouchard


        • serge.wasterlain 23 septembre 2021 19:44

          @Renaud Bouchard
          Je fais partie de ces personnes qui ont le courage de dire non ! Jamais je n’utiliserai un pass sanitaire, même si j’en possédais un (je ne dis pas JAMAIS au vaccin, mais JAMAIS AUX VACCINS ARN OU ADN). Même dans le cas où je serais obligé (voyage à l’étranger par exemple), je ferais un test.
          PS : Je ne connais aucune personne morte du covid ou ayant fait une forme grave (je ne nie pas que ça existe... ...faut pas me faire dire ce que je ne dit pas), par contre, je connais cinq personnes ayant eu des effets secondaires graves... ...dont un très graves... cherchez l’erreur !


        • ticotico ticotico 22 septembre 2021 19:18

          Je me souviens de cet automne 2019, j’avais annoncé à plusieurs personnes de mon entourage que je sentais le monde mal barré, que nous étions à la veille d’un dérapage significatif. Ce sentiment se basait avant tout sur la détérioration perceptible d’une finance incapable de fonctionner sans attenter gravement à la sécurité du système. J’en avais parlé ici.

          Lors des premières semaines « virales » je pensais que cette opportune propagation de micro organismes n’était qu’un nuage de fumée destiné à préparer une spoliation majeure, (inflation, confiscation de l’épargne, ou tout autre mécanisme).

          Le marteau pilon médiatique, ainsi que les réactions inédites partout dans le monde avaient transformé la perception de ce fléau plutôt modeste (il a tué un habitant de la planète sur 20 000, et encore, en tordant sévèrement le bras aux statistiques) en une catastrophe sanitaire exceptionnelle.

          Et j’avais progressivement laissé au vestiaire mes pressentiments complotistes, un peu lassé aussi par l’omniprésence de ce sujet dont tout était fait pour que personne n’en ait une perception claire...

          Puis, cet article revient mettre les points sur les i... 

          Il soulève toutefois quelques questions, dont la plus importantes me semble « et maintenant, comment se passe l’atterrissage ? »   

          Si quelqu’un a des hypothèses sur le sujet, je suis preneur.


          • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 23 septembre 2021 04:24

            @ticotico

            Votre texte mérite le détour.
            Ce sentiment se basait avant tout sur la détérioration perceptible d’une finance incapable de fonctionner sans attenter gravement à la sécurité du système. J’en avais parlé ici.

            Nous y sommes.

            « Et maintenant, comment se passe l’atterrissage ? » 

            Il va très probablement s’agir d’un atterrissage « dur », comme disent les pilotes.

            https://www.boldmethod.com/blog/lists/2020/06/7-landings-gone-wrong-caught-on-camera/

            On trouvera une très bonne analyse prospective dans ce papier de Bruno Bertez :

            Vous remarquerez, écrit-il, que l’auteur utilise la même grille d’analyse que la mienne et que ceci permet de voir ou d’entrevoir en quoi la situation en Chine est un condensé de la situation dans les pays développés, mais bien sur, comme je le répète souvent, en caricature, en hard alors que chez nous c’est en soft.

            Mais hard ou soft on n’échappe pas aux Nécessités, « un plus un font et feront toujours deux ». On n’échappe pas aux contradictions. Ce qui ne peut durer ne durera pas.

            https://brunobertez.com/2021/09/22/opinion-dun-des-rares-connaisseurs-occidentaux-sur-ce-qui-se-passe-en-chine-important/

            Cordialement,
            Renaud Bouchard


          • alinea alinea 23 septembre 2021 16:56

            @ticotico
            Comme tout s’est détricoté rapidement sans que personne ne dise rien, d’autre que quelques râleries corporatistes, je sens la fin comme une queue de poisson ; on retournera à la normale sans qu’on nous ait rien dit, et on s’apercevra que rien ne va plus, beaucoup de ruinés, de chômeurs, peu ou pas d’aides, bref les USA ! même si la chape à la chinoise se desserre, tout le monde sera sonné et abruti.
            Je n’ose rêver d’une dernière loi assassine qui fera se lever tous les consommateurs devenus en une nuit citoyens !


          • alinea alinea 23 septembre 2021 20:56

            @ENOLA Gué
            Il est des époques et des expériences qui font changer ! heureusement ! ceux qui n’ont pas changé d’un iota depuis un an et demi devraient se poser quelques questions !! tu as changé toi ? je ne parle pas de l’avatar, mais justement...


          • PascalDemoriane 22 septembre 2021 20:00

            @l’auteur
            Merci pour cet article bien articulé de ce limpide Fabio Vighi, ici très bien introduit : les quelques lignes choisies du chapeau en gras disent l’essentiel comme un démarreur embraye un moteur à explosion ! Y a tous les concepts clefs posés. Avec un minimum de bagage marxien, chacun pourrait partant de ces brèves citations rédiger l’article par lui-même, ou mieux le lire comme s’il l’écrivait lui-même. On ne peut donc pas dire que c’est trop long... si on a compris l’embrayage !
            Mais bien sûr comme le dit l’auteur, cette démarche n’interessera pas l’opinion, puisque l’opinion est une forme d’aliénation mentale au spectacle des apparences chimériques dont le covidisme comme le football (!) est une instance bien huilée. Gentils et méchants, les gens ont besoin de monstres et de monstrations monstrueuses et détestent constater qu’ils en sont les co-acteurs crédules et les metteurs en scène locaux.


            • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 23 septembre 2021 04:00

              @PascalDemoriane

              Bonjour et merci pour votre commentaire.

              "Gentils et méchants, les gens ont besoin de monstres et de monstrations monstrueuses et détestent constater qu’ils en sont les co-acteurs crédules et les metteurs en scène locaux".

              Tant pis pour eux..

              https://www.documentarysite.com/wp-content/uploads/2017/10/leadership_lemmings.gif

              Cordialement,

              Renaud Bouchard


            • Luniterre Luniterre 26 septembre 2021 15:32

              @Renaud Bouchard

              Je partage évidemment l’essentiel des éléments d’analyse développés par ce Fabio Vighi, avec toutefois une très grosse réserve sur le fait qu’il s’arrête, en quelque sorte, au milieu du gué :

               

              Au bout de l’évolution inéluctable de la contradiction interne du système, assez bien résumée par l’auteur, Marx voyait clairement la limite de ce qu’il définissait lui-même comme capitalisme : l’élargissement du capital par le travail productif humain.

               

              Ce que l’auteur décrit lui-même comme un « régime néo-féodal d’accumulation capitaliste », et qui repose, également selon lui, entièrement sur la dette, qui était déjà une « montagne » en 2019, et n’a fait que croître encore, avec la crise.

               

              A l’échelle mondiale, même avec les faramineux profits spéculatifs que la dette a engendrés, la dette mondiale continue de croître.

               

              En termes brut d’accumulation, le bilan est donc toujours négatif, et donc on ne peut plus parler d’élargissement réel, et donc, in fine, on ne peut plus parler de capitalisme, même d’ « une autre manière » (Doing capitalism differently).

               

              Marx ne pensait évidemment pas que le capitalisme atteindrait sa propre limite avant d’être supplanté par le socialisme, mais c’est pourtant bien la situation dans laquelle nous somme, et où le système de domination de classe doit inexorablement se transformer pour survivre à cette évolution des forces productives et de l’économie en général, qui est incontournable et que l’auteur décrit assez bien, dans l’ensemble.

               

              Ce nouveau système de domination de classe, je l’ai appelé par ce qui me semble être son nom le plus « naturel », en quelque sorte : banco-centralisme, car tout le circuit financier actuel dépend, in fine, de la création monétaire ex-nihilo constamment renouvelée par les Banques Centrales sous diverses formes de liquidités injectées en quasi-perfusion dans ce système.

               

              Voir dans l’édition « best of » de ce jour :


              Décapant !!! Le capitalisme est-il déjà derrière nous ? Et si oui, qu’est-ce qui a pris sa place ???

               

              Débat qui a plusieurs suites sur VLR, dont une ce matin :

              Décapant !!! (Suite !) Banco-centralistes et capitalistes : que reste-t-il de leurs amours ???

               

              Luniterre


            • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 26 septembre 2021 16:33

              @Luniterre

              Bonjour et mille excuses pour ce retard mis à vous répondre.
              Je n’ai en effet découvert votre commentaire qu’en parcourant à nouveau les contributions précédentes.
              Merci à chaque visiteur-lecteur !

              Je retiens ceci des liens que vous communiquez :


              Décapant !!! Le capitalisme est-il déjà derrière nous ? Et si oui, qu’est-ce qui a pris sa place ???

               

              Débat qui a plusieurs suites sur VLR, dont une ce matin :

              Décapant !!! (Suite !) Banco-centralistes et capitalistes : que reste-t-il de leurs amours ???

              "Quant à l’intérêt global de toute cette mutation en cours, c’est tout simplement de sauvegarder le principe même d’un système de domination de classe, avec tous les privilège attenants à la classe dominante, quelle qu’en soit la base économique, et qui ne se résume pas forcément au profit financier, ni même, au profit capitaliste, et surtout s’il s’avère intrinsèquement impossible à réaliser, globalement, au stade actuel de développement des forces productives mondiales.

              Dans la société banco-centraliste la forme argent n’est plus que l’apparence extérieure et artificielle du pouvoir réel, qui est en réalité simplement celui de contrôler directement, même si via une « crypto-monnaie » de singe, la dépendance vitale des « humains » de ce temps, par le contrôle des moyens de production.

              Dans la société capitaliste la forme argent était le moyen réel de prendre le contrôle des moyens de production et de reproduire l’argent, de façon élargie, comme support d’accumulation de la valeur et substrat en soi-même de la classe bourgeoise, vis-à-vis de la masse prolétarienne, mais toujours dans une confrontation plus ou moins larvée et plus ou moins clairement exprimée, en termes de lutte de classes.

              Des deux systèmes, et contrairement à ce que tu sembles en penser, c’est donc bien celui qui induit une dépendance totale qui est à priori le plus stable, potentiellement, surtout si cette dépendance est hiérarchisée en termes de niveaux de survie et d’autorités.

              L’ « expérience » des confinements et mesures de contrôles « sanitaires » montre que ce système est malheureusement déjà en voie de stabilisation et c’est probablement pourquoi le pouvoir n’a pas choisi la « manière forte » pour tenter d’enrayer les balbutiements de la révolte, encore incapable de se transformer en résistance durable.« 


              Certes, suis-je tenté d’ajouter, mais il est tout à fait possible sinon probable que la manière forte viendra, ne serait-ce que parce que ce »pouvoir« aveugle et imbécile commettra l’erreur de toujours pousser plus loin ce qu’il pense être son avantage.

              Une fois muselés, leur patrimoine et pouvoir d’achat passés à la paille de fer, leur liberté de vivre rognée par des multipass pour chaque acte de la vie quotidienne, les gens finiront par craquer mentalement.

              Le »Pouvoir« a en effet oublié une dimension fondamentale : il a affaire à des pleutres, des lopettes, des lâches, tout un troupeau de »snowflakes" dont la fragilité psychologique et mentale est immense et ingérable.

              Finalement, tous ces gens (la camarilla au pouvoir comme leur clientèle d’hilotes, par essence incapables de résister et de se soulever) seront balayés et termineront très mal.


              L’économie va tout rattraper, jusqu’à l’effondrement.


              Je partage évidemment l’essentiel des éléments d’analyse développés par ce Fabio Vighi, avec toutefois une très grosse réserve sur le fait qu’il s’arrête, en quelque sorte, au milieu du gué :

               

              Au bout de l’évolution inéluctable de la contradiction interne du système, assez bien résumée par l’auteur, Marx voyait clairement la limite de ce qu’il définissait lui-même comme capitalisme : l’élargissement du capital par le travail productif humain.

               

              Ce que l’auteur décrit lui-même comme un « régime néo-féodal d’accumulation capitaliste », et qui repose, également selon lui, entièrement sur la dette, qui était déjà une « montagne » en 2019, et n’a fait que croître encore, avec la crise.

               

              A l’échelle mondiale, même avec les faramineux profits spéculatifs que la dette a engendrés, la dette mondiale continue de croître.

               

              En termes brut d’accumulation, le bilan est donc toujours négatif, et donc on ne peut plus parler d’élargissement réel, et donc, in fine, on ne peut plus parler de capitalisme, même d’ « une autre manière » (Doing capitalism differently).

               

              Marx ne pensait évidemment pas que le capitalisme atteindrait sa propre limite avant d’être supplanté par le socialisme, mais c’est pourtant bien la situation dans laquelle nous somme, et où le système de domination de classe doit inexorablement se transformer pour survivre à cette évolution des forces productives et de l’économie en général, qui est incontournable et que l’auteur décrit assez bien, dans l’ensemble.

               

              Ce nouveau système de domination de classe, je l’ai appelé par ce qui me semble être son nom le plus « naturel », en quelque sorte : banco-centralisme, car tout le circuit financier actuel dépend, in fine, de la création monétaire ex-nihilo constamment renouvelée par les Banques Centrales sous diverses formes de liquidités injectées en quasi-perfusion dans ce système.

               

              Bien vu, effectivement.



              Renaud Bouchard


            • Luniterre Luniterre 26 septembre 2021 17:18

              @Renaud Bouchard

              Merci pour votre réponse : je vois que vous avez saisi et retenu l’essentiel !

              C’est donc très encourageant, car il est important que des personnes d’horizons idéologiques différents convergent sur une même analyse du réel. Cela semble bien indiquer que c’est la bonne analyse...

              ...Ensuite, reste à construire la convergence des résistances, face à ce nouveau système particulièrement « virulent » et tout à fait inhumain !

              Luniterre


            • Areole Areole 22 septembre 2021 22:35

              @ Renaud Bouchard
              D’avance, ne me remerciez pas pour ma lecture, je ne vous ai pas lu jusqu’au bout. Ne me remerciez pas non plus pour ma visite, je la regrette déjà...
              Il ne me reste donc qu’à commenter les raisons de ma fuite :
              Vous dressez un portrait pointilliste de l’économie qui me fatigue. J’ai cherché désespérément le visage du monstre qui nous dévore et n’y ai trouvé qu’un entrelac de couleurs indistinctes. j’en ai perdu mon latin d’économiste. Trop de références pas assez de liens à mon goût. Le tableau me semble trop flou pour m’émouvoir. Au point où, assommé par le doute, je me suis réfugié au creux de mon fauteuil avec une pinte de bière bien fraîche. Tout n’est donc pas négatif...


              • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 23 septembre 2021 03:47

                @Areole
                Bonjour.
                Il me semble que cet article vous aura malgré tout intéressé, même si l’on peut regretter que vous soyez fatigué (je vous cite) par ce portrait pointilliste de l’économie.

                Le pointillisme est pourtant une technique picturale très aboutie comme vous pouvez le lire sur ce blog assez réussi :https://www.kazoart.com/blog/la-petite-histoire-du-pointillisme/

                "Il exerce notre œil et notre esprit à fondre et à assimiler les tâches de couleur dans une plus large gamme chromatique, nous dit l’auteur.. C’est une démarche relativement originale puisque les successions de touches apposées sur la toile permettent, en prenant de la distance, de voir naître une véritable œuvre d’art. Les artistes liés à cette période artistique, tous comme l’étaient ceux rattachés à l’impressionnisme, représentent des paysages, des portraits, des marines : généralement des univers bucoliques et apaisants qu’ils peignent directement en plein air.« 

                Certes, nous sommes loin de ces univers bucoliques et apaisants.Le tableau économique que vous avez sous les yeux, qui n’a rien de flou, je vous assure, devrait faire autre chose que de vous émouvoir.

                Il devrait même, à mon avis,vous conduire à susciter un sentiment d’inquiétude au point de vous mettre sur le qui-vive pour anticiper et parer les très mauvais coups dont nous n’avons eu jusqu’à présent qu’un avant-goût.

                Le monstre est bien là, protéiforme, qui agit sans état d’âme pendant que le bon peuple reste occupé par le »port du masque« , la »distanciation sociale« (concept d’une imbécillité sournoise) , le respect des »gestes barrières« et la course à ces »vaccins" dont il n’a aucune idée quant à la nature, la composition, l’efficacité, pas plus que ceux qui pratiquent les injections.

                Prenez le temps de lire. Cela en vaut la peine.

                Les références et liens qui figurent dans le texte méritent une lecture attentive que vous saurez mener en vous reversant une autre pinte de bière bien fraîche.
                Revenez dès que possible.
                Bien à vous,

                Renaud Bouchard


              • Samy Levrai samy Levrai 23 septembre 2021 01:44

                longue ET passionnante analyse, merci citoyen Bouchard.


                • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 23 septembre 2021 03:48

                  @samy Levrai
                  Bonjour.
                  Remerciez plutôt le citoyen Vighi.
                  Cordialement,
                  RB


                • troletbuse troletbuse 23 septembre 2021 08:36

                  Une nouvelle fake news répandue par les torchons l’Immonde et France Intox ;

                  L’institut Pasteur AURAIT trouvé des virus de chauve-souris PRESQUE identiques à celui du SRAS-CO2 au LAOS.  smiley

                  Il aurait du chercher du côté de Fauci.

                  A voir les commentaires sur France Intox, ils ne risquent que de convaincre les neuneus.

                  Oui mais ils sont nombreux.

                  https://actu.orange.fr/societe/high-tech/des-virus-proches-du-sars-cov-2-decouverts-chez-des-chauves-souris-CNT000001EBCDR/photos/ce-pourrait-etre-une-avancee-majeure-dans-la-recherche-des-origines-du-covid-19-des-chercheurs-de-l-institut-pasteur-ont-identifie-dans-le-nord-du-laos-des-virus-proches-du-sars-cov-2-chez-des-chauves-souris-capables-d-infecter-l-homme-1c249ac3eb7cff81ebcee6d5366659b7.html


                  • zygzornifle zygzornifle 23 septembre 2021 09:31

                    Les vrais bien méchant sont au gouvernement .....


                    • I.A. 23 septembre 2021 09:40

                      Cet article est très riche et mérite d’être lu avec toutes ses références. Un vrai merci.

                      Tout peut se tenir, vu que c’est assez simple, finalement, et même logique. 

                      Ce qui chiffonne un peu, c’est la quantité et la qualité  j’aurais tendance à dire « le taux »  des complicités nécessaires à un tel montage. Toujours est-il que le pharma-dollar est bel et bien en train de remplacer le périmé pétrodollar !

                      Il s’agirait alors d’un exercice de très haute voltige, construit en grande partie sur des hypothèses, des opinions et même des préjugés (sur les dirigeants, les pays, les populations, et surtout les professions, tels les soignants, les journalistes, les commerçants, les syndicats, les associations de défense, les vedettes, les hommes de loi, etc...), avec risques de dérapages majeurs à tous les niveaux...

                      Peut-être aussi des effets d’aubaine en cascade, allant effectivement toujours dans le même sens et profitant nécessairement toujours aux mêmes : rêve d’oligarque, cauchemar pour l’humanité.


                      • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 23 septembre 2021 10:25

                        @I.A.
                         
                        ’’ risques de dérapages majeurs à tous les niveaux... ’’
                         
                         Aucun risque : cf. le principe n°1 du chef : « Le chef a toujours raison »

                         Le chef c’est le pognon.
                         
                        « Hugolin : tu es fort, Papé. Le papé : je suis fort, je suis fort, parce que j’ai des sous ! » (Marcel Pagnol)


                      • xana 23 septembre 2021 09:48

                        Et ici toujours pas de Covid vérifié !

                        Grâce à la propagande mortifère constamment agitée, mes voisins sont persuadés de l’avoir eu à chaque fois qu’ils toussent. Mais personne ne fait d’analyse (faudrait aller en ville...) et donc il est toujours impossible de savoir si c’est le Covid. D’ailleurs avec les tests actuels... Tiens, on n’entend plus parler de résultats « faux-positifs »... Ca veut dire qu’on racle les fonds de tiroir pour trouver encore des « cas » ?

                        En tous cas chez nous pas de « cas », et surtout pas de « vaxxins » !

                        Les paysans sont peut-être lourds, mais ils ne se laissent pas impressionner par la télé. Il faut dire que ça leur sert juste de fond sonore depuis Ceaucescu...


                        • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 23 septembre 2021 10:21

                          @xana
                           
                           ’’Tiens, on n’entend plus parler de résultats « faux-positifs »... Ca veut dire qu’on racle les fonds de tiroir pour trouver encore des « cas » ?’’
                           
                          On racle les fonds pour trouver des gogos prêts à avaler tout cru la potion douce-amère de faux positif. Et encore plus imbuvable pour leur entourage embringués dans une mauvaise plaisanterie de « cas contacts ».
                           
                          Tous ceux qui voudraient se tester parce qu’ils ont un doute, devraient se procurer un kit pour faire chez eux un auto-test. Bien sûr ça ne vaudra pas pour servir de pass temporaire ; mais si c’est pas le but ...


                        • njama njama 23 septembre 2021 11:57

                          Important et sidérant ! Le témoignage d’un directeur d’une entreprise de pompes funèbres en Angleterre (sous-titré et doublé ne français)
                          (39’16) https://odysee.com/@didi18:e/Funeral_Director_Speaks:f
                          il a découvert ce qui fut appelé plus tard covid à la fin novembre, début décembre 2019 ! donc avant que les médias ne parlent de Wuhan
                          début 2020 il n’y avait pas d’augmentation du taux de mortalité mais il voyait des défunts délibérément étiquetés « covid »
                          lui, sa femme qui travaille avec et un embaumeur qu’il emploie à plein temps n’ont pas attrapé le covid, bien qu’ils aient continué à laver et à habiller les défunts
                          si le virus avait été infectieux il est sûr qu’il aurait attrapé le covid parce que pendant tout ce temps il ne portait pas de masques, ni sa femme ni son embaumeur, et il récupérait les corps encore chauds
                          en mars – avril 2020 ils ont vu un pic de décès pendant deux à trois semaines
                          étrangement toutes les personnes âgées hospitalisées avaient été transférées dans des maisons de retraite
                          et il a découvert que la quantité de sédatifs Midazolam achetée avait augmentée de 1000 %
                          Il n’a jamais vu de médecins présents pour constater les décès, il n’a jamais vu un test covid, un ventilateur, des choses qui justifieraient qu’ils soient sédatés… d’où ses soupçons qu’ils auraient été euthanasiés…
                          et puis tout s’est arrêté brusquement !
                          … tous les matins il se demandait s’il allait s’effondrer, il attaquait sa journée à donner des soins funéraires, et surprise il était toujours là, tout comme sa femme et son embaumeur
                          puis concernant l’année 2020 à part ces 12 semaines « d’abattage » (sic) qui ont eu lieu dans les maisons de retraite
                          il ajoute que ce qu’il s’est passé est statistiquement impossible de se produire parce que les virus ne ciblent pas que les maisons de retraite…
                          ………-
                          je vous laisse découvrir l’autre moitié de cet échange, restez bien assis.
                          quelques autres liens si cette vidéo disparaissait :
                          https://odysee.com/@Co-Naissance:f/T%C3%A9moignage-de-JOHN-O’LOONEY—Directeur-de-pompes-fun%C3%A8bres-Britannique-(VF):7

                          (en VO) MUST WATCH !!! Funeral Directer John O’Looney Blows the Whistle on Covid
                          https://odysee.com/@thecrowhouse:2/MUST-WATCH-Funeral-Directer-John-O’Looney-Blows-the-Whistle-on-Covid:9


                          • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 23 septembre 2021 12:10

                            @njama
                             
                             Bon résumé de la vidéo.


                          • njama njama 23 septembre 2021 12:07

                            Ariane Bilheran
                            Chroniques du totalitarisme 8 - Hommage aux héros français du 15 septembre 2021

                            Et en mémoire de mon arrière-grand-père Jacques-André Girolami, officier de l’Etat-Major français, chevalier de la Légion d’Honneur (1924), qui renonça à son titre de Général, en refusant de servir le gouvernement de Pétain.

                            Accompagnée d’une citation de l’écrivain Stefan Zweig, je veux rendre hommage à toutes les professionnels et personnels (soignants, pompiers, médecins, personnels administratifs, etc.) qui ont, par leur refus héroïque du chantage et de la division du corps social (qui leur est imputée par un retournement pervers de culpabilité), subi les représailles du pouvoir.

                            Ces représailles ne sont qu’un prélude à une suite encore plus inquiétante, car il est certain que le harcèlement ne s’arrêtera pas en si bon chemin, que ce soit en intensité, ou dans ses propensions à s’étendre à d’autres citoyens.

                            Il est bien sûr que tous ceux qui feignent de ne pas voir ni comprendre ce qui se passe, ou qui se réfugient derrière des prétextes démontrant par là-même qu’ils n’ont pas fait l’effort de s’informer correctement (ce qui est de la responsabilité de chacun), portent une immense responsabilité devant l’Histoire.

                            Le harcèlement n’est jamais l’affaire d’un harceleur et de sa victime.

                            Il est l’affaire d’un groupe tout entier qui cautionne, se tait, et y participe par son silence, ou par une complicité plus active encore.

                            Il existe des décisions et des actes qui renforcent notre intégrité, comme d’autres la dégradent.

                            Ce qui s’est passé en France ce 15 septembre 2021 est un scandale moral, éthique et déontologique qui place au rang de parias des catégories de citoyens.

                            La banale indifférence et le silence moqueur devant la souffrance que cette violence réitérée engendre dans la population sont aujourd’hui coupables.

                            Stefan Zweig, dans « Le Grand Silence », une allocution prononcée le 4 mai 1940 :...

                            « Pourtant, l’étranglement de la liberté de penser et les violences faites aux intellectuels d’Allemagne, ce n’était qu’un prélude...."

                            https://www.arianebilheran.com/post/chroniques-du-totalitarisme-8-hommage-aux-h%C3%A9ros-fran%C3%A7ais-du-15-septembre-2021


                            • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 23 septembre 2021 12:35

                              @njama

                              Bonjour et merci pour ce texte d’Ariane Bilheran qui montre que le courage et la volonté triomphent de tous les obscurantismes.

                              https://www.arianebilheran.com/post/chroniques-du-totalitarisme-8-hommage-aux-h%C3%A9ros-fran%C3%A7ais-du-15-septembre-2021

                              Il y a gros à parier (mais pourquoi parier sur pareils tocards ?) que tous ces dirigeants politiques, médecins « jureurs », journalistes stipendiés et mercenaires de tout acabit n’ont jamais lu et ne liront jamais Ariane Bilheran, pas plus qu’ils ne liront Stephan Zweig.

                              La roue tourne, et avec elle les masques tomberont (sans jeu de mots).

                              « A présent, le monde dort moins, les nuits sont plus longues et plus longs aussi les jours. » (...)

                              "Jamais le silence, jamais l’obscurité n’avaient été aussi lourds dans cette maison. L’épouvante du monde entier semblait flotter froidement entre les murs. Seule l’horloge, cette sentinelle de fer, continuait imperturbablement, de gauche, de droite, et elle savait qu’à chaque mouvement du balancier l’homme, l’homme vivant et aimé qu’elle avait à ses côtés, s’éloignait d’elle. Elle ne fut plus en mesure de le supporter, elle se leva d’un bond et arrêta le pendule. Désormais il n’y avait plus de temps, juste l’effroi et le silence.« (...)

                               »Les gens désormais labourent constamment, avec leurs soucis et leurs visions, la glèbe stérile de la nuit, et quand ils sombrent enfin dans le sommeil, ils s’adonnent à des rêves étranges. Car le sang est plus chaud dans leurs artères, et cette touffeur fait naître les végétaux tropicaux de l’effroi et de l’inquiétude, des rêves dont on est heureux de s’éveiller et de sentir qu’il s’agissait de cauchemars superflus, de ce songe le plus effroyable de l’épouvantable réalité de l’humanité : la guerre de tous contre tous."

                              (...)

                              "Ça n’est pas vrai ! Ils ne sont forts que tant que le monde le veut. L’individu est toujours plus fort que le concept, seulement il faut qu’il reste lui-même, qu’il garde sa propre volonté. Il doit juste savoir qu’il est un être humain et qu’il veut le rester."

                              Stefan Zweig, Le Monde sans Sommeil Die schlaflose Welt

                              Cordialement,
                              Renaud Bouchard


                            • Legestr glaz Legestr glaz 23 septembre 2021 13:10

                              @Renaud Bouchard

                              Merci Renaud Bouchard pour la communication de ce texte si profond d’Ariane Bilherand ! Extrait, Fergus, et d’autres, se reconnaitront !

                              « Il est bien sûr que tous ceux qui feignent de ne pas voir ni comprendre ce qui se passe, ou qui se réfugient derrière des prétextes démontrant par là-même qu’ils n’ont pas fait l’effort de s’informer correctement (ce qui est de la responsabilité de chacun), portent une immense responsabilité devant l’histoire.

                              Le harcèlement n’est jamais l’affaire d’un harceleur et de sa victime. Il est l’affaire d’un groupe tout entier qui cautionne, se tait, et y participe par son silence, ou par une complicité plus active encore ». 


                            • njama njama 23 septembre 2021 13:19

                              @Renaud Bouchard
                              bonjour et merci une fois encore pour cette publication.
                              Si je reste optimiste quant à la capacité de résilience de certains, peu importe le nombre de résistants, un avenir sombre, totalitaire, se fait déjà entrevoir pour peu que l’on soit un peu éveillé. De Colombie Ariane Bilheran voit les mêmes présages « Ces représailles ne sont qu’un prélude à une suite encore plus inquiétante, car il est certain que le harcèlement ne s’arrêtera pas en si bon chemin, que ce soit en intensité, ou dans ses propensions à s’étendre à d’autres citoyens. »

                              Avez-vous lu le Discours 2021 sur l’état de l’Union européenne
                              par Ursula von der Leyen ? prononcé le jour même du 15 septembre ! coïncidence ? agenda €uropéen ? un discours fleuve qui déroule un Programme pour les années à venir, celui d’une Europe qui cherche son âme, pas moins.

                              « ...Dans la plus grande crise sanitaire que le monde ait connue depuis un siècle, nous avons choisi de faire face ensemble, de sorte que chaque partie de l’Europe bénéficie du même accès à un vaccin salvateur. »

                              « .. Mais l’ère du corona n’est pas encore révolue.... »

                              "... Pour canaliser la puissance de l’intelligence artificielle.

                              Le numérique est l’enjeu décisif..."

                              https://www.voltairenet.org/article214078.html

                              Les oppresseurs du quatrième reich auraient tort de s’arrêter en si bon chemin quand la mayonnaise plandémique « Cru 2019 » a pris contrairement à celle de 2009 qui fut un bide monumental !
                              Vaccination et certificat numérique...ne sont pas prêts de s’arrêter... pas de moratoire en vue.


                            • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 23 septembre 2021 14:00

                              À Renaud Bouchard pour cet article et ce texte de Zweig, et à njama pour celui d’Ariane Bilheran.
                               
                              Comme dit Legestr glaz ci-dessus, puissent F... s et autres maudits trolls s’y reconnaitre. En tous les cas, honte à eux.
                               


                            • njama njama 23 septembre 2021 16:21

                              @Francis, agnotologue
                              Comme dit Legestr glaz ci-dessus, puissent F... s et autres [...] trolls...(endormis ?) s’y reconnaitre.

                              Je modère un peu Francis...
                              En tous cas, ... s’ils pouvaient s’éveiller ou se réveiller un peu... nous n’en souhaiterions pas moins...

                              et si, sans vouloir les bousculer, ils auraient une petite demi-heure devant eux...
                              Le point de vue d’une ancienne représentante pharmaceutique

                              https://reseauinternational.net/il-ne-sagit-pas-de-guerison-le-point-de-vue-dune-ancienne-representante-pharmaceutique/

                              ça pourrait les faire atterrir, les déniaiser... qui sait...


                            • Legestr glaz Legestr glaz 23 septembre 2021 18:39

                              @njama

                              Je ne pense pas une seconde à ce que vous envisagez dans votre dernière phrase. Parce que, en effet, il ne s’agit, en aucune façon, de « niaiserie ». Ceux là connaissent les tenants et aboutissants de ces affaires « vaccinales ».

                              Il s’agit simplement de « tenir la place » pour y soutenir de la meilleure façon possible le discours officiel, faire passer le message propagandiste. Les outils utilisés par ces intervenants sont de la même nature que ceux que dont les médias de masse font un usage permanent : l’omission, la mauvaise foi, des présentations truquées de chiffres, des assertions sans fondement.

                               


                            • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 23 septembre 2021 20:17

                              @njama

                              Bonsoir.

                              Ce programme est terrifiant :
                              https://www.voltairenet.org/article214078.html

                              "C’est pourquoi je propose une nouvelle mission de préparation et de résilience sanitaire à l’échelle de toute l’Union. Et celle-ci devrait être appuyée par un investissement de l’Équipe Europe de 50 milliards d’ici à 2027.

                              Pour faire en sorte qu’aucun virus ne fera jamais d’une épidémie locale une pandémie mondiale. Il ne saurait y avoir de meilleur retour sur investissement que celui-là.

                              Mesdames et Messieurs les députés,

                              Le travail fourni sur l’Union européenne de la santé constitue une avancée majeure. Et je tiens à remercier cette Assemblée pour son soutien.

                              Nous avons démontré que lorsque nous agissons ensemble, nous sommes capables d’agir rapidement.

                              Prenons l’exemple du certificat numérique de l’Union européenne :

                              Aujourd’hui, plus de 400 millions de certificats ont été émis dans toute l’Europe. 42 pays sur 4 continents différents sont connectés au système.

                              Nous l’avons proposé en mars.

                              Vous avez soutenu cette proposition !
                              Trois mois plus tard, il était opérationnel.

                              Grâce à cet effort commun, pendant que le reste du monde en parlait, l’Europe l’a fait, tout simplement.

                              À maints égards, nous avons fait ce qu’il fallait. Nous avons agi rapidement pour créer l’instrument SURE. Celui-ci a soutenu plus de 31 millions de travailleurs et 2,5 millions d’entreprises dans toute l’Europe.

                              Nous avons tiré les leçons d’un passé où nous étions trop divisés et trop à la traîne.

                              Et la différence est nette : la fois précédente, il a fallu 8 ans à la zone euro pour retrouver son niveau de PIB d’avant la crise.

                              Cette fois, nous prévoyons que 19 pays reviendront au niveau d’avant la pandémie cette année encore, bientôt suivis par les autres. La croissance de la zone euro a surpassé celle des États-Unis et de la Chine au dernier trimestre.

                              Mais ce n’est qu’un début. Et les leçons de la crise financière doivent inciter à la prudence : À l’époque, l’Europe avait crié victoire trop tôt, et nous en avons payé le prix. Nous ne referons pas cette erreur.

                              La bonne nouvelle, c’est qu’avec NextGenerationEU, nous allons à présent investir à la fois dans la reprise à court terme et la prospérité à long terme.

                              Nous allons nous attaquer aux problèmes structurels de notre économie, qu’il s’agisse de réformer le marché du travail en Espagne, le système de retraite en Slovénie ou la fiscalité en Autriche.

                              Nous allons investir comme jamais auparavant dans la 5G et dans la fibre. Mais l’investissement dans les compétences numériques est tout aussi important. Cette tâche requiert l’attention des dirigeants et un dialogue structuré au plus haut niveau.

                              Toutes les mesures que nous prenons montrent clairement la voie à suivre aux marchés comme aux investisseurs."

                              RIP...

                              Cordialement,

                              Renaud Bouchard


                            • eau-mission eau-pression 24 septembre 2021 10:06

                              @njama

                              Et comment conciliez-vous des discours de ce genre avec votre vénération d’une qui trouve que « la vaccination obligatoire et son pass sont moins hypocrites » ?


                            • eau-mission eau-pression 24 septembre 2021 10:07

                              @ENOLA Gué

                              Et pourquoi pas Al & Gorie ?


                            • I.A. 24 septembre 2021 10:14

                              @Legestr glaz

                              « Il s’agit simplement de « tenir la place » pour y soutenir de la meilleure façon possible le discours officiel, faire passer le message propagandiste. Les outils utilisés par ces intervenants sont de la même nature que ceux que dont les médias de masse font un usage permanent : l’omission, la mauvaise foi, des présentations truquées de chiffres, des assertions sans fondement. »

                              Je pense comme vous. Ce sont des professionnels ou des proches de professionnels...


                            • njama njama 24 septembre 2021 14:42

                              @eau-pression
                              Arthes la jolie salardaise caméleon peut bien faire ce qu’elle veut, de son corps, c’est une femme libre,... elle travaille en restauration, les anti-pass et manifs freinent le business et le tourisme...
                              Sarlat, comme Avignon et bien d’autres lieux touristiques en paieront l’addition de cette dictature sanitaire qui ne dit pas son nom.

                              Ni Macron, ni Castex, ni Véran ne vous le diront, alors faire porter le problème à un nombre de manifestants réfractaires que le ministère minimise d’ailleurs et qui n’engendrent aucun cluster épidémique, c’est du foutage de gueule, Arthes se trompe peut-être de combat ?

                              Je suis simplement pour la liberté thérapeutique, et son point de vue sur la question n’entame pas toute l’affection que j’ai pour son côté libertaire, et que je lui garde, nous avons bien des atomes crochus sur d’autres sujets.


                            • eau-mission eau-pression 24 septembre 2021 18:34

                              @njama

                              Je me permets juste de vous signaler que vous avez plus de chances (a priori) de rencontrer @arthes dans un club libertin que libertaire. Et aussi que si j’en crois ce qui se passe dans ma ville, les manifs anti-passe ne doivent pas nuire beaucoup au tourisme à Sarlat.

                              Je crois qu’on ne mesure pas le niveau de violence que constitue la quasi-obligation des injections pour certaines activités professionnelles. Peut-être confondez-vous les violences consenties du libertinage à ce type d’expérimentation.

                              A côté, la violence de votre agression verbale de l’autre jour c’est pipi de chat. D’ailleurs je arierais que vous ne vous en souvenez pas, et je ne ferai pas l’effort de rechercher le post en question. J’ai trouvé discourtois de ne pas répondre ensuite.

                              Il y a souvent un fossé entre la théorie et la pratique.


                            • njama njama 25 septembre 2021 12:45

                              @eau-pression
                              A côté, la violence de votre agression verbale de l’autre jour...
                              je ne me souviens pas vous avoir répondu ? je suis remonté dans mes commentaires jusqu’en juin 2021 sans rien trouver ? désolé de vous avoir froissé, blessé peut-être, et sans me souvenir de quel sujet il s’agissait, je vous présente mes excuses pour réparer cette maladresse.

                              Contrairement à bien d’autres avoxiens je ne suis jamais rentré dans les commentaires libertins de arthes... j’aurais été mal placé d’y répondre, étant complétement ignare, inculte, dans ce domaine fort éloigné de l’éternel féminin et du romantisme. Ce n’est pas ma planète.

                              "Je crois qu’on ne mesure pas le niveau de violence que constitue la quasi-obligation des injections pour certaines activités professionnelles."
                              Bien d’accord, c’est de l’extorsion de consentement, un odieux chantage, un VIOL qui ne dit pas son nom.

                              Pour les manifs anti-pass, j’ai pris un abonnement et n’en ai loupé que deux, j’y cours d’ailleurs cet après-midi à Lille pour la onzième édition... le beau temps est de la partie, espérons que nous ne nous prendrons pas des lacrymos sur la tronche comme ce fut déjà le cas.


                            • eau-mission eau-pression 27 septembre 2021 10:44

                              @njama

                              Puisque vous répondez, je suis allé rechercher le post incriminé, qui se trouve sous un article bien nommé « zizanie » d’@alinea.

                              Il est évident que, puisque nous échangeons assez peu, votre avis sur moi ne m’a pas blessé, juste désobligé. J’ai gardé cet épisode en tête comme symbolique du clivage auquel on nous incite. Sur le fond, il y a peu de différences entre votre réaction à l’obligation vaxxinale hypocrite et la mienne. J’ai participé à deux manifestations dans ma ville, et j’ai déjà dit que l’ambiance n’avait rien du sectaire, contrairement à ce que les médias reportent. Sur la forme, je ne comprends pas le combat des « médisants », mais il m’apparaît quand même comme une injonction générale à se soumettre.

                              A tout hasard, je vous signale qu’après être monté à un niveau d’études très correct, j’ai plutôt descendu l’échelle sociale. Je suis aussi suffisamment monté à différentes échelles pour avoir rencontré chaque fois des gens à qui je reconnais une supériorité. Si cela m’a donné une qualité, c’est peut-être de déceler l’imposture.


                            • eau-mission eau-pression 27 septembre 2021 10:45

                              @eau-pression

                              Oubli du lien.


                            • karibo karibo 23 septembre 2021 12:39

                              Comme à votre habitude , décoiffant !!!

                              1 seul mot

                              Merci !!!


                              • Legestr glaz Legestr glaz 23 septembre 2021 13:29

                                Max et les maxi-monstres en tête de gondole ! 

                                Un des articles les plus intéressants qui soit qui m’ait été donné de lire depuis bien longtemps sur Agoravox. 

                                C’est simplement « limpide ». La « manipulation » des esprits par « nozotorités » dégouline de partout. 

                                Merci Renaud Bouchard. C’est avec ce genre de parution que l’on se sent, d’une part, un peu moins seul, et, d’autre part, renforcé dans ses convictions que ce sont bien les libertés individuelles qui risquent de passer à la trappe sans un réveil « citoyen ». La « situation sanitaire dégradée » est une farce dramatique : max et les maxi-monstres, une illustration bien choisie. Mais, cette fois-ci, le vilain petit garçon ne retournera pas sans contrainte, vers la raison et l’apaisement. 



                                  • eau-du-robinet eau-du-robinet 23 septembre 2021 19:13

                                    un court extrait de la vidéo :
                                    .

                                    Convention européenne des droits de l’homme

                                    Article 5
                                    Droit à la liberté et à la sûreté

                                    Tout personne a droit à la liberté et à la sûreté. Nul ne peut être privé de sa liberté, sauf dans les cas suivantes et selon les voies légales :

                                    .....

                                    e) s’il s’agit de la détention régulière d’une personne susceptible de propager une maladie contagieuse, d’un aliéné, d’un alcoolique,d’un toxicomane ou d’un vagabond ;


                                  • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 23 septembre 2021 20:06

                                    @eau-du-robinet

                                    Bonsoir et merci pour ce lien que je n’arrive malheureusement pas à ouvrir :

                                    La question est latente:qu’en sera-t-il finalement de l’interdiction de l’exercice de missions de police par des forces de police sous statut militaire ?

                                    European Gendarmerie Force

                                    La Force de Gendarmerie Européenne (EUROGENDFOR ou EGF), est une force d’intervention rapide et opérationnelle paramilitaire composée de +- 800 « combattants » (2300 réservistes, un total de 3000 hommes) de forces de police ayant le statut militaire. Cette armée privée, crée à l’initiative de la France et composée d’effectifs de 7 pays membres, est là pour faire face à la gestion d’une crise.

                                    Comprenez par là, une gestion militaire de crise, principalement de type rébellion, émeute et soulèvement de population.

                                    Cette force est utilisée dans le cadre d’une gestion nécessitant une action rapide et très violente, pouvant aller jusqu’à l’assassinat sans justification légale. Elle n’a aucun compte à rendre et se substitue aux forces réglementaires des pays l’utilisant..

                                    Cette armée privée à la solde de l’UE dispose de plusieurs « casquettes », elle est à la foi police, police judiciaire et armée et dispose de son propre service secret. Une puissante force de l’ombre au mental de mercenaires. Justiciers et bourreaux.

                                    Ils peuvent être déployés en moins de 30 jours dans toute l’Europe pour étouffer n’importe quelle révolution.

                                    Sa devise est « Lex paciferat », « la loi pacifiera ».

                                    https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042895537


                                  • eau-du-robinet eau-du-robinet 23 septembre 2021 20:36

                                    Bonsoir Renaud Bouchard,
                                    .
                                    Je vous invite d’essayer ce lien pour ouvrir la vidéo

                                    Si ça ne marche pas, essayez de désactiver momentanément votre Antivirus et essayez de nouveau.
                                    .
                                    MalwareBytes m’avait créée des misères pour accéder aux vidéos sur ODYSEE et je me suis désabonnée !!!


                                  • eau-du-robinet eau-du-robinet 23 septembre 2021 20:37

                                    Bonsoir Renaud Bouchard,
                                    .
                                    essayez ce lien


                                  • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 23 septembre 2021 20:38

                                    @ENOLA Gué

                                    De Tibbets à bord d’Enola.

                                    La prospection et la réunion d’images pieuses est en route.
                                    Méthode DIY, prospection par rencontres et rhizome, le but étant de susciter un intérêt bien compris en dehors du tam-tam médiatique et du bruit de fond parasitaire.
                                    On en reparle.

                                    Cordialement,
                                    RB


                                  • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 23 septembre 2021 20:42

                                    @ENOLA Gué

                                    Un grand conquérant est un homme seul...

                                    https://youtu.be/WhvMlyqWUVw?t=4

                                    RB


                                  • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 23 septembre 2021 20:38

                                    sont en route


                                    • Iris Iris 23 septembre 2021 21:47

                                      @ENOLA Gué
                                      Bof, je suis plutôt pisse froid, je m’intéresse à Montebourg en ce moment, zavez qua voir...


                                    • Iris Iris 24 septembre 2021 00:10

                                      @Shawford

                                      Là où va tous vous renvoyer -Sirius compris, MY Philou42, quand il aura enfin dirigé son Clojea !

                                      Patience et longues heures de Tweets font mieux que…


                                      LOL, je ne comprends absolument rien à ce que vous me dites.

                                    • Iris Iris 24 septembre 2021 00:21

                                      @cyrus

                                      je reste persuadé , que tu roule pour macron , et jadot ,

                                      Vous etes un grand malade

                                    • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 24 septembre 2021 08:17

                                      Aux Lecteurs

                                      Cette excellente vidéo :

                                      Un Cauchemar Orwellien - « Mon dîner avec André » (1981)

                                      Extrait choisi : tout est dit.

                                      https://www.youtube.com/watch?v=ReKxI_Ik3G0

                                      Renaud Bouchard


                                      • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 24 septembre 2021 08:56

                                        @Renaud Bouchard
                                         
                                        Merci pour cette petite mais excellente vidéo qui date de 1981 : j’en recommande particulièrement la première partie ; les 3 premières minutes. Ce qui y est dit prend un sens encore plus effroyable si on considère ce qu’il se passe aujourd’hui. 
                                         
                                        Mais 40 ans après, on constate amèrement que l’idée des communautés

                                        exprimée dans la deuxième partie a fait pschitt.


                                      • alinea alinea 24 septembre 2021 13:19

                                        @Francis, agnotologue
                                        Oui, mais les gens qui les composaient existent encore ! j’en suis une, et le témoin ! cette petite population auto créée sur un grand cœur et ses grands idéaux est en lien encore aujourd’hui !
                                        Un peu comme les Gilets Jaunes, avec des recoupements d’ailleurs ; certes cela ne fait que quelques centaines de milliers de personnes, mais les ZAD sont de nouveaux centres.
                                        Les Bourguignon aident à des créations des « petits ilots de survie »...


                                      • njama njama 24 septembre 2021 12:57

                                        Désactiver la carte bancaire d’un individu qui ne télécharge pas l’application Stop Covid ?

                                        Christine Lagarde

                                        https://twitter.com/Yoann_IV/status/1440955581951533058/photo/1


                                        • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 24 septembre 2021 13:01

                                          @njama
                                           
                                           Mais quand donc les gens vont-ils ouvrir les yeux ?
                                           
                                           smiley


                                        • troletbuse troletbuse 24 septembre 2021 13:16

                                          @Francis, agnotologue
                                          Ceux qui sont nés cons mourront cons !


                                        • alinea alinea 24 septembre 2021 13:22

                                          @njama
                                          Ça serait pas une mauvaise chose : ils seraient fort désappointés si vous la foutiez tous à la poubelle ; ce serait bien en effet.


                                        • chantecler chantecler 24 septembre 2021 13:37

                                          @troletbuse
                                          Je doute vraiment qu’on naisse con ...


                                        • njama njama 24 septembre 2021 13:41

                                          @alinea

                                          La Lagarde ne dit pas comment ceux qui ont une CB mais qui n’ont pas un smartphone pourraient être désactivés ?
                                          dans un couple nous ne sommes pas obligés d’avoir chacun une CB
                                          Y a-t-elle pensé ?
                                          Il y a toujours moyen d’aller retirer de l’argent au guichet, de payer par chèque, virement... de faire un chèque, ou virement à une personne qui a l’appli #StopCovid en contrepartie d’un paiement CB, ou d’un retrait d’espèces... de créer une monnaie locale genre SEL
                                          https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_d%27%C3%A9change_local

                                          Elle ne dit pas non plus comment elle compterai contrôler les paradis fiscaux...


                                        • eau-mission eau-pression 24 septembre 2021 13:43

                                          @chantecler

                                          Celui qui rit d’être con, il n’est pas douteux qu’il se connaisse


                                        • njama njama 24 septembre 2021 13:43

                                          @chantecler
                                          oui moi aussi, mais nous ne grandissons pas tous sur le même terreau


                                        • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 24 septembre 2021 13:46

                                          @njama
                                           
                                           mais aussi, et surtout : télécharger où, l’appli stop-covid ?
                                           
                                          Sur un smartphone ? Et ceux qui n’ont pas de mobile ? Perso je suis prêt à m’en passer et fermer mon abonnement.
                                           
                                           Je n’en ai pas eu pendant une soixantaine d’années, ça ne me manquera pas beaucoup.


                                        • njama njama 24 septembre 2021 14:25

                                          @Francis, agnotologue

                                          justement je me demandais par quoi remplacer éventuellement mon (déjà) vieil Iphone 4S qui en 3G commence à ramer... et que WhatsApp va bouder d’ici peu début 2022
                                          peut-être par un vieux truc sans écran qui fonctionne avec des cartes pré-payées, comme le fait n’importe quel petit truand... pour rester anonyme...

                                          Ce je ne sais pas où aboutira ce délire, mais il nous faut réfléchir déjà à des solutions alternatives
                                          vive la créativité, l’imagination...
                                          devra-t-on s’inspirer des méthodes de nos banlieues chaudes...
                                          why not, si c’est pour la bonne cause, la résistance à ’oppresseur se doit d’exploiter toutes possibilités non-conventionnelles  smiley



                                        • alinea alinea 24 septembre 2021 17:15

                                          @njama
                                          Ma réponse était à moitié sérieuse, mais pas à propos ! puisque je n’ai pas suivi les délire de Madame !! c’est juste que si on se délestait de tous ces accessoires nous serions plus légers, moins sensibles à leur folie !


                                        • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 24 septembre 2021 17:49

                                          @njama

                                          Désactiver la carte bancaire d’un individu qui ne télécharge pas l’application Stop Covid ?

                                          Christine Lagarde

                                          https://twitter.com/Yoann_IV/status/1440955581951533058/photo/1

                                          Décidément, cette rombière est toxique.

                                          Elle risque fort de rejoindre la déjà très longue liste des gens qu’il va falloir, capturer, arrêter, juger et sévèrement condamner à de très longues peines de prison, assorties de l’indignité nationale et de la confiscation définitive de leurs biens.

                                          Quant à la prophétie de V. Bukovsky, il est fort probable qu’elle se réalise à ceci près que la violence sera au rendez-vous.

                                          "Il est étonnant qu’après avoir enterré un monstre, l’URSS, on en construise un tout autre semblable, l’Union Européenne. Qu’est-ce, au juste, que l’Union Européenne ? Nous le saurons peut-être en examinant sa version soviétique.

                                          L’URSS était gouvernée par quinze personnes non-élues qui se cooptaient mutuellement et n’avaient à répondre à personne. L’Union Européenne est gouvernée par deux douzaines de gens cooptés qui se réunissent à huis clos, ne répondent à personne et ne sont pas limogeables. On pourrait dire que l’UE a un parlement élu.

                                          L’URSS aussi avait une espèce de parlement, le Soviet Suprême. Nous avalisions sans discussion les décisions du Politburo, tout comme le Parlement Européen, où le temps de parole de chaque groupe est rationné et souvent se limite à une minute par intervention. À l’UE, il y a des centaines de milliers d’eurocrates, avec leurs émoluments énormes, leur personnel, leurs larbins, leurs bonus, leurs privilèges, leur immunité judiciaire à vie, simplement transférés d’un poste à un autre, quoi qu’ils fassent, bien ou mal. N’est-ce pas l’URSS tout crachée ?

                                          L’URSS fut créée par la contrainte, très souvent avec occupation armée. On est en train de créer l’UE, pas par la force armée, non, mais par la contrainte et la terreur économique. Pour continuer d’exister, l’URSS s’est étendue toujours plus loin. Dès qu’elle a cessé de s’étendre, elle a commencé à s’écrouler. Je soupçonne qu’il en sera de même pour l’UE.

                                          On nous avait dit que le but de l’URSS était de créer une nouvelle entité historique, le Peuple Soviétique. Il fallait oublier nos nationalités, nos traditions et nos coutumes. Même chose avec l’UE, semble-t-il. Ils ne veulent pas que vous soyez anglais ou français, ils veulent faire de vous tous une nouvelle entité, des européens, réprimer vos sentiments nationaux, vous forcer à vivre en communauté multinationale. 73 ans de ce système en URSS se sont soldés par plus de conflits ethniques que nulle part ailleurs au monde.

                                          Un des buts grandioses de l’URSS était de détruire les états-nations. C’est exactement ce que nous voyons en Europe aujourd’hui. Bruxelles a l’intention de phagocyter les états-nations pour qu’ils cessent d’exister.

                                          Le système soviétique était corrompu du haut jusqu’en bas. C’est la même chose pour l’UE. Les activités antidémocratiques que nous voyions en URSS, fleurissent en Union Européenne. Ceux qui s’y opposent ou les dénoncent sont bâillonnés ou punis.

                                          Rien n’a changé.

                                          En URSS nous avions le goulag. Je crois qu’on l’a aussi dans l’UE. Un goulag intellectuel, nommé « politiquement correct ». Essayez de dire ce que vous pensez sur des questions de race ou de sexualité, et si vos opinions ne sont pas bonnes, vous serez ostracisés. C’est le commencement du goulag. C’est le commencement de la perte de votre liberté.

                                          En URSS, on pensait que seul un état fédéral éviterait la guerre. On vous raconte exactement la même chose dans l’UE.

                                          Bref, c’est la même idéologie dans les deux systèmes. L’UE est le vieux modèle soviétique habillé à l’occidentale. Mais, comme l’URSS, l’Union Européenne porte en elle les germes de sa propre perte. Hélas, quand elle s’écroulera, car elle s’écroulera, elle laissera derrière elle une immense destruction et de gigantesques problèmes économiques et ethniques. l’ancien système soviétique était irréformable. De même, l’Union Européenne.

                                          Mais il y a une alternative à être gouvernés par deux douzaines de ronds-de-cuir à Bruxelles. L’indépendance. Vous n’êtes pas forcés d’accepter ce qu’ils vous réservent. On ne vous a jamais demandé si vous vouliez vous joindre à eux.

                                          J’ai vécu dans votre futur, et ça n’a pas marché."

                                          Bien à vous,

                                          Renaud Bouchard


                                        • njama njama 24 septembre 2021 17:06

                                          Puisque le titre de l’article parle de prophétie, celle de Vladimir Boukocski en se déroule sous nos yeux

                                          « J’ai vu dans votre futur... »

                                          L’Union €uropéenne : la nouvelle URSS

                                          https://www.youtube.com/watch?v=KHOuc12J4W4&t=1s


                                          • troletbuse troletbuse 24 septembre 2021 21:13

                                            La liste des manifs vient seulement d’être mise à jour il y a 3 ou 4 heures. Mais il faut bien la chercher. La voici

                                            https://www.breakflip-awe.com/societe/actualites/manifestation-anti-pass-sanitaire-25-septembre-2021-ou-ont-elles-lieu-4184

                                            https://www.facebook.com/groups/mcseofficiel/permalink/524455128707044/

                                            Pour ceux de l’ESt, Metz 14h00 Comme d’hab.


                                            • troletbuse troletbuse 24 septembre 2021 21:15

                                              @troletbuse
                                              Presque 300 manifs demain et il fera super beau.  smiley


                                            • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 24 septembre 2021 21:22

                                              @troletbuse
                                              Super . Y’a plus de places pour ceux comme moi qu’ont piscine. Et pis les flics étant occupés on peut essorer un peu plus la poignée des bécanes...Continuez !


                                            • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 24 septembre 2021 22:41

                                              Aux Lecteurs

                                              Quand l’UE jette le masque et entreprend de régenter la santé européenne dans tous ses aspects.Il devient plus que jamais urgent de refuser pareille mainmise. Veuillez lire attentivement ce qui suit. La frontière est mince entre HERA et HECATE...

                                              Source : https://www.pardem.org/hera-erigee-en-nouvelle-divinite-de-lue

                                              Par Joël Perichaud, Secrétaire national du Parti de la démondialisation aux relations internationales. Déjà,en avril 2021, dans un article intitulé : Vers une « Europe de la santé » à marche forcée (https://www.pardem.org/vers-une-europe-de-la-sante-marche-forcee-13), la Commission européenne (CE) dépossèdait les États de leurs prérogatives en matière sanitaire. Mais l’instrument de cette destruction baptisé « Health Emergency Response Au-thority » (HERA), en bon globish, va plus loin. "Explications.Sous le (faux) prétexte de “renforcer la capacité de l’UE à prévenir, détecter et contrer rapidement” les prochaines crises sanitaires, la Commission européenne (CE) dote sa nouvelle instance de 6 milliards d’euros pour “développer, approvisionner, stocker et distribuer des traitements médicaux”.Mais pour la Commission, HERA ne sera pas une agence indépendante sur le modèle de l’Agence européenne des médicaments (EMA) ou du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC). Non. Elle sera établie “au sein de la Commission”, complètement opérationnelle dès le début 2022, fonctionnera de façon flexible (?) et s’appuiera sur les pouvoirs et l’expertise de l’exécutif européen dont on peut juger de l’efficacité à travers sa “gestion” de la crise du Covid-19…HERA, en lien avec l’industrie pharmaceutique, sera pilotée par un conseil réunissant “experts” de la Commission et représentants des États. Le Parlement européen ne sera qu’un observateur. Les États, dont la santé est une compétence exclusive, devront donner leur feu vert, sans que le texte ne soit débattu ni voté par le Parlement européen. Un camouflet de plus pour l’euro-parlement (fantoche) qui finalement n’a que ce qu’il mérite, le mépris.Le texte de la CE propose d’étendre le mandat de l’HERA au-delà des maladies transmissibles pour couvrir aussi les principales maladies non transmissibles (cardiovasculaires et respiratoires, cancers, diabètes, maladies mentales). Ce n’est qu’un début…En fait, l’HERA collectera des renseignements “médicaux” et, en cas d’urgence, assurera mise au point, production et distribution de médicaments, de vaccins et d’autres contre-mesures médicales. Terminée la souveraineté des États en matière de politique sanitaire.Mais ce n’est pas tout… Le terme “contre-mesures médicales” (CMM) doit nous nous inquiéter… Bien sûr, la CE donne l’exemple des gants et des masques, mais qu’est-ce qu’une contre-mesure ? Notion très utilisée dans le domaine militaire, c’est une disposition prise pour s’opposer à une action, à un effet, à un événement ou pour les prévenir, une action destinée à rendre inefficaces les armements ennemis. Dans le domaine militaire, les c-m sont nombreuses (antimissiles, etc.) Les contre-mesures médicales comprennent des médicaments (molécules de synthèse chimique ou biotechnologiques) destinées soit à mieux protéger le personnes contre un agent chimique, biologique et radiologique (CBR) par une administration précédant l’exposition (traitements prophylactiques contre certaines expositions chimiques ou radiologiques ou certains vaccins) soit, traiter un patient après une exposition (antidotes, etc.), au cas où les populations seraient effectivement exposées à de tels agents CBR (de manière naturelle, accidentelle ou intentionnelle). Exemple : la distribution, préventive, de pastilles d’iode aux habitants près des centrales nucléaires. La CE et HERA “prenant la main” sur les CMM pour leur développement, l’approvisionnement, le stockage et la distribution des traitements médicaux, nous serons dépendants de ses laboratoires “partenaires” et du bon vouloir de Bruxelles en terme de recherche et développement. C’est la traduction concrète de la novlangue néolibérale de “l’Union” : « L’HERA répondra aux défis du marché et stimulera la capacité industrielle. L’HERA maintiendra un dialogue étroit avec l’industrie, établira une stratégie à long terme pour la capacité de production et des investissements ciblés, et s’attaquera aux goulets d’étranglement de la chaîne d’approvisionnement pour les contre-mesures médicales… Les activités de l’HERA s’appuieront sur un budget de 6 milliards d’euros provenant de l’actuel cadre financier pluriannuel pour la période 2022-2027, dont une partie proviendra du complément NextGeneration EU… Le soutien total s’élèvera à près de 30 milliards d’euros pour la prochaine période de financement et même davantage si l’on tient compte des investissements à l’échelon national et dans le secteur privé (facilité pour la reprise et la résilience, REACTEU, Fonds de cohésion et le programme InvestEU au sein de l’UE, ainsi que l’instrument de voisinage, de coopération au développement et de coopération internationale en dehors de l’UE) ».Le chœur des vierges…La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen a déclaré : « L’HERA est un nouveau pilier d’une union de la santé plus forte et une avancée majeure pour notre préparation aux crises. Grâce à elle, nous pourrons être sûrs de disposer des équipements médicaux nécessaires pour protéger nos citoyens (?) contre les futures menaces pour la santé…C’est ce que j’ai promis en 2020, et c’est ce que nous mettons en œuvre  ».- Margaritis Schinas , v-pdt chargé de la promotion de notre mode de vie européen (?) : « L’HERA a une mission claire : garantir la disponibilité, l’accès et la distribution de contre-mesures médicales dans l’Union. L’HERA constitue la réponse de l’UE à la fois pour anticiper et pour gérer les situations d’urgence. Elle disposera de l’influence et du budget nécessaires pour collaborer avec l’industrie, les experts médicaux, les chercheurs et nos partenaires mondiaux afin de veiller à ce que des équipements, des médicaments et des vaccins essentiels soient rapidement disponibles en cas de besoin  ».- Stella Kyriakides, commissaire à la santé et à la sécurité alimentaire  : «  L’HERA est une pièce maîtresse cruciale pour une Union européenne de la santé forte. Grâce à elle, nous serons en mesure d’anticiper les menaces par l’analyse prospective, de coordonner nos actions pour réagir en temps utile par le développement, l’approvisionnement et la distribution de contre-mesures médicales critiques à l’échelle de l’UE. Avec cette structure de sécurité sanitaire unique, nous sommes en avance sur notre temps. La sécurité sanitaire devient une entreprise collective dans l’ UE. L’HERA symbolise le changement d’état d’esprit, en matière de politique de santé, auquel nous devrions tous nous rallier. »- Mariya Gabriel, commissaire à l’innovation, à la recherche, à la culture, à l’éducation et à la jeunesse : « Les contre-mesures médicales sont essentielles pour lutter contre les menaces pour la santé. La Commission a été à l’avant-garde de la lutte contre la pandémie ( ?)… La re-cherche et l’innovation seront un élément essentiel de l’HERA, dans la mesure où la nouvelle autori-té entend promouvoir et soutenir le développement de technologies médicales et leur production ».- Thierry Breton, commissaire au marché intérieur : « Nous ne pouvons pas garantir la santé de nos citoyens sans disposer au sein de l’UE de capacités industrielles et de chaînes d’approvisionnement en bon état de fonctionnement. Nous devons être mieux préparés aux futures crises sanitaires. L’HERA mettra en place de nouvelles capacités de production adaptables et des chaînes d’approvisionnement sûres pour aider l’Europe à réagir rapidement en cas de besoin ».Une véritable politique de santé ? Une véritable politique de santé publique repose sur un choix politique et démocratique qui ne peut être fait que par les citoyens et ne peut donc être imposée par des eurocrates non élus, soumis aux multinationales de la santé et à l’idéologie néolibérale. La condition nécessaire à une véritable politique de santé publique, en faveur de toutes et tous, est d’abord la souveraineté nationale et populaire. Seuls les citoyens sont légitimes pour décider du système de santé qui leur convient. De plus, choisir le système de santé public, universel et gratuit, c’est-à-dire une sécurité sociale qui couvre à 100%les citoyens, “de la naissance à la mort », exige qu’ils soient maîtres des finances de la Nation. Reconquérir notre souveraineté sanitaire passe donc, obligatoirement, par la sortie de l’instance supranationale, anti-démocratique, que sont l’Union européenne et l’euro.

                                              Hélas, si l’on en croit les candidats à la Présidentielle de 2022 on en est encore bien loin. Qui va donc combattre contre Hera la nouvelle déesse de l’Union européenne si ce n’est le peuple ?"

                                              Qui va combattre. Des gens comme vous et moi. Question de volonté et de courage, mais je ne dois pas être seul.

                                              Renaud Bouchard

                                               


                                              • njama njama 25 septembre 2021 12:05

                                                @Renaud Bouchard
                                                L’HERA permettrait à l’U€ de se parer d’un messianisme philanthropique en carton-pâte faute d’avoir une âme qu’elle n’aura jamais par le truchement de la santé qui est une question transversale, qui comme la religion n’a pas de frontières. Idem pour le (soi-disant) réchauffement climatique. L’U€ saura trouver des apôtres idiots utiles pour promouvoir pareil instrument politique, du genre Greta Thunberg...

                                                Si cela pourrait contribuer à déniaiser au moins un peu ceux qui croient encore aux miracles des vaccins et en cette pseudo-science. parce que c’est business as usual ! « NOUS CRÉONS DES MARCHÉS. » ! du capitalisme, nothing else !
                                                itw à ne pas manquer !

                                                « Il ne s’agit pas de guérison. » Le point de vue d’une ancienne représentante pharmaceutique
                                                Elisabeth Linder a travaillé pendant 28 ans pour l’une des plus grandes entreprises pharmaceutiques.
                                                Dans le cadre de son travail de représentante pharmaceutique, elle a commencé à se demander s’il s’agissait vraiment de guérir les gens. Aujourd’hui, elle parle de ses expériences …

                                                Intro : Comparée à l’industrie pharmaceutique, la Mafia est un « club philanthropique ». Et là j’ai vu clairement qu’il ne s’agit pas du tout du bien-être des personnes, ni de les protéger, ni de faire quelque chose de bien. Je suis comme une enfant. Encore aujourd’hui. Je crois toujours au bien et je pense toujours : Oui, quand on fait quelque chose, c’est vraiment parce qu’on veut faire du bien à l’autre. C’est pour ça qu’au début, j’ai même pensé que les vaccins étaient ou produisaient vraiment quelque chose de bon. Aujourd’hui, bien sûr, je suis beaucoup mieux informée de ce qui se passe à l’Institut Robert Koch (RKI) et de ce qu’ils ont fait comme expériences depuis 100 ans. C’est juste cruel, ce qui s’est passé là…

                                                Elisabeth Linder : Je m’appelle Elisabeth Linder. J’ai travaillé en pharmacie pendant de nombreuses années, dans le domaine des vaccins. J’y suis venue parce que j’étais mère célibataire et que je devais simplement gagner de l’argent, et c’est grâce à une de mes amies qui travaillait en pharmacie, que je suis arrivée là. En 1980 j’ai suivi une formation de représentant pharmaceutique, puis j’ai commencé à travailler pour une grande entreprise, la première société de vaccins sur le marché mondial. Au début déjà je n’étais pas d’accord avec ce qui se passait. Mais comme je devais nourrir mon enfant et que nous devions aussi nous loger, je me suis dit, – Ok, c’est l’opportunité où je peux le mieux gérer mon temps, où je peux gagner assez d’argent pour subvenir à nos besoins à tous les deux.
                                                Et oui, au début, il n’y avait que quelques vaccins, je pouvais vivre avec ça. L’hépatite B et le tétanos, la diphtérie, la polio et ainsi de suite, et puis au fil des années, il y en a eu de plus en plus. J’ai toujours cru ce qu’on nous disait, que les vaccins sont si important et que nous en avons besoin, et c’est ainsi que les maladies infectieuses déclineront. Je croyais tout ça à l’époque, j’étais complètement nouvelle. Et au fil des années et des cours de formation, et de ce que nous avons entendu, j’ai eu peu à peu le sentiment que ce que je faisais n’était peut-être pas aussi bien après tout. Que ce n’est pas quelque chose qui aide vraiment l’humanité. La première fois que la polio a été injectée, ce sentiment s’est cristallisé de plus en plus lorsque le vaccin a été disponible. Ce n’était pas parce que tant de personnes mouraient lorsqu’il était administré par voie orale, mais parce qu’il était plus cher, dans les 45 marks de l’époque. Puis quand le vaccin suivant est arrivée, ça m’a fait beaucoup réfléchir. C’était à l’époque où il y avait le vaccin contre la varicelle. Et lors d’un événement, il a été dit littéralement : « Nous créons des marchés. » Il ne s’agit pas des enfants, c’est ce qui m’a immédiatement traversé l’esprit. Il ne s’agit pas de protéger les enfants. Je l’ai calculé très vite. Il s’agissait du fait que c’était un problème économique et cela m’a choquée. Déjà à l’époque toute la Commission permanente des vaccinations (en abrégé STIKO) était là, avec leur slogan « Nous créons des marchés.  »- : Nous créons des marchés signifie qu’il n’y a en fait aucun marché pour cela. Aussi brutal que cela puisse paraître. J’ai eu une boule dans l’estomac parce que j’ai pensé : « Qu’est-ce que vous voulez dire, par – Nous créons des marchés ? » Et puis nous avons dû aller voir les médecins et leur vendre le vaccin…. ; et ensuite beaucoup d’enfants sont morts à cause de cela. Aucun pédiatre n’a eu d’enfants qui sont morts de la varicelle.
                                                Finalement, c’est une question d’argent, oui !

                                                voir la vidéo – lire – enregistrer – le verbatim de la traduction est sous la vidéo
                                                https://www.kla.tv/19893

                                                en VO https://www.kla.tv/19551


                                              • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 25 septembre 2021 18:33




                                                Veuillez lire ou relire ce qui suit :

                                                Vivre ensemble, être malade ensemble, et demain…mourir ensemble ? Sociétés, maladies et brassages de populations
                                                par Renaud Bouchard
                                                jeudi 23 mai 2019



                                                Publié le 15/05/2013 à 16h20

                                                Depuis vingt ans, la tuberculose, le paludisme et le sida sont considérés comme des priorités de santé publique mondiale. Les recherches dans ces domaines bénéficient d’un financement considérable, afin de développer les vaccins. Sans le moindre succès. Les deux études mondiales qui paraissaient prometteuses, l’une contre la tuberculose, l’autre contre le paludisme, ont été arrêtées du fait de leur inefficacité. Alors même que nous assistons à de nouvelles bouffées épidémiques en Europe.

                                                Tuberculose, paludisme et sida sont toujours les trois plus grands tueurs à la surface de la Terre. Ils semblent présenter des particularités qui sont autant d’obstacles infranchissables. Le paludisme est une maladie pour laquelle on peut être infecté plusieurs fois de suite. Dans un de nos centres au Sénégal, une personne a pu faire plus de 100 épisodes différents de paludisme. Cela montre qu’il n’y a que peu, voire pas, d’immunité après une infection réelle par le paludisme. De ce fait, il y a extrêmement peu de chances qu’un vaccin arrive à donner une immunité que l’infection naturelle ne peut générer. Il en est de même pour la tuberculose. La forme pulmonaire est souvent une réinfection. Le BCG, qui existe toujours en France et dans les pays francophones, ne protège pas du tout contre la réinfection de la tuberculose, qui est à l’origine de la plupart des pneumonies tuberculeuses. Si ce vaccin qui date de 1921 était évalué aujourd’hui, avec nos critères actuels d’efficacité, il ne passerait pas la barre. Il n’a pas été remplacé par un vaccin plus moderne, car aucun candidat n’a pour l’instant prouvé son efficacité, et, de toute façon, les anciens vaccins ne sont pas réévalués ! Concernant le sida, le fait que, dans cette maladie chronique, on ne s’immunise jamais contre son propre virus est aussi un défi scientifique.

                                                Au cours du XXe siècle, la médecine a rapidement mis au point des vaccins contre les infections aiguës que l’on ne présente qu’une seule fois dans la vie, telles que rougeole, oreillons, rubéole et poliomyélite. Idem pour les maladies dont la cause était la sécrétion de toxines comme le tétanos ou la diphtérie. Mais on peut douter de notre capacité scientifique à trouver, à court terme, un vaccin contre une maladie qui ne provoque pas d’immunité. Il existe là un problème de connaissance fondamentale. Le fonctionnement traditionnel des vaccins fondé sur l’immunité étant voué à l’échec.


                                              • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 25 septembre 2021 22:12

                                                @Shaw
                                                Merci beaucoup.
                                                L’intéressé vaut le détour.
                                                Personnalité de qualité, à coup sûr.

                                                Bien à vous,
                                                Renaud Bouchard


                                              • Xenozoid Xenozoid 26 septembre 2021 16:40

                                                Le 20 ème siècle a marqué la fin d’un millénaire qui a vu le monde colonisé par et organisée sous la civilisation occidentale, qui a vu la révolution industrielle et la surpopulation restructurer l’humanité et la surface de la planète elle-même. Ce siècle avait commencé avec cinquante ans alternant boucherie, famine et nationalisme enragé tels que la race humaine ne l’avait jamais vu auparavant. Il fut conclu avec un silence inquiétant, car avec la fin de la « guerre froide », l’idée même d’une alternative à nos conditions de vie modernes et sociale fut de plus en plus difficile a concevoir et dans le même temps, nous devenions de plus en plus organisé et arrangé par les systèmes technologiques que nous mettions en place avec les intentions censées rendre nos vies plus libres et significatives.

                                                Avec ce 20e siècle terminé et les rétrospectives sentimentales de mises, ce que nous devons vraiment faire n’est pas de regarder en arrière avec nostalgie, mais regarder vers l’avenir avec espoir. Maintenant plus que jamais et après un début fracassant du nouveau millénaire, il y a une impression de déjà-vu, il serait donc de bons tons d’examiner si dans nos vies modernes, nous avons appris à vivre au cours des 1000, 100, 10 dernières années en ce qui concerne la définition de tous nos besoins et désirs en tant qu’êtres humains, et se préparer pour un nouveau futur et à un nouveau chapitre. Nous devons utiliser les leçons que nous avons tirées du passé pour planifier une nouvelle ère dans la vie humaine. Mais en avons-nous tiré des leçons ?


                                                • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 26 septembre 2021 19:17

                                                  @Xenozoid
                                                  Bonjour et merci pour votre commentaire auquel je réponds.

                                                  [...] il serait donc de bon ton, écrivez-vous, d’examiner si dans nos vies modernes, nous avons appris à vivre au cours des 1000, 100, 10 dernières années en ce qui concerne la définition de tous nos besoins et désirs en tant qu’êtres humains, et se préparer pour un nouveau futur et à un nouveau chapitre. Nous devons utiliser les leçons que nous avons tirées du passé pour planifier une nouvelle ère dans la vie humaine. Mais en avons-nous tiré des leçons ?

                                                  « 

                                                  Certains d’entre-nous,oui, assurément.

                                                  D’autres, non, avec certitude.

                                                  Faut-il les aider à prendre conscience de cette nécessité de tirer des leçons du passé ?

                                                  A première vue, cela ne sert à rien.

                                                  Nous perdons notre temps à vouloir »sauver" les gens contre leur volonté, comme nous perdons notre temps à lancer des alertes,

                                                  sauf à considérer qu’il existe des circonstances, des époques et des moments où c’est à coup de masse qu’il faut imprimer un autre cap au gouvernail du navire qui se dirige vers les récifs.

                                                  Cela commence par la neutralisation des dirigeants félons, stupides, incultes ou animés par une hubris complètement folle qui envoie l’humanité à l’abîme.

                                                  J’ai une confiance absolue dans la justice immanente et le karma qui vient sanctionner les comportements erratiques, imbéciles et idiots (It was at this moment, he knew he fucked up...https://mtc.cdn.vine.co/r/videos/F5BC35CC76990508966540918784_112da8ff9d3.3. 1_dO0ORf1ZIJEJq5_N1k8D_n07XRno0HVZmRSkHmHVHDtFadQFpRz3LRX06xvp5eRo.mp4 ?versionId=pcAncvkSFB2rCmlOi6Xc3EQrrvuHYTIZ

                                                  Quant à voir les choses à une autre échelle, les mutations financières, économiques, sociales, géopolitiques que personne ne veut voir, admettre, décider de résoudre, n’auront pour résultat que de châtier ceux qui ne voulaient ni les voir, ni les entendre, ni les comprendre et encore moins y remédier.

                                                  Faute de prendre le Réel par la main tant qu’il en est encore temps, il finit par vous sauter à la gorge.

                                                  Personnellement, vous l’aurez constaté, je me bats.

                                                  Bien à vous,
                                                  Renaud Bouchard


                                                • Xenozoid Xenozoid 28 septembre 2021 19:51

                                                  @Renaud Bouchard

                                                  Nous perdons notre temps à vouloir »sauver" les gens contre leur volonté, comme nous perdons notre temps à lancer des alertes,

                                                  tout a fait d’accord,l’impérialisme est hélas tres réel


                                                • rurutu 27 septembre 2021 20:17

                                                  Bonjour Renaud Bouchard,

                                                  J’ai bien apprécié votre article, bien détaillé quand aux motivations économiques de la pseudopandémie en cours depuis presque deux ans. Il est clair que le capitalisme pour sa survie a du mettre en place les réactions brutales que vous analysez finement et qui lui permettent ainsi d’effectuer sa métamorphose vers un capitalisme féodal ou étatique (version chinoise ou pire encore).

                                                  Toutefois le tableau me semble présenter un défaut majeur. pourquoi alors dans le narratif de cette crise ou nous sommes passés du « on va tous mourir du covid » à « on va tous se vacciner pour reprendre notre vie d’avant », les vaccins expérimentaux utilisés pour une pathologie respiratoire à la mortalité somme toute banale (plus de 99% de la population en réchappe !) sont d’une telle imperfection et suscite la défiance d’une bonne partie de la population ?

                                                  Les effets indésirables graves avec 1 décès pour 30000 à 50000 administrations battent tous les records pour ce genre de produits. Serait-ce une erreur dans le tableau ? ou bien y-a-t-il en plus un objectif plus sombre avec ces produits. Certains affreux complotistes parlent d’objectif de dépopulation majeure. Les explications et preuves qu’ils avancent ne sont pas si farfelues.

                                                  Au plaisir d’avoir votre avis

                                                  Cordialement


                                                  • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 28 septembre 2021 14:55

                                                    @rurutu
                                                    Bonjour et merci pour votre commentaire.

                                                    Votre question est très judicieuse, qui touche le cœur des difficultés que nous rencontrons actuellement relatives à ce qui se révèle être une politique de santé dont la gestion plus qu’aléatoire a montré en filigrane l’existence d’intérêts fort éloignés de l’idée principale de préserver, soigner, prémunir les populations contre un nouveau fléau.Un nouveau paramètre est en effet apparu qui tient à la probabilité de la création d’une chimère qui aura peut-être volontairement ou non -échappé à ses créateurs.C’est là à mon avis la différence principale avec ce que nous connaissions jusqu’à présent avec la survenance de maladies et/ou d’épidémies qui s’imposaient à l’humanité et contre lesquelles les scientifiques ont su avec bonheur réagir et développer des vaccins, précisément, même si cela ne s’est pas toujours fait sans erreurs et déconvenues sérieuses. Cf.le cas de la poliomyélite du Dr Salk, aux Etats-Unis, où la campagne de vaccination contre la polio entamée le 12 avril 1955 fut stoppée net quand des enfants vaccinés déclarèrent la maladie, campagne qui reprit après la découverte d’un accident de conditionnement et de dosage des doses de vaccin suspectes qui furent...retirées de la circulation.
                                                    ttps ://www.lefigaro.fr/histoire/archives/2015/04/10/26010-20150410ARTFIG00303-l-innocuite-du-vaccin-contre-la-polio-mise-a-mal-un-mois-apres-son-lancement.php

                                                    Je me permets de vous suggérer la lecture préalable avec les liens de renvoi, d’un bref et très bon article -déjà ancien (2007) mais toujours pertinent-, intitulé Les vaccins, l’état moderne et les sociétés qui montre comment comment la, puis les, vaccination(s) ont participé à la construction des États modernes et comment les sociétés se sont comportées au cours de cette histoire https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2007/06/medsci 2007234p428/medsci2007234p428.html

                                                    L’article met le doigt sur ce qui constitue le fond du problème que nous connaissons actuellement avec le coronavirus et les politiques de santé qu’il a suscitées à l’échelle de la planète, soit ce que nous constatons à l’heure actuelle qui est la mise en place de politiques et de pratiques dont les buts et desseins sont tout autres que la santé elle-même, désormais considérée comme un outil, un moyen de contrôle social, sociétal, économique, financier et politique.Je vous cite ici la conclusion de l’article précité qui, bien que datant de 2007, explique que"ce bref historique des rapports entre états et sociétés et leurs vaccins appelle pour finir deux remarques, plus à titre d’hypothèses de travail que de conclusion« s, écrit l’auteur. »La première, explique l’auteur, est que l’histoire des vaccins a été marquée par les choix politiques autant que scientifiques des États qui se sont emparé de ces outils en tablant sur ce que Michel Foucault appelait la « gouvernementalité de la vie ». Mais nous manquons encore des bases pour évaluer rétrospectivement toutes les conséquences biologiques pour les sociétés des choix vaccinaux, épelés maladie par maladie, en particulier la comparaison avec les autres mesures ayant un impact sur la santé publique et, last but not least, les modifications induites par les procédures vaccinales sur l’organisme, bref sur les systèmes immunitaires du monde.La seconde,continue l’auteur, c’est que les gouvernements sont plus que par le passé confrontés au devoir de communiquer largement avec le public sur les choix (et les erreurs) du passé et les décisions à prendre dans l’avenir. Les incertitudes affichées autour des indications du vaccin contre l’hépatite B ont entraîné en France une crise révélatrice d’une difficulté de l’État français à communiquer sur la science « en train de se faire » , à expliquer les modalités d’application de la vaccination en population générale, la possibilité d’incidents exceptionnels et la nécessité d’enrôler en quelque sorte la population, au-delà des praticiens-sentinelles, dans une expérimentation civique librement partagée.Tout indique la demande croissante d’une information nuancée, traduisible en recommandations adressées à l’individu, en matière de vaccinations. Or, dans ce domaine comme dans d’autres, il y a un décalage entre le savoir statistique et la prédiction individuelle. L’annonce a sans doute été prématurée de vaccins à la carte, elle tirait argument de l’existence de susceptibilités génétiques individuelles. Mais elle satisfaisait aux exigences de l’individu autonome, centré sur le souci de soi, pour reprendre une célèbre expression de Michel Foucault.Cette tâche d’information n’est pas facilitée par la complexité croissante de l’épidémiologie, l’idéologie de l’éradication des maladies infectieuses tendant à faire place à des conceptions plus attentives aux équilibres biologiques et au caractère multifactoriel des maladies . Par exemple, qu’en est-il de la dérive possible de certains agents pathogènes par rapport aux prototypes vaccinaux, une dérive qui est combattue dans le cas des virus grippaux par une constante mise à jour de la formule vaccinale, et qui a été documentée dans le cas de la coqueluche par exemple ? Que sait-on de l’adaptation des vaccins du programme universel par rapport aux souches circulantes dans le pays, en particulier dans les cas où la couverture vaccinale n’est pas satisfaisante et peut entraîner des phénomènes d’échappement de l’agent pathogène ? Comment résoudre le conflit entre les normes de sécurité et les besoins locaux ? Les premières avaient amené, il y a quelques années, à abandonner un vaccin contre les rotavirus, en raison d’un risque faible d’invagination intestinale des nourrissons, décrit aux États-Unis, risque à peser contre le taux de mortalité par diarrhées chez les enfants du Tiers-Monde. Tout programme d’immunisation universelle est ainsi amené à tenir compte de l’inégalité socio-économique des pays concernés et des contextes, même si les hommes à travers les frontières représentent « une seule famille épidémiologique ».Les « sciences de gouvernement » doivent donc désormais tenir compte des rapports des experts biologistes mais aussi des nouvelles sensibilités des citoyens et de leur désir d’un « risque zéro » pour les vaccins en dehors d’un contexte d’urgence , sans perdre de vue les intérêts légitimes des industries nationales . Leur tâche est donc aussi délicate qu’urgente. L’histoire des vaccins atteste que si des progrès considérables des connaissances sur les mécanismes de l’immunisation individuelle et collective ont été accomplis, il persiste encore bien des incertitudes sur les meilleurs programmes applicables en santé publique, sans oublier que la circulation des virus recompose sans cesse le paysage épidémiologique pendant que nous parlons."

                                                    Veuillez lire la suite ci-après/


                                                  • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 28 septembre 2021 15:00

                                                    Suite de ma réponse à M. RURUTU

                                                    Ma propre interprétation est aujourd’hui la suivante : il est probable sinon possible que l’on ait été pris de court au point de patauger, à ceci près que la réaction de l’industrie pharmaceutique mondiale a été immédiate et remarquable puisque en un temps record elle a montré sa capacité à lancer des processus de recherche scientifique et industrielles d’une ampleur inimaginable. 180 candidats-vaccins contre le Covid-19 étaient en cours de développement et plus de 40 en phase clinique chez l’homme en novembre 2020.

                                                    L’ennui est que cette précipitation s’est inscrite dans un tout autre schéma autre que la santé publique pure, schéma d’ordre financier et politique, ce que confirme avec prudence l’article qui suit : https://www.notre-planete.info/actualites/4849-vaccins-COVID-19-risques-morts

                                                    "Depuis que la pandémie de COVID-19 a entraîné une psychose dans les pays développés, des « vaccins » ont été mis au point en un temps record avec un seul mot d’ordre : la vaccination pour toutes et tous, dès 12 ans, coûte que coûte. Toutefois, les « vaccins » révolutionnaires qui nous sont proposés puis imposés ne sont pas sans risques. Les données de pharmacovigilance qui remontent très timidement sont déjà catastrophiques et laissent craindre le pire poussant de plus en plus de scientifiques et médecins à demander l’arrêt immédiat de la vaccination, principalement chez les personnes jeunes et en bonne santé.Avertissement : nos recherches montrent que la désinformation est très importante, autant du côté des « pro-vaccins » que des « anti-vaccins » COVID. Nous espérons simplement que cet article pousse à la réflexion et à la prudence.

                                                    Suite à la pandémie de COVID-19, les pays développés ont adopté une curieuse stratégie sanitaire : plutôt que de soigner rapidement les malades avec des traitements qui font leurs preuves (Ivermectine, Azythromicine...) - comme en témoignent le Brésil, l’Inde, le Japon et de nombreux pays africains - et qui sont utilisés depuis des décennies sans contre-indication, ils ont accepté, dans l’urgence des soit-disant « vaccins ».Et pourtant, en plus de 40 ans de recherches, aucun vaccin n’avait jamais été mis au point contre les coronavirus... Jusqu’à ce jour ?L’ivermectine est maintenant utilisé comme traitement anti-COVID par 28 % de la population mondiale.En temps normal, il faut environ 8 à 12 ans pour qu’un vaccin soit autorisé mais l’urgence de la pandémie et le nombre soi-disant « catastrophique » de morts a incité les gouvernements à accepter des autorisations temporaires de mise sur le marché, sans aucun recul sur les conséquences sanitaires d’une telle décision. "Cette précipitation a généré une série de problèmes potentiels, comme l’impossibilité de connaître les événements indésirables à moyen et long terme, qui se confirment en pratique jour après jour, sans parler du silence gênant et même l’interdiction, dû à la censure des grands médias et réseaux sociaux et même de l’OMS elle-même, concernant les propositions de traitements pour cette nouvelle maladie en utilisant des médicaments sûrs et établis pour maladies virales et thromboemboliques similaires." (déclaration de 300 médecins brésiliens du 20 juillet 2021)La pandémie de COVID-19 aurait tué environ 3,6 millions de personnes en un an (01/09/2020 au 01/09/2021), à comparer aux quelque 40 millions de morts évitables par an mais qui n’intéressent guère et aux 83 millions de personnes en plus sur Terre chaque année...


                                                    En France, cette stratégie est avant tout politique et financière (la vente des « vaccins » rapporte beaucoup d’argent notamment à Pfizer dont les revenus ont bondi de 92 %) puisque le débat scientifique et médical est muselé et les traitements précoces ont rapidement été interdits.Les messages abrutissants et terrorisants puis les mesures liberticides fonctionnent bien : 44 % de la population mondiale est maintenant vaccinée et 6,1 milliards de doses de « vaccins » ont été injectées (Our world in Data, 09/2021) dans ce qui est dorénavant la plus grande expérience médicale de l’histoire de l’humanité.Les conséquences, minimisées, étouffées, ridiculisées et balayées par les politiques et la plupart des journalistes, sont pourtant du jamais vu dans l’histoire des médicaments.« Quant à l’idée d’un sombre dessein, dit de dépopulation majeure, je pense personnellement que l’idée est loin d’être farfelue.

                                                    Voyez ci-après, à propos de Klaus Schwab et Thierry Malleret, l’analyse d’Eric Verhaeghe ( que je partage pleinement) :

                                                    https://youtu.be/xIPo5VJfRdg?t=75

                                                    Le Great Reset est l’idée à la mode des élites mondialisées qui gravitent autour du Forum de Davos. Mais que signifie-t-il au juste ? Le Great Reset, c’est l’appel officiel à utiliser la pandémie pour changer les comportements, une occasion historique d’accélérer la digitalisation. C’est aussi un éloge de l’intervention de l’État pour imposer la transition écologique. C’est encore une justification à la surveillance de tous les individus. L’ouvrage d’Eric Verhaeghe »Le Great Reset : mythes et réalités« propose une lecture littérale du livre de Klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos, co-écrit avec Thierry Malleret (ancien conseiller de Michel Rocard), »COVID-19 : La grande réinitialisation" publié en juillet 2020 et en donne une interprétation conforme à sa lettre.La conclusion de M. Verhaeghe est optimiste, même si l’idée de tirer avantage de l’aubaine de l’urgence sanitaire donne licence à des dérapages réels contre lesquels il faut se battre.

                                                    Mais écoutez plutôt ce que dit M. Verhaeghe dans son entretien, a propos du capitalisme de surveillance et de la syndication mondiale d’un club qui dégage une vision commune d’intérêts mondiaux.

                                                    Mais le géant a des pieds d’argile.

                                                    Il faut donc rester résolument optimiste et confiant car il existe de nombreux leviers et déterminants qui sont encore à venir.


                                                    Cordialement,

                                                    Renaud Bouchard


                                                    • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 28 septembre 2021 15:34

                                                      @Renaud Bouchard

                                                      Mes salutations, j’ai apprécié ce post à sa juste valeur selon mon propre horizon évidemment.
                                                      Le géant a des pieds d’argile, oui bien sur, il est même d’une fragilité extrême.
                                                      En outre « ils » commencent à sentir que en cherchant le controle total ils jouent la défaite totale ou pas loin de ça.
                                                      la polarité universelle de la matiere et plus , fait que leur énergie x crée une autre énergie y qui va a minima contre balancer tout ça..a minima j’insiste.
                                                      Moi je ressens que cet effondrement prévisible bien sur inévitable vu les choix, il y a des milliers d’années, et il le fut prévu bien sur, eut égard à nous choix misérables, compétition entre humain qui élimine est guerre et violence etc , société verticale de valeur argent donnée à un humain qui écrase etc..cet effondrement est une très bonne chose et il est nécessaire et inarrêtable..

                                                      La suite sera ce que nous deviendrons mentalement..
                                                      la clé est là...
                                                      elle l’a toujours été, car ce désastre et bien nous en sommes tous les créateurs..ce monde est exactement la somme de ce que nous sommes..
                                                      Bien sur confiant et optimiste on peut l’être..

                                                      respects .
                                                      PS : petite vidéo qui peut intéresser.
                                                      il y a des sous titres en français en allant dans paramètres puis sous titres..quelques fautes de traductions cependant...à un moment sur des dates..https://www.youtube.com/watch?v=xvzZ56ZbWy8


                                                    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 28 septembre 2021 18:44

                                                      @Renaud Bouchard
                                                       
                                                       ’’ nos recherches montrent que la désinformation est très importante, autant du côté des « pro-vaccins » que des « anti-vaccins » COVID.’’
                                                       
                                                      À la différence que les anti vaccins-covid n’ont aucun pouvoir de coercition et de propagande de masse, au contraire des pro-vaccins qui en usent et abusent.
                                                       
                                                      Par ailleurs, la grande majorité sinon la totalité de la désinformation anti-vax provient des pro-vax eux-mêmes, dans le but évident de discréditer les compétences encore libres de parole.


                                                    • Xenozoid Xenozoid 28 septembre 2021 18:51

                                                      @Francis, agnotologue

                                                      ça sert a quoi de leur emboiter le pas, la manipulation par le covid, n’est pas le privilege d’un groupe,le fait que les gens se divide c’est normal ils ne se connaisent pas eux même alors les autres, choses,le fait de savoir que le pouvoir est capable de manipuler,surtout avec des chiffres,images et croyances,qui vous dit qu’il n’est pas le spectateur...huh ?


                                                    • Renaud Bouchard Renaud Bouchard 28 septembre 2021 19:37

                                                      @Francis, agnotologue

                                                      Merci pour cette lecture manifestement très attentive.

                                                      ’’ Nos recherches montrent que la désinformation est très importante, autant du côté des « pro-vaccins » que des « anti-vaccins » COVID.’’
                                                       
                                                      À la différence que les anti vaccins-covid n’ont aucun pouvoir de coercition et de propagande de masse, au contraire des pro-vaccins qui en usent et abusent.
                                                       
                                                      Par ailleurs, la grande majorité sinon la totalité de la désinformation anti-vax provient des pro-vax eux-mêmes, dans le but évident de discréditer les compétences encore libres de parole.

                                                      Effectivement !
                                                      Bien à vous,
                                                      Renaud Bouchard


                                                    • rurutu 29 septembre 2021 02:48

                                                      @Renaud Bouchard
                                                      Bonjour,
                                                      Merci pour votre réponse et vos commentaires. il me semble toutefois que dans la politique vaccinale mise en place au niveau mondial pour cette pseudopandémie, il y a eu un changement de référentiel par rapport aux normes connues précédemment. A savoir : modification des seuils de déclaration de pandémie par l’OMS et nombres de pays (dont les banques sont« membres » de la BRI) , Event 201, interdiction et ostracisation de molécules archiconnues dès les premiers jours de la crise, campagne de propagande de la peur inédite puis campagne vaccinale inédite. Nous sommes passés du « On va tous mourir » à « on va tous se vacciner » , mise au point de vaccins en quelques mois sur la base de technologies inédites en faisant abstraction de toute prudence, reléguant les vaccins à technologies plus éprouvées à l’inéfficacité, niant l’avalanche d’effets secondaires graves...D’une Expérience médicale à échelle mondiale, il s’agit en effet. Et elle s’additionne certainement à tous ces efforts de camouflage d’une crise terminale du capitalisme nécessitant une métamorphose radicale de ce dernier. Métamorphose impérative à sa survie.
                                                      A cela s’ajoute les limites physiques de notre monde en passe d’être atteintes dans nombres de secteurs : Energies fossiles, métaux, eau potable, terres arables...Le club de Rome et les travaux du rapport Meadows (1972) qui en ont découlés sont éclairant à ce sujet. Les préoccupations déja fondées des élites à la fin des 60 sont arrivées à des extrémités difficilement dépassables. Les scenarii d’effondrement proposés par ce rapport font certainement l’objet d’une anticipation d’une partie des élites. On peut supposer que ces élites cherchent le contrôle du chaos (si bien décrit dans ce rapport et dont nous suivons parfaitement les courbes du scénario « business as usual » de 1972 à nos jours) à leur profit en instaurant ce grand reset loué par Schwabb et Malleret. Métamorphose du monde qui, outre le contrôle de tous les aspects de la Nature réification de toute chose nécessite pour sa pérennité la réduction drastique des homoncules qui y grouillent aujourd’hui, homoncules qui dans leur grande majorité sont devenus inutiles voir toxique pour leur vision de l’avenir.
                                                      Au plaisir de vous lire


                                                    • Marc Nehdrys 8 février 2022 17:08

                                                      Bravo. Une démonstration exemplaire mais les pouvoirs en place ou utilisés vont s’acharner à masquer ce genre de REALITé. Comment rendre la parole et la visibilité à une liberté muette et aveuglée ?

                                                      L’économie créé par le Kapitalisme est parvenue au fond de son impasse, à tel point que nombreux sont ceux qui réinventent des modes de vie basés sur de l’économie circulaire, qui a de tous temps fonctionné mais à petite échelle, du clan, de la tribu, du village.

                                                      Le mondialisme et l’hyperdémographie, notamment des pays dit « en voie de développement » (dont la Chine semble ne plus faire partie... vraiment ? mais qu’est devenu leur communisme...) soldent ce maigre espoir des vies humbles et participatives, aux antipodes du Dieu Profit.

                                                      Ne vous inquiétez plus, les blocs nous préparent une sortie de crise artificielle et habituelle, un conflit, généralisable, qui focalisera les attentions, sacrifiera des millions de vie, enrichira encore et toujours les mêmes, ceux qui répandent des virus, des subprimes, des endettements funestes, des conflits armés, des solutions miracles, bref ceux qui vivent par leurs éternels mensonges sur le dos des bêtes humaines (Germinal n’est pas si loin). Les marchands d’armes, y compris les bactériologiques (Bigpharma en armure !), acoquinés aux cybertechniciens, s’empliront les poches dans l’armageddon de l’Humanité.

                                                      Et leur terrain de jeu, çà ne sera ni les USA ni l’Asie et surtout pas le Moyen-Orient. Ils vont terminer de ronger l’os de cette dame à l’agonie, la vieille Europe, la Muse qui n’en a jamais été une.

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