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Accueil du site > Tribune Libre > Enfant roi et théorie du genre : un mélange explosif

Enfant roi et théorie du genre : un mélange explosif

La collision est inévitable. Elle a déjà commencé. D’une part le règne de l’enfant roi est solidement installé. Aujourd’hui tout tourne autour de l’enfant. La famille nucléaire a glissé du centrage sur les parents en tant que pôle de référence réelle : géniteurs, protecteurs. nourrisseurs et éducateurs, au centrage sur l’enfant en tant que projet hypertrophié et harassant.

Le règne de l’enfant-roi

Les signes de ce règne sont nombreux. D’abord le petit nombre d’enfants engendrés par les couples. Un, deux, voire trois enfants contre six, sept, huit ou plus il y a un siècle ou deux. Moins d’enfants signifie que la perte d’un seul est un risque plus grand pour l’espèce aujourd’hui qu’hier. L’enfant est donc plus valorisé, avec des recherches pédagogiques pointues, des livres et jeux éducatifs représentant un réel créneau économique, une place de chaque individu plus grande au sein de la famille. Le nombre de divorces, l’enjeu que sont les enfants en cas de séparation, les familles recomposées ou monoparentales, accentuent le fait que l’organisation des adultes tourne non pas autour d’un projet familial moribond mais autour des enfants. Sans parler des questions scolaires accaparantes, des activités parascolaires chronophages, des dangers de la société moderne - de la rue à internet.

L’enfant-roi est au centre de la société. Son pouvoir d’achat direct ou par l’entremise parentale en est un indice économique, sa volonté souvent moutonnière de faire élire tel produit formaté à la Star’ac en est un indice culturel, l’aggravation des questions sexuelles en terme de répression ou de libéralisme en est un indice moral. En tant qu’enfant-roi les limites qui prévalaient se sont effacées. Ces limites provenaient en partie de la grandeur de la fratrie. Une famille nombreuse oblige à trouver une place limitée et à y exceller, à respecter une hiérarchie d’âge, à avoir des préférences, des affinités ou des alliances hors de l’omniprésence parentale. A un ou deux enfants par couple cela n’existe plus et l’on se trouve dans une polarisation parents-enfants extrême.
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Les relations se construisent alors sur un modèle unique et sur un même rapport de force pendant toute l’enfance et l’adolescence. Les seules aires de repos sont extra-familiales. Elles n’offrent donc pas la même solidité que celles tissées au sein de la famille. On voit des adolescents traitant leurs parents en copains, et les parents accepter cela pour éviter d’être une fois de plus en conflit, puisqu’il n’y a pas d’autre dérivatif que cette relation monolithique. L’enfant-roi a le pouvoir au sein de la famille. Il dicte ses règles, ses horaires, ses envies, sans être trop contrarié. Il n’apprend pas ses limites ni la hiérarchie naturelle des âges ou de la chronologie de l’apparition et de l’expérience. Il croit tout savoir comme ses profs ou ses parents. Il n’est plus humble et donc ne sait plus apprendre.


Le genre, ou l’illimité des possibles

Sur ce tableau arrive la théorie du genre, qui dit en résumé ceci, dans la foulée de Simone de Beauvoir : le genre sexué n’est pas un déterminisme, c’est un choix individuel. Cela signifie que l’on décide si l’on est une femme ou un homme. Cette théorie étant appliquée sur des cobayes enfants, on laisse ceux-ci disposer de leur identité dès l’âge de quatre ou six ans, comme s’ils étaient adultes et surtout comme s’ils avaient les moyens de choisir.

Or pour choisir il faut des références : qu’est-ce qu’être homme, qu’est-ce qu’être femme ? Où sont ces références si justement on les nie et si les parents ou les adultes ne les incarnent pas ? Le choix que l’on donne aux enfants est simplement impossible. Impossible et profondément perturbant et ne peut que déboucher sur une inhibition et une forme de castration du pouvoir par l’excès même de ce supposé pouvoir (trop de choix tue de choix). Il y a en effet excès - le fait de demander à un enfant de six ans de choisir son genre sexué - alors pourtant qu’il n’y a pas de magie dans la baguette de pouvoir, c’est-à-dire pas de représentation possible puisqu’il n’y a plus de référent.

hommes,femmes,enfant roi,genre,gender,pouvoir,père,fascisme,masculin,autorité,hiérarchie,couple,explosion,Dans les crèches dites « égalitaires » on fait jouer les garçons avec des poupées et les filles avec des camions. C’est tout ce que l’on a trouvé pour donner des représentations masculines et féminines. Ce ne serait que caricatural et dérisoire si ce n’était en même temps profondément destructeur des structures anthropologiques qui façonnent l’humanité depuis des millions d’années. Le choix de références qu’impose la société féministe aujourd’hui est le camion ou la poupée, ou encore l’hétérosexualité ou l’homosexualité. Cela se comprend aisément quand on écoute la ministre des droits des femmes (et pas des hommes) Najat Vallaud-Belkacem, la Robespierre féminine, qui dit aux filles que l’égalité c’est faire maçonnes, et aux garçons c’est faire puéricultrices (vidéo ci-dessous). Tout ceci est posé en terme de « droits ». La théorie du genre est particulièrement perverse et dangereuse en ce qu’elle évacue toute notion de contrainte.

La stupidité et l’enfermement idéologique éclate ici au grand jour. Pourquoi y a-t-il plus d’hommes maçons que de femmes ? C’est d’abord une question de force physique, puis de conditions sociologiques où traditionnellement l’homme qui s’exile pour trouver du travail là où il y en a. En Norvège, ce genre de programme volontariste qui visait à mener les femmes dans les travaux du bâtiment a totalement échoué, et le gouvernement à fermé les subventions aux idéologues du genre.


L’explosion à venir ou le réveil des hommes

L’enfant-roi sans limites, se gouvernant sans plus d’autres balises qu’un rapport de force - soumettre ou être soumis - et la théorie du genre conférant un supposé pouvoir illimité sur soi - celui de choisir d’être femme ou homme, indépendamment de la biologie et de ses contraintes - se sont aujourd’hui rencontrés. Deux concepts fonctionnant sur la suppression des limites, la dénégation des formes collectives d’identité et les marqueurs catégoriels, et donnant tout pouvoir à l’individu. La seule limite est aujourd’hui la sanction pénale du comportement puisqu’il n’y a plus de morale normative.
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Le risque à venir est que les garçons tenteront un jour de reconquérir ce qui a toujours fait leur identité : la force. Les hommes ayant comme fonction essentielle dans l’espèce la protection - les femmes ayant fondamentalement celle de la reproduction - on ne pourra faire l’économie de cette quête d’identité puisque les référents du choix seront annulés, voire criminalisés comme pour les comportements masculins.

On peut certes dire que la société moderne offre davantage de possibles que la préhistoire. L’homme peut être protecteur ou protégé, guerrier ou nounou, etc. Oui, c’est vrai, et cela a toujours été. Mais la construction intime et la puissance individuelle ne peuvent faire l’économie de schémas simples comme celui du héros.

Le réveil du masculin pourrait être très explosif. Quand surviendra-t-il ? Dans ce siècle probablement. Ce réveil, sans l’éducation masculine qui doit être donnée aux hommes pour organiser leur force, pourrait être dévastateur. Il est possible que d’autres cultures contribuent à ce réveil car les hommes ne sont pas partout aussi soumis à la féminisation qu’en occident. Ce réveil pourrait se produire par une augmentation de la criminalité masculine spécifiquement orientée contre les femmes, perçue comme cause de leur limitation dans une projection des frustrations, ou par une modélisation sur des représentations extrêmes allant jusqu’au fascisme ou un retour aux bandes violentes. Le fascisme s’est développé à une période où les pères étaient manquants : morts à la Grande guerre, émigrés, dans les mines, entre autres. Des images compensatoires extrêmes se sont développées. Ce n’est pas par hasard qu’aujourd’hui, époque de pères manquants, Vincent Peillon, ministre de l’éducation, parle d’imposer une nouvelle religion laïque et se réfère à un modèle aussi extrémiste que Robespierre.

Le réveil des hommes pourrait aussi se produire par un refus du couple et du partage avec le féminin - aujourd’hui déjà, près de 20% des hommes de cinquante ans n’ont pas d’enfants ou n’ont jamais vécu en couple selon l’Insee en France. Enfin on pourrait aussi assister à une grande dépression masculine, à une sorte d’implosion : les hommes, moralement et socialement castrés et inutiles, sans projet et sans plus d’image positive d’eux-mêmes, deviendrait la cause d’un enrichissement démesuré des psychiatres et thérapeutes en tous genres, d’échecs scolaires et professionnels, et d’une démission sociétale à grande échelle. C’est déjà le cas. Le déficit d’hommes responsables aujourd’hui est le signe que l’implosion a commencé. Mais comme une supernova se contractant sur elle-même avant de s’expanser brutalement, on peut encore avoir le rebondissement et l’explosion.

On voit ici un peu mieux l’enjeu de la déconstruction des théories misandres féministes. Mes discussions avec des femmes divorcées, assurant l’éducation des enfants, et dont l’ex-mari est devenu fantomatique, m’amènent à poser une question brutale et sans complaisance : où sont les hommes ? J’y reviendrai.

 

Lire aussi :

Sexualité(s) à l'école : la France est devenue folle

 

Image2 : film Le démantèlement ; 3 : film Alamar ; 4 : Garde de fer fasciste.
 


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58 réactions à cet article    


  • paulau 7 février 2014 14:05

    L’enfant , pris en charge par le lobby LGBT :


    L’article ci-dessous nous montre que des intervenants LGBT sont bien présents dans les collèges et lycées pour porter la bonne parole, avec l’onction du gouvernement qui donne les autorisations nécessaires 


    • Aldous Aldous 8 février 2014 17:15

      Si si, il y a la franc-maçonnerie, les rose-croix...


    • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 7 février 2014 14:22

      Il ne faut pas non plus oublier que l’éducation familiale ( quand elle existe ) supplante TOUJOURS l’éducation reçue à l’école : les enfants font instinctivement plus confiance à leurs parents qu’à leurs profs qui sont d’ailleurs à leurs yeux qu’une bande de sâles con(ne)s qui les font trop chier avec toutes leurs nazeries ( d’AUCUNS continuent d’ailleurs à sévir sur agoravox quand on les a prié de ne plus sévir dans les classes si vous voyez de QUI je parle ) .

      Dans ces conditions, les valeurs familiales des enfants primeront TOUJOURS sur celles qu’on veut leur inculquer, il n’y a que dans le cas où les valeurs familiales correspondent aux valeurs enseignées qu’on observe un renforcement des valeurs enseignées.


      • Olivier Perriet Olivier Perriet 7 février 2014 15:09

        Enfant roi mais aussi, paradoxalement, enfant objet j’ai envie de dire


        • Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 8 février 2014 07:34

          « Enfant roi mais aussi, paradoxalement, enfant objet j’ai envie de dire »

          Logique : le roi n’est pas un sujet. smiley


        • alinea Alinea 7 février 2014 15:48

          Les parents d’enfants rois n’ont peut-être, eux-mêmes, pas grand chose à apporter qu’une vague culpabilité compensée par des dépenses !
          C’est un délitement pur et simple ; jusqu’où, l’avenir le dira mais ce qui est fait dans la petite enfance ne se répare jamais !


          • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 7 février 2014 16:06

            Bref, les bobos sont en train de saborder leurs propres mômes vu que les autres parents sont imperméables à ce genre de théories farfelues et que leurs enfants jouront à ce qu’ils ont envie.

            La nature est bien faite, finalement !


          • alinea Alinea 7 février 2014 19:51

            Pas sûr Aloïs, parce que les jeunes adultes qui n’ont jamais eu qu’à ouvrir le bec, n’ont, oh surprise ! qu’un dédain énorme pour quiconque fait des efforts ; c’est direct l’incompétence à tous les postes de responsabilité, les enfants rois ! sans compter leur insatisfaction chronique, l’évidence d’être servis, c’est bien des tyrans en puissance ces pauvres mioches ! ou des clients pour les asiles !


          • cedricx cedricx 8 février 2014 04:37

            Enfants roi, hyper choyés matériellement, et livrés à eux mêmes dès les premiers signes de l’adolescence... 


          • Aldous Aldous 8 février 2014 12:50

            Les enfant des bobos seront des bonobos... smiley


          • claude-michel claude-michel 7 février 2014 16:16

            Et si il n’était qu’un rouage de la société ce gros gâteau ou l’on trouve de tout... ?

            Une pièce du puzzle de quelques millions de pièces...Ne lui donnons pas une importance qu’il n’a pas..sauf aux USA ou effectivement il est roi mais chez nous ce n’est pas le K il me semble..nous sommes des latins et notre éducation est complètement différente...


            • CASS. CASS. 8 février 2014 13:42

              nous sommes des latins , non seulement de langue latine, nuance , les celtes gaulois ne sont pas des latins,encore moins des english anglo saxons d’ailleurs.


            • Le421... Refuznik !! Le421 8 février 2014 12:58

              C’est exactement ça...
              Dans une famille riche, pas de problème, le népotisme est devenu règle. Les enfants marchent dans le sillon creusé par les parents, même si ce sont des parfaits incapables.
              Nous avons ainsi un ramassis de dirigeants qui ne le sont que parce que « fils de », parfaitement incompétents.
              Dans les familles pauvres, ils devront choisir entre chômage, délinquance, trafic ou autre magouille. L’argent facile, c’est à ce prix. Gare aux balles perdues !!


            • Aldous Aldous 7 février 2014 17:32

              Benkacem : « Pourquoi les filles font pas maçonnes ? Les jeunes filles à votre âge voient qu’il y a très peu de femmes qui font maçonnes et se disent c’est pas pour moi... »


              Belle connerie d’arriviste qui n’a jamais bossé ! Va-y toi sur les chantiers faire la maçonne, exposée aux intempéries et à porter des parpaings...

              Tu verra ta tronche à 30 ans... tu paraitra en avoir 50 ! 

              Hé les filles ? y’a de volontaires ? Nan ? 

              Saloperie de discrimination machiste qui interdit aux pauvres femmes d’acceder au monde merveilleux des chantiers ! 

              Et c’est pas le pire : Y’a des métiers encore plus discriminés : égoutier, ramasseur de poubelle, mineur de fond... 

              Plein de nouveaux fronts pour Najat et ses copines (franc) maçonnes.


              • mmbbb 7 février 2014 19:11

                il y a aussi les abatoirs et le metier de soldat Je ne vois pas pourquoi Hollande envoie au casse pipe Mali CDC des salauds d’hommes machistes se faire trouer


              • hommelibre hommelibre 7 février 2014 20:58

                Yes Aldous. + 1000.


              • Aldous Aldous 7 février 2014 21:26

                Plus sérieusement, la femme maçonne c’est un grand classique de la propagande soviétique des grandes heures du réalisme soviètique et de l’Homme nouveau (qui en l’occurence était une femme) 



                Seul l’emballage a changé.
                Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse.

              • alinea Alinea 7 février 2014 22:35

                Il faut juste réfléchir à ce qui a l’air de paraître évident, le fait qu’on fasse toute sa vie la même chose !
                J’ai fait de la maçonnerie pendant un an, pour construire ma maison, à trois, je ne me suis pas cassé le dos ! Mais faire pendant quarante ans le même effort, ça pète le dos d’Hercule, je vous le garantis !
                Ce n’est pas une histoire de sexe : les mecs n’ont pas à se péter le dos pour construire votre piaule ! ni les nanas les reins à vous la nettoyer, parce que, figurez-vous, cher Aldous, que le ménage abîme les femmes autant que la maçonnerie abîme les hommes !


              • Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 8 février 2014 07:37

                « Ce n’est pas une histoire de sexe »

                Pas au sens érotique, coquine ! Mais c’est une histoire de masse musculaire, de grosseurs des os et et de résistance des tendons.


              • Aldous Aldous 8 février 2014 12:49

                Sauf que les hommes meurent plusieurs années avant les femmes ma chère.

                Tiens ? Cette différence là n’est pas combattue par les partisans de l’égalité à tout crin. Pourtant elle est sacrément cruelle cette différence là. On ne parles pas juste de la formulation de l’état civil.

              • alinea Alinea 8 février 2014 13:19

                Ce fait Aldous, juste au niveau statistique, ne concerne pas seulement les maçons ( comme exemple de travail pénible) ! mais toutes les classes de la société ; et j’ai ma petite idée pour en expliquer la cause ! Mais ce serait trop long... à suivre !


              • Xenozoid 8 février 2014 13:35

                Alinea, ca me rapelle une rencontre avec une nana a lorient,elle était champione de kick boxing,un connard de macho l’a abordée pour la dragué, elle lui a offer un verre,le mec c’est senti « diminué »lui a dit alors, ici c’est moi qui paye, elle s’est levée, est allee payée, et avant de quitter le concert,lui a foutu 2 high kick dans la gueule,et est parti avant de dire, ouai t’a payer,véridique
                correction c’etait pas lorient , mais a Hennebont


              • Aldous Aldous 8 février 2014 17:21

                Comme quoi la violence, la connerie et la haine ne sont pas un monopole masculin.


              • soi même 7 février 2014 17:38

                Enfant roi mais aussi, paradoxalement, une enfance gâcher.
                Avec le gender en plus , cela ne peut ressembler qu’à une éducation à la dynamite !


                • Buddha Hotah 7 février 2014 18:02

                  Si il n’y avait que les enfants rois, mais les adultes sont exactement pareil, pas partout , et tous bien sur.....toujours dangereux de globaliser mais .....


                  • Robert GIL ROBERT GIL 7 février 2014 18:36

                    sur que si on eleve ses enfants comme dans cet article « ICI », il ne faut pas s’etonner du reste. Meme si l’article est traité avec humour c’est quand meme symptomatique de note société.


                    • Lo lop Lo lop 7 février 2014 21:21

                      « Le risque à venir est que les garçons tenteront un jour de reconquérir ce qui a toujours fait leur identité : la force. Les hommes ayant comme fonction essentielle dans l’espèce la protection - les femmes ayant fondamentalement celle de la reproduction - on ne pourra faire l’économie de cette quête d’identité puisque les référents du choix seront annulés, voire criminalisés comme pour les comportements masculins. »


                      Euh... C’est du second degré ? Si oui, c’est drôlement réussit.

                      Pour continuer dans le divertissement, une petite devinette. Qui a dit :

                      « en réalité, l’octroi de soi-disant droits égaux aux femmes, exigés par le marxisme, ne confère pas de droits égaux du tout, mais constitue une privation de ces droits, puisqu’il attire la femme dans une zone où elle ne peut être qu’inférieure. Il place la femme dans des situations qui ne peuvent renforcer sa position – vis-à-vis des hommes et de la société – mais uniquement l’affaiblir »
                      (une rapide recherche du Google devrait vous éclairer)

                      • hommelibre hommelibre 7 février 2014 23:06

                        Oui, c’est du deuxième degré puisque je dénonce le risque de l’excès de cette force et de sa dérive possible - la même que celle que vous désignez aussi.

                        Mais il y a une part de premier degré. Si l’on admet que la force physique a été l’apanage des hommes (elle l’est toujours), le repli sur un fondamental est à la fois un risque et un sursaut utile en cas de crise. Le tout est que cette force soit utilisée avec sagesse et à-propos.

                        Mais le risque, en crise ou en perte des repères, est la surréaction et la dérive que vous soulignez justement.


                      • Julien30 Julien30 8 février 2014 11:12

                        Ah, et quand on partage ces idées on est donc un nazi ? Grandissez un peu et apprenez à user du débat politique pour autre chose que de le réduire au point Godwin.


                      • Lo lop Lo lop 8 février 2014 14:05

                        Oui bien sûr, le fameux « point G »... Désolé, j’y avais pas pensé. Tiens, je vous donne une autre citation plus connue (mais pas de Monsieur H.) :


                        « La guerre est à l’homme ce que la maternité est à la femme »

                        Essayez de réfléchir à la raison pour laquelle ce type de raisonnement se retrouve chez ce type d’homme politique. Pourquoi l’hymne à la « virilité », ou les gémissements sur la perte de cette soit-disant virilité est mis en avant dans les discours de type réactionnaire et/ou fasciste ? En quoi le besoin d’associer liberté et forte brute est-elle un marqueur de ce genre d’idéologie ?

                        Je passe ramasser les copies dans 2 heures.

                      • Julien30 Julien30 8 février 2014 14:11

                        Dans une société qui s’enfonce chaque jour plus dans l’individualisme, le matérialisme, le pulsionnel, l’immaturité et l’inculture, n’est-ce pas le plus simple instinct de survie qui s’exprime en étant réactionnaire (et notamment viril face à cette même immaturité encouragée) ? 
                        Je ramasse moi aussi les copies dans deux heures. 


                      • Julien30 Julien30 8 février 2014 14:13

                        Et si ça vous amuse de m’assimiler à un fasciste pour ma position, c’est que vous avez à peu près autant de maturité et de subtilité politique qu’un chimpanzé et donc nous pourrons arrêter là notre échange.


                      • Lo lop Lo lop 8 février 2014 14:56

                        Oui, arrêtons là, sinon je sens que vous allez me forcer à boire une bouteille d’huile de ricin.


                      • Julien30 Julien30 8 février 2014 16:40

                        Non j’allez juste vous jeter quelques cacahuètes, c’est bon les cacahuètes pourtant...


                      • hommelibre hommelibre 8 février 2014 08:20

                        @ Nemotyranus :

                        Le système de répartition des tâches et des espaces de pouvoir, communément nommé patriarcat, réduit les possibles en ce sens qu’il cloisonne, parfois de manière étanche, l’accès à certains champs. Le mouvement libéral, dont le féminisme est en partie inspiré malgré sa forte imprégnation marxiste, a oeuvré à décloisonner. C’est peut-être cela la Révolution libérale par rapport à la civilisation médiévale (bien que celle-ci ne fût pas totalement cloisonnée, mais plus que la société libérale).

                        D’un point de vue purement théorique le gender poursuit cette entreprise de décloisonnement, non seulement dans les activités professionnelles et dans l’accès à tel ou tel champ, mais dans la structuration même de l’individu.

                        Il y a une intrusion dans l’intime. Mais aussi une question non réglée : la part de la culture et de la nature dans notre espèce.

                        Chercher ce qu’il y a de commun aux deux sexes, oui. Je pense que les éléments communs sont nombreux. Les éléments de différenciation me semblent eux très peu nombreux. La force, qui fait des hommes des guerriers, pourrait n’avoir été développée que par la culture, soit par le besoin que la société avait de formater des hommes forts. La répétition aurait généré des gènes adéquats pour produire des muscles et d’autres hormones. Cela dit, la testostérone, importante dans la détermination des caractères masculins et dans la production de sperme, joue aussi un rôle, et d’une manière ou d’une autre la biologie a formaté en partie les caractéristiques et leur inscription dans le culturel. Mais il y a autre chose qui me paraît bien plus incontournable : la maternité.

                        Si les femmes faisaient la guerre et mouraient au champ de bataille, la survie de l’espèce serait compromise. Il suffit de très peu d’hommes pour féconder un groupe de femmes (donc les hommes peuvent mourir), alors que chaque femme ne fait qu’un enfant par année. La maternité doit être protégée. Cela c’est biologique. Dès lors les rôles se distribuent autour de cette polarité.

                        On aurait pu typer moins les rôles, cloisonner moins. Peut-être que l’économie de cloisonnement a été perçue comme plus performante. Cela dit les rôles ont été cloisonnés dans certains domaines, pas dans tous. Par exemple, a contrario de l’image stupide de la femme taiseuse et soumise, les femmes ont toujours travaillé, à la ferme, dans l’artisanat, entre autres. Toutes les femmes ne sont pas physiquement fragiles et n’ont pas besoin d’une forte protection masculine. Tous les hommes ne sont pas des Rambos. L’éventail des possibles est plus ouvert qu’on ne le pense. Notre époque se contente trop souvent de stéréotypes, non pour donner une direction à la réflexion mais pour remplacer la réflexion. Quand je vois par exemple dans la vidéo une enseignante dire : « Alors les garçons aussi peuvent être danseurs », je tombe des nues... Il y a des garçons danseurs depuis des siècles ! On n’a pas attendu le féminisme et Belkacem pour que cela existe.

                        Le biais ici est de noircir tout le passé et de faire comme si grâce aux féministes l’humanité venait enfin à la vie... Ben tiens ! Pourquoi ce mépris du passé, qui contient forcément le mépris des femmes et des hommes du passé ? Il est dans la même ligne que la Légende noire du Moyen-Âge : volontarisme et productivismes sont les mamelles des visions sociales, qui sont dès lors contaminées par l’intention de ceux qui poussent le char.

                        Que les petites filles s’inscrivent dans une filière pour être maçonnes, après on verra : combien y en a-t-il ? Combien de temps faudra-il avant qu’elles retournent à des boulots confortables ?

                        Enfin je ne vois pas ce qui dérange dans le fait que certains jobs soient plutôt féminins, d’autres plutôt masculins. Plus loin : la part culturelle de la différenciation a forcément une place dans le fonctionnement des sociétés, pas simplement une place pour opprimer mais pour favoriser le développement d’activités spécifiques. Dans l’horlogerie on utilisait les « petites mains », celles de femmes, car elles étaient plus habiles à manier les rouages à assembler que les hommes avec leurs grosses paluches.


                        • nemotyrannus nemotyrannus 8 février 2014 10:37

                          Je suis d’accord , noircir le passé et le juger à travers des yeux modernes est une erreur que l’on retrouve déjà ailleurs dans certains mouvements féministes , ce qu’ils font est quasiment un anachronisme voire un mensonge.


                          Mais je ne pense pas que ce soit une raison pour jeter tout ce qui à trait aux études de genre .

                          ( Idée de Genre qui fut récupérée , encore une fois , et ça se voit dans la tentative de faire du 50/50 partout , ce qui est incroyablement stupide.)

                          Mais , actuellement , il n’est plus justifié de se tenir à un modèle passé vu qu’on a plus de hordes barbares à nos portes et qu’on est pas menacés d’extinction. Le contexte à changé et on a le temps de s’épanouir et de se poser des questions.

                          Si une femme veut faire maçonne , eh bien c’est son droit et si elle à les compétences requises eh bien y’a pas de problème. Elle fera.Mais surtout , personne ne jugera.
                          Et ce seront les femmes musclées et robustes qui s’imposeront dans le métier face aux femmes plus faibles , c’est tout , comme pour les hommes.

                          Une petite fille qui fait des travaux fatiguants , comme un petit garçon , depuis toute petite n’aura pas de petites mains fragiles.
                          C’est de l’adaptation. 
                          (C’est aussi la première étape de l’imbrication culture/nature qui se fait sur le long terme dont je palais plus haut. )


                          Pour l’exemple du danseur , je pense que c’est plus une question de perception par les autres que pour avertir le gamin que l’activité existe.
                          Oui , oui , il sait que ça existe . Mais oui aussi on le traîtera de gonzesse ou de lopette parce qu’il s’y interessera.
                          Le but c’est de taire ces remarque. Parce qu’il n’y a rien de typiquement féminin dans la danse.
                          Pas plus qu’il y a du typiquement masculin dans la maçonnerie. 
                          Il y a peut être une majorité de membres masculins dans l’activité mais l’activité en elle même est accessible à tous , mâle ou femelle , si on a les compétences.

                        • Eghza 8 février 2014 12:07

                          Oui, ça fait des siècles que les garçons font de la danse...mais allez essayer d’inscrire votre fils dans un cours de danse (parce qu’il adore ça !), et vous verrez les profs enseignants exclusivement à des petites filles en rose vous accuser de vouloir faire de votre fils un homosexuel ! Et ça, c’est une construction de la société !

                          Résultat, mon fils ne peut pas faire de danse comme j’ai été à maintes fois, en temps que femme, décourager à devenir ingénieure, parce que les maths, ce n’est pas pour les filles.
                          Vous ne voyez pas le problème ? Moi je vois des personnes sont empêchées de faire ce qu’elles aimeraient à cause des stéréotypes sociaux...et c’est dommage !


                        • hommelibre hommelibre 8 février 2014 08:28

                          @ Fellusha :

                          Margaret Mead a été depuis largement contestée. D’une part la venue d’explorateurs bien avant ses observations a contaminé les indigènes, dont les comportements ont été possiblement modifiés ; d’autre part l’étude d’un mode de vie d’insulaires, en nombre restreint, sans possibilités d’expansion, avec peu de contacts, demandant des aménagements spécifiques, ne peut être considéré comme représentatif d’une règle applicable à l’ensemble de l’humanité. Par ailleurs il semble, selon une étude, que ses questions aux indigènes étaient assez inductives et pas neutres.

                          Margaret Mead n’est peut-être plus vraiment une référence.

                          Sur la question des religions, bien que moi-même affilié à aucune, je pense que l’on ne peut évacuer la question simplement comme l’ont fait la Révolution (qui cherchait surtout à s’accaparer des biens de l’église) ou Marx. C’est un peu court. Si l’on déshabille les religions de leurs représentations secondaires, l’anthropomorphisme par exemple, il reste une tentive d’explication de la causalité ou de la finalité, dans un champs qui n’est pas celui de la science.


                          • djea 8 février 2014 09:17

                            Dans tous les conseils d’administrations, dans tous les parlements et gouvernements de la terre, des costumes gris et noirs à foison....


                            Un désastre. Bientôt une terre brûlée.

                            Les hommes, ces pauvres chéris qu’ils faudrait une fois de plus consoler. Ce sont de grands enfants...



                            • nemotyrannus nemotyrannus 8 février 2014 09:42

                              Merde à l’empathie sexiste smiley


                            • djea 8 février 2014 09:51

                              y’avait que des couillus, je rectifie. Ca puait la misogynie.


                            • djea 8 février 2014 09:53

                              Bonne journée sinon !

                              <3


                            • nemotyrannus nemotyrannus 8 février 2014 09:56

                              À vous de même .


                            • djea 8 février 2014 09:20

                              Des continents entiers ne sont tenus hors de l’eau que par les femmes : l’Afrique par exemple et ce depuis combien d’années ? Combien de souffrances, combien d’abnégation, de sacrifices de leur vie pour en arriver là chaque jour ?


                              • djea 8 février 2014 09:41

                                « L’explosion à venir ou le réveil des hommes »


                                Ils dorment ? !!! ils sont partout, ils ont tous les pouvoirs ! vous délirez.

                                Par contre, il va peut-être y avoir un réveil de leur violence en effet mais pas pour la raison que vous évoquez : une soi-disant mise à l’écart (! !!!) mais parce que ça fait longtemps qu’il n’y a pas eu une « bonne » guerre en Occident où on pourrait trucider en toute impunité, du sang au plafond et dans les rues, ça les titille ça, ça les travaille.....

                                • tf1Groupie 8 février 2014 13:53

                                  Ils n’ont pas tous les pouvoirs, sortez un peu de votre bunker !

                                  Les femmes ont le pouvoir de procréation, et le pouvoir de l’éducation, entre autres.

                                  Moi j’ai essayé de donner le sein à mes enfants, mais ils ont refusé à chaque fois, juste parce que je suis un homme !

                                  Il est urgent de revoir l’éducation des nourrissons.


                                • spartacus spartacus 8 février 2014 10:21
                                  Il existe une expérience déja faite avec les « bonobos ». Un singe assez social avec 98% de son ADN identique à l’homme.
                                  Le bonobo ne suit pas la politique, n’est ni de gauche ni de droite, et n’a pas eu de formation sur la théorie du genre ni sociologique.
                                  L’expérience consiste a donner des jouets aux bonobos. Des poupées et des camions. 

                                  Naturellement les guenons jouent avec les poupées et les mâles bonobos avec les jouets camions à roulette.... 

                                  • djea 8 février 2014 12:51

                                    ah Spartacus (mouah !!!!!!!!!!!) !! il y a des études dont on s’empresse de parler (et que je n’ai pas trouvé ....). Par contre, d’autres dont on ne parle pas ! :


                                    « Baptisée LuiKotale bonobo project, elle a consisté à observer les conflits intersexuels dans une communauté de bonobos près du Parc national de la Salonga. L’équipe a ainsi découvert que seuls deux facteurs ont une influence significative sur l’issue et le résultat de ces conflits : l’instinct maternel et l’attractivité sexuelle. Chaque fois que les femelles - souvent seules, mais parfois en groupe - défendent leur progéniture contre l’agressivité des mâles, ces derniers capitulent. Mais - plus intéressant encore - les femelles sont plus susceptibles de gagner les conflits contre les mâles durant les périodes où elles présentent des gonflements (fessiers) indiquant leur état de fécondité sexuelle élevée. »Dans ces situations, d’autre part, les mâles agressent moins souvent les femelles, ce qui diffère de ce qui se passe chez les chimpanzés, nos autres parents vivants les plus proches« , a précisé le Dr Martin Surbeck, auteur principal de l’étude.

                                    En savoir plus : http://www.maxisciences.com/bonobo/chez-les-bonobos-les-femelles-ont-souvent-le-dernier-mot_art30193.html
                                    Copyright © Gentside Découverte »

                                  • Aldous Aldous 8 février 2014 12:54

                                    Ah ? Les bonobos seraient moins stupides que les bobos ? 

                                    Et ces bonobos... Il habitent des sorte de lofts avec du mobilier en matériaux recyclés, non ? smiley


                                  • Le421... Refuznik !! Le421 8 février 2014 13:05

                                    @Spartacus

                                    Visiblement, vous connaissez bien les bonobos.
                                    Ils adorent jouer avec leur zizi !!  smiley

                                    Salutations


                                  • djea 8 février 2014 13:25

                                    les bobos ne sont pas stupides, ils ont tout compris au contraire !


                                    Ils ont du fric, respectent l’environnement dans leurs vies de tous les jours, éduquent bien leurs enfants notamment concernant le respect du aux autres personnes, leur apportent beaucoup de culture.

                                    Maintenant comparons avec la bourgeoisie....son mépris social, son mépris pour l’environnement parce que ça empêche de faire du fric, son éducation donnée aux enfants : ségrégation sociale et bourrage de crâne des enfants sur leur soi-disant supériorité, la religion tout ceci sur fond d’hypocrisie totale lorsqu’on gratte le vernis, c’est pas beau à voir ! (films de Chabrol excellents sur le sujet !)

                                    VIVE LES BOBOS !!!!!!!!!!!!!

                                  • Aldous Aldous 8 février 2014 17:30

                                    Ils respectent l’environnement ?
                                    En votant eelv ?
                                    En triant leurs poubelle ?
                                    En utilisant une bagnole hybride ?

                                    Ca ne s’appelle pas respecter l’environnement ça s’appelle s’acheter une bonne conscience.

                                    Le bobo est bourgeois jusqu’au trognon. Mais il a la détestation de ce qu’il est réellement et s’achète des illusions on votant pour le parti Sociétalise ou les ecofascistes qui se cachent derrière eelv (voir la campagne de pub de 10:10).

                                    Contrairement au bourgeois assumé, il n’a aucun respect pour sa femme, la trompe en toute bonne conscience et se rachète une bonne conscience en faisant asser a muflerie pour du féminisme (voir Hollande et DSK).

                                    Son infidélité fait exploser sa famille et il tente tant bien que mal d’en recomposer une, en faisant subir à ses enfants des traumatismes profonds.

                                    Bref il vit dans l’illusion d’être encore bohème et dans la dénégation de son embourgeoisement total.

                                    Le résultat est pathétique.


                                  • Furax Furax 8 février 2014 12:59

                                    Ca semble un peu décalé mais bon...
                                    Programme de FR2 ce soir. Première partie Muriel Robin, deuxième, Ruquier reçoit Caroline Fourest. Euh...C’est plus une théorie, c’est du matraquage.
                                    Bien sûr je me mettrai devant un bon bouquin, mais pour ce qui est ce cette Fourest, il faudrait faire quelque chose : grève de la redevance TV, grande pétition nationale (si il y en a qui maitrisent la pratique...). Cette propagandiste menteuse et haineuse NOUS la finançons, il faudrait que ça cesse non ?


                                    • Le421... Refuznik !! Le421 8 février 2014 13:03

                                      Vous avez également le choix, comme pour moi, de regarder les jeux olympiques de Poutine...
                                      Au moins, on sait pourquoi on paye !!


                                    • djea 8 février 2014 13:14

                                      Pour virer Zemmour, coincé au 19ème siècle et (malheureusement au 21ème !), on pourrait faire quoi ?


                                      Ca sent la naphtaline tout ça !

                                    • Furax Furax 8 février 2014 14:53

                                      @djea
                                      T’en fais pas il sera viré, par tes potes Zemmour.
                                      La parole libre, la culture, les arguments, ils ne supportent pas.
                                      Maintenant, si tu veux lancer une pétition... smiley


                                    • Francis, agnotologue JL 8 février 2014 14:16

                                      Sur un autre fil (*), j’ai relevé cette belle phrase, dans le contexte de la description de la découverte des premiers émois amoureux par un enfant : ’’Qui est donc cette pseudo toubib qui va lui voler cela en faisant mine de le lui apprendre ?’’

                                      Je pense que NVB et ses copines ont peut-être été des enfants qui se sont vues enlever ça par un pseudo toubib, ami de la famille comme Charles Dogson l’était vis-à-vis de la famille des petites filles qu’on lui prêtait à sa demande ?

                                      (*) lisez l’article de Trassibul, vous ne perdrez pas votre temps. C’est là : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/mauvais-genre-147678?debut_forums=0#forum3945819&nbsp ;

                                      ps : c’est lui-même qui emploie cette expression, dans ses mémoires, interviews ou romans..


                                      • nemotyrannus nemotyrannus 8 février 2014 20:58

                                        Djea vous avez une tendance à la misandrie que je déplore.


                                        -Je réclame sans honte le droit pour les hommes d’avoir le droit d’être victimes de violences conjugale , et je parle des victimes de violence physiques . Et pas de ceux ayant provoqué la légitime défense de madame ni entre couples homos.

                                        -Je réclame le droit pour les hommes de ne pas être considérés comme les causes exclusive des guerres quand d’autres facteurs plus importants entrent en jeux dans la naissance de celles-ci.

                                        -je réclame aux nom de l’égalité le droit à la reconnaissance des saloperies commises par les femmes puissantes , parce qu’il y en a plein de femmes puissantes pour peu qu’elles osent , afin de ne plus voir le sexe comme cause des catastrophes.


                                        Quand un homme dogmatique/militariste/roux/violent/manichéen/simple d’esprit/avide est jugé , eh bien ce ne sont pas les facteurs « hommes » et « roux » qui doivent être retenus.
                                        Sinon , ça veut dire qu’on jette tous les hommes et tous les roux aussi.

                                        L’exemple roux est absurde , l’exemple homme est banal.
                                        Et c’est incroyablement idiot.

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