F-H-R

Quand Alain Juppé explique que «  la France a plus que jamais besoin d’un État fort qui mobilise tous les moyens nécessaires, qu’ils soient juridiques, financiers ou opérationnels », il est crédible.

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Personnellement, j’en ai plus qu’assez de cette escroquerie de l’ « Etat fort », qui ne profite qu’aux privilégiés de république et qui est imposé de manière totalitaire par la mafia des énarques qui a gangréné tous les ministères, du législatif au judiciaire en passant par l’exécutif.
Le petit dictateur franquiste Valls n’a, d’ailleurs, que ces mots-là à la bouche : « Il faut un Etat fort »… traduction : l’administration décide de tout pour vous, et vous, vous nous garantissez une vie confortable grâce aux impôts dont on vous assomme. Pour le reste, c’est-à-dire vos besoins élémentaires, vous n’avez qu’à créer des associations à but sociale, lesquelles, bien, sûr, vous financerez de vos dons.

Et la démocratie ? Comment intervient-elle dans votre raisonnement ?
Je souhaite juste rappeler que l’Etat doit être au service des citoyens et non pas l’inverse comme c’est le cas depuis 40 ans.

De plus, Juppé a tellement de « casseroles » que je me demande comment on peut encore l’espérer au pouvoir ?

D’ailleurs, ils ont tous des casseroles plus ou moins connues. C’est la raison pour laquelle il est suicidaire de continuer de cautionner, par le vote, ce système inique et décadent.
Je suis, en ce qui me concerne, plutôt d’accord avec ces articles :

http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/la-republique-des-casseroles-184538

et
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/je-ne-voterai-pas-a-l-election-184147

Nicolas Dupond Aignan est clairement un imposteur.

Comment accorder un quelconque crédit à un type qui n’a jamais travaillé de sa vie, à un incapable et profiteur (énarque) et qui ne conçois le redressement des finances que par une augmentation massive des impôts tout en maintenant une administration pléthorique (la ville d’Yerres, dans laquelle il est maire, est devenue, depuis son arrivée, la plus imposée de France).

Cet individu passe le plus clair de son temps à faire de la communication démagogique… l’archétype du politicien professionnel, parasite de la république.

@olivier cabanel
« … si une majorité de français décide de ne pas donner une majorité à un clan ou à un autre… »
Tout le problème est dans ce « si ». L’enfumage est bien rodé et les énarques mettent tout en œuvre pour mettre la tête des citoyens sous l’eau, de sorte qu’ils ne soient plus préoccupés que par les problèmes dont on les assène. Laminer l’enseignement est aussi une bonne façon de créer des « veaux ».

Vous verrez qu’aux prochaines élections rien n’aura changé. Déjà en 2012, beaucoup d’articles avaient été écrits par des citoyens écœurés par le système et près à croire que la vrai démocratie allait faire son chemin…

A mon avis, il y a une myriade de groupuscules qui militent dans le même sens, celui du renouveau, mais il manque une fédération, un catalyseur, pour que se répande, dans les esprits, l’idée d’un renversement du système actuel.

Tout à fait d’accord avec le constat.

Pour autant, je vois deux réalités qui obèrent sérieusement la conclusion :
« Alors pourquoi pas un break présidentiel ? »

1. J’ai le net sentiment que la grande majorité des Français est tellement abreuvée des discours, reportages et analyses des médias complices du système, qu’elle est trop bien conditionnée pour être en mesure de s’éveiller à ce genre de philosophie... (Agoravox : Combien de division ?)

2. Quand bien même la France ferait un break présidentiel, il n’en resterait pas moins les énarques incapables et profiteurs des ministères, lesquels sont en réalité les vrais décisionnaires (les ministres passent, les énarques restent).

@tashrin
Bon… On n’est pas d’accord.
Moi, je crois en l’entreprise et en sa capacité de produire de la richesse et de contribuer à une meilleure condition de vie pour tout un chacun. En revanche je considère que l’Etat est incompétent en matière d’entreprise et ne doit se préoccuper que de service et de garantir la protection (dans tous les sens du terme) des citoyens.

En définitive, ce qui est important c’est que tout le monde trouve son compte dans notre société et que personne ne reste sur le bord de la route.
« Quelle politique économique doit-on mener ? » est une question subordonnée à « Comment collaborer et être équitable ? »