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Elisa

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  • Premier article le 29/07/2010
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Derniers commentaires



  • Elisa 10 novembre 2009 18:04

    Dans le sarkosystème, les ministres ne sont que les porte voix du chef. Leur rôle est de titiller puis de façonner l’opinion quand il ne s’agit pas de faire le service après-vente auprès des média.

    Un ministre doit défendre le Président même lorsqu’il est indéfendable.

     La preuve en est ce matin à France Inter : le pauvre Kouchner a été obligé de souscrire à la version pour le moins rocambolesque de la participation anticipée de notre président à la chute du mur de Berlin. Le seul argument qu’il a pu opposer à la question de Demorand fut une fin de non recevoir hargneuse à la question qui lui était posée.

    Heureusement que notre diplomatie est entre les mains d’un conseiller du Président !



  • Elisa 9 novembre 2009 12:27

    Comment peut-on faire confiance en un responsable politique qui n’a été capable d’affronter le gouvernement que sur un plan formel ou dans des circonstances platoniques : il a manqué au moins deux fois à son devoir d’opposant crédible et efficace.
    Il avait les cartes en main pour faire respecter le non au référendum sur le TCE en s’opposant à la modification constitutionnelle en Congrès en janvier 2008.

    Il ne fallait guère forcer le jeu pour que le changement constitutionnel faisant de Sarko un nouveau monarque soit bloqué en juillet 2008.

    Je passe sous silence son absence de soutien à la grève générale en Guadeloupe et son incapacité à s’opposer fermement à la prochaine privatisation de la poste. On pourrait multiplier de tels exemples.

    L’histoire récente de François Hollande est celle d’un parcours tacticien pour être candidat socialiste à la présidence. Cela ne lui confère pas la dimension d’un adversaire politique capable d’offrir une alternative de gauche.



  • Elisa 7 novembre 2009 15:01

    Le débat sur l’identité nationale n’en est pas un. Pour qu’il y ait débat il faut un affrontement de points de vue distincts et un minimum d’incertitude sur les conclusions.

    Or tout est fait pour impliquer le maximum d’instances dans la désignation d’un bouc émissaire : l’émigration des pauvres.

     Il s’agit, pour le gouvernement, non pas de débattre mais d’occuper le terrain pour imposer un point de vue d’autant plus pervers qu’il n’est jamais complètement explicité : le risque pour l’identité française c’est l’immigré issu prioritairement du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne.

    Il faut faire adhérer le maximum de gens à l’idéologie du « choc de civilisations » pour légitimer l’ordre économique mondial dominant et sa légitimation libérale de plus en plus contestés depuis le début de la crise financière.



  • Elisa 5 novembre 2009 14:32

    Voilà quelques infos sur cet ouvrage

    Ambrose Bierce (1842-1914 ?) est au récit américain ce que le Picon est au plateau apéritif. Amer, sombre, corrosif, à doser avec la plus grande prudence, mais rapidement addictif.

    Autodidacte, dernier rejeton d’une famille puritaine qu’il rejeta violemment, il dut sa carrière d’écrivain à une rencontre frappante avec l’Histoire : la Guerre de Sécession, où il s’engagea par idéalisme et qui l’exposa à des spectacles dont il ne se remit jamais. Elle nourrit ses premières nouvelles, dont le célèbre « Ce qui se passa sur le pont d’Owl Creek » (qui inspira sans doute à Terry Gilliam la fin de Brazil). Pessimiste, cynique, cultivant un humour noir parfois désopilant, Bierce, qui devint journaliste après la guerre, se fit surtout connaître par son Dictionnaire du diable, rédigé sur vingt-cinq ans et cultivant un ton distancié et misanthrope. 

    En 1914, excédé par ses compatriotes et miné par des malheurs familiaux (un fils suicidé, un autre alcoolique, une épouse quittée), Bierce s’engage auprès de Pancho Villa à 75 ans et disparaît. On ignore s’il est tombé au champ d’honneur cette fois, ou s’il a tout simplement profité de l’aubaine pour se refaire une nouvelle vie sous une autre identité, tel un héros de Borges.

    Excellent pour passer sa bile les jours où l’on se dit que si l’espèce humaine n’existait pas (concierges vociférantes inclues), ça ne vaudrait sans doute pas la peine de l’inventer.

    Epouse : femme qui a un brillant avenir derrière elle.

    Cadavre : produit fini dont nous sommes la matière première.

    Cynique : grossier personnage, dont la vision déformée voit les choses comme elles sont et non comme elles devraient être.

    Déluge  : première expérience de baptême qui fit disparaître de la surface de la terre tous les péchés - et tous les pécheurs avec.

    Sorcière : a) vieille femme horrible et repoussante se livrant à des activités perverses avec le diable ; b) jeune personne belle et attirante dont les activités perverses dépassent largement le diable.

    Tuer : créer une vacance sans nommer un successeur.

    Violon : Instrument qui charme l’oreille par le frottement d’une queue de cheval sur les boyaux

    Source:Archea2 live.journal



  • Elisa 5 novembre 2009 12:32

    Quelques autres définitions fransarkozistes

    -Agir : verbe répété cent fois pour faire croire qu’on le fait.

    -Nicolas Sarkozy : expression que les membres du gouvernement, les conseillers, les députés de la majorité doivent citer au moins 3 fois dans tout interview, même bref.

    -Issu de l’immigration : un de bon ou une de bonne pour cent de suspects-es.

    -La diversité : nouvel euphémisme pour désigner ceux qui précèdent

    -Si vous croyez que : le début préféré de ses discours pour prouver au peuple que lui au moins apportera les solutions.

    -Je n’ai pas été élu pour : expression mille fois répétée qui nous fait de plus en plus regretter cette élection .

    -Opinion(sondages) : le GPS du Président.

    -Réformes : la volonté du MEDEF déguisée en nécessité vitale.

    -Faire bouger la France : la mettre au pas de la mondialisation financière et de l’OTAN.

    -L’identité française : la pêche aux voix d’extrême- droite.

    -Ministre : petit personnel de l’Elysée.

    -Premier ministre : DRH

    -Député : fantassin si il est de la majorité, quantité négligeable tant que l’opposition est minoritaire.


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