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Elisa

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  • Premier article le 29/07/2010
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Derniers commentaires



  • Elisa 27 octobre 2009 14:30

    Cet article ne fait pas mouche.

    Le débat sur l’identité nationale ne se résume pas à l’opposition entre un amour sincére ou un patriotisme « apaisé » et l« hypocrisie droitière dénoncée ici.

    Outre l’écran de fumée pour affronter les régionales, l’enjeu de ce »grenelle« inavouable est d’introduire une sorte de nationalité morale qui supplanterait le droit du sol en particulier dans les zones défavorisées.

    On n e demande pas un certificat de bonne francitude aux fonds de pensions anglo-saxons qui imposent leurs conditions esclavagistes dans des entreprises. Ni aux »immigrés" russes ou koweiti de la Côte d’Azur.

    Non ce sont les immigrés de la misére , des français d’immigrés souvent depuis plusieurs générations, qui font l’objet de cette exigence : il ne leur suffit pas d’être français par le droit du sol comme n’importe qui, ils devraient se conformer à un modèle idéologico patriotique.

    Je croyais qu’il existait un lieu permettant à tout enfant de grandir et de devenir un citoyen, c’est l’école.



  • Elisa 26 octobre 2009 14:35

    Le pire dans ce déni de démocratie c’est la logique dans laquelle le peuple français a été enfermé.
    Désormais l’élection présidentielle coïncidant avec les législatives aboutit à l’octroi des pleins pouvoirs au Président de la République. En élisant un Président et la majorité présidentielle, l’électeur abdique et le parlement n’est qu’un lieu de débats dérisoires.
    Pire encore, le seul espoir de changement véritable nous renvoie aux prochaines présidentielles, autant dire à une nouvelle abdication de la démocratie quel qu’en soit le résultat.
    Le seul espoir qu’on puisse avoir pour restaurer le politique est un profond changement constitutionnel issu d’un mouvement populaire .



  • Elisa 23 octobre 2009 18:06

    Vouloir l’égalité d’accord.

    Mais cela suppose un aggiornamento de nos façons de penser. Lorsqu’on s’échine à associer extrême droite et populisme parce que cette association aurait un ancrage historique dans le 3° Reich (oubliant en cela la complicité du capitalisme international dans le soutien à Hitler, champion de l’ordre face au communisme) , on valorise de fait les élites et on méprise le peuple. Ce peuple qui ne serait digne qu’à condition d’être éduqué à la « bien pensance » d’une intelligenzia totalement soumise à la pensée libérale dominante.


    Les BHL, Finkelkraut et autres Val n’ont pas de mots assez durs pour fustiger ceux qui ne se soumettent pas à leurs diktats les accusant de populisme quand ce n’est pas de fascisme.

    Mais qui sont les plus respectueux ? Ceux qui n’hésitent pas à conférer la moralité et l’impunité sous prétexte qu’ils appartiennent à l’élite culturelle ou artistique ou ceux qui refusent le “deux poids, deux mesures” ?« Selon que vous serez puissant ou misérable »

    Oui il est dur d’être démocrate si il s’agit de se soumettre à ces piètres maîtres penseurs.

    Non si la démocratie c’est l’égalité en droit et en dignité de chacun sans aucune exception : l’abolition des privilèges est toujours d’actualité.





  • Elisa 13 octobre 2009 17:46

    Comment on fait d’un vieux bac +2 un très précoce gestionnaire de très grande entreprise.
    Il suffit pour cela d’être Président de la République et père de ce jeune homme pour lui octroyer un privilège exorbitant et absurde.

    Quand ce Caligula des temps modernes fera-t-il maréchal son plus jeune fils ?



  • Elisa 11 septembre 2009 18:53

    Reprenons point par point ce qu’est le sarkozysme.

    1- Les adeptes de Sarkozy, certes. Mais surtout ceux que Sarkozy défend depuis son élection, les bénéficiaires du bouclier fiscal, ceux qui ont intérêt à réduire les charges sociales et à peser de tout leur poids pour réduire les salaires.

    2-Un pragmatime actif. On observe plutôt une énorme machine à communiquer, le pragmatisme étant surtout la mobilisations du maximum de moyens pour accroître sa popularité et se faire réélire.

    3-La vision d’avenir. « un société où tout est possible pour tous, le talent, la gloire, la réussite, etc. » la contradiction même dans la formule en prouve son inanité, qu’est-ce qu’une civilisation qui n’a pour seules valeurs que des valeurs de compétition et de rivalité ? quel avenir pour une société qui promet à tous ce que seulement une minorité pourra atteindre ?

    4- Quant à la valeur travail elle se résume dans la formule désespérante du travailler plus pour gagner plus, autrement dit dans un asservissement croissant aux exigences de ceux qui ne voient dans le travail humain qu’un moyen d’augmenter les profits privés des actionnaires et des spéculateurs.

    Bref le sarkozysme poursuit au XXI° siècle le vieux rêve de la fin du XVIII° d’Adam Smith:la défense inconditionnelle des intérêts individuels, la sacralisation de l’enrichissement sensés rejoindre l’intérêt commun.

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