• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

yralim

yralim

Simplement intéressé par ce qui se passe autour de moi...

Tableau de bord

  • Premier article le 13/06/2007
  • Modérateur depuis le 11/09/2007
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 17 58 372
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 3 3 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : nombre de visites













Derniers commentaires



  • yralim yralim 18 octobre 2007 18:47

    « Les solidarités artificielles ne peuvent pas être éternelles : on n’est »naturellement solidaire« que de ceux qu’on reconnaît pour siens. »

    Le Pen a un mot pour cela : « la Corrèze avant le Zambèze. » mais précisémment je ne peux pas être d’accord sur ce point.

    Je vous suis quand vous différenciez la Suisse et la Belgique par le fait que d’un côté il existe une identité nationale et pas de l’autre, encore que... disons qu’il y a depuis très longtemps un intérêt bien compris a être unis. Parce qu’un Vaudois reste avant tout un Vaudois, et qu’il existe aussi des tensions palpables entre germanophones et francophones.

    Mais nous, en France, nous avons aussi une identité nationale et une seule langue, or le problème se pose d’une autre façon. Je pense qu’il existe réellement une volonté politique d’exacerber les différences pour exploiter les tensions qui en découlent.

    Le rôle du politique ne devrait pas être me semble-t-il d’exploiter les penchants de l’homme à l’égoïsme et à l’individualisme, mais au contraire de l’éduquer pour qu’il participe à la société.



  • yralim yralim 18 octobre 2007 16:43

    Merci pour vos commentaires dont beaucoup m’ont appris quelquechose. Mon but, au départ de cet article, était, sous une forme imagée de sensibiliser mes concitoyens aux problèmes qui se posaient à l’extérieur de notre sacro-saint hexagone. De ce point de vue là, c’est un échec. Même dans l’Europe, nous vivons repliés sur nous mêmes avec un intérêt de moins en moins grand pour les autres. Mon propos ne voulait pas être exhaustif, mais simplement refléter ce qui nous arrive jusqu’ici des problèmes de la Belgique à travers le prisme de nos médias, forcément francophones. A ce titre il était fatlement partiel et d’une certaine façon, partial. J’en ai conscience.

    Vos échanges mettent surtout en évidence l’origine linguistique de vos problèmes. A ce sujet j’ai une petite anecdote. Il y a peu , me rendant à La Haye, j’avais oublié d’emporter de la lecture comme j’aime en avoir avec moi, un bon polar par exemple. Je me dis « qu’à cela ne tienne, j’en trouverai bien sur une aire d’autoroute ». Mais voila lorsque je m’arrêtai, nous étions déjà en flandre... Heureusement qu’à Den Haag existe une excellente librairie avec un grand rayon francophone... Ce que je me demande au fond, c’est s’il n’y a pas une autre explication, plus actuelle et qui échappe à la seuls Belgique. Car enfin, pourquoi maintenant ?

    Pendant 176 ans vous avez vécu avec vos différences, avec ce fossé de la langue, avec certainement des rancoeurs, des jalousies, voire des haines, mais vous avez vécu...

    Or aujourd’hui tout se passe, non seulement en Belgique mais aussi ailleurs en Europe, comme s’il y avait un détricotage des solidarités qui faisait que plus personne ne veut payer pour les autres, et cela, encouragé par l’exisrtence de partis nationalistes, populistes et xénophobes.

    Cela existe chez vous , mais aussi en Italie avec les tentatives de création de la Padanie, mais aussi en Suisse avec l’UDC, ou encore en Espagne avec la résurgence de partis phalangistes ou nostalgiques du franquisme.

    C’est un sujet sur lequel je reviendrai, ici ou ailleurs.

    Et je ne nous oublie pas bien sûr.

    Si, en France, nous n’avons pas, et pour cause de problème linguistique, nous avons le FN qui ne doit son effondrement qu’au fait que ses idées sont mises en application par d’autres. Et il existe aussi, on le sent de plus en plus , cette volonté de diviser, d’opposer, jeunes contre vieux, malades contre bien-portants, travailleurs contre chômeurs, employés du privé contre fonctionnaires, autochtones contre immigrés... Avec à chaque fois l’idée que les uns n’ont pas à payer pour les autres.

    Cette évolution me semble grave. Et je me demande si ce n’est pas aussi un autre éclairage sur ce qui est en train de se produire en Belgique



  • yralim yralim 10 octobre 2007 17:32

    Je trouve l’article très bien fait, et portant sur un point important qui ne concerne pas seulement ce match là ni le seul rugby.

    Je ne suis pas choqué à priori par le résultat du match. Et je comprends ceux qui disent que les fautes d’arbitrage sont un impondérable dans le sport et qu’il faut s’y faire.

    Ce qui me choque c’est le chauvinisme outrageusement cocardier et qui en devient effectivement indécent, celui qui nie la faute ou l’occulte. Ce qui me dérange, c’est l’esprit lamentable de ces deux commentateurs qui ont, dans leur vision du jeu, bien estimé qu’il y avait en-avant et qui décident que c’est bien, et qu’il faut le taire puisque ce sont les français qui l’ont commis. Que ne les aurait on entendus hurler si la même faute était venue des blacks !

    C’est une absence déplorable d’esprit sportif, liée à l’évolution négative de l’ensemble des sports professionnels.

    Mais dès lors, avec des exemples pareils, comment demander à des jeunes d’être fair play, de se comporter en citoyens, de respecter des règles ? Et en cela oui cette victoire déja entachée d’une sombre histoire de maillots qui ne s’imposait pas me choque.



  • yralim yralim 10 octobre 2007 16:43

    Il me semble que le problème qui se pose est surtout celui d’un durcissement en France des rapports entre la police et le citoyen.. Quand on rentre d’un pays où les libertés sont restreintes et contre lequel on n’a pas de mots assez durs ici pour fustiger les atteintes aux Droits de l’Homme, on est surpris de trouver au retour un climat policier qui ne grandit pas notre propre pays.

    C’est l’accumulation de contrôles ici décrit qui crée un malaise, alors que le premier est bien accepté. Soyons certains que ce climat va encore s’alourdir au fil du temps, aussi bien en raison des résultats médiocres sur les plans de l’économie, et de la sécurité, que des rapports de plus en plus tendus entre une police livrée à elle-même et les citoyens.

    Les régimes durs ont toujours tendance à chercher des boucs émissaires à leurs échecs et à accentuer les lois répressives et la présence policière.



  • yralim yralim 5 octobre 2007 18:41

    Vous avez tout à fait raison, je suppose en effet qu’il y a eu bien des erreurs pédagogiques venues en haut, bien des idéologies voire des modes qui ont sérieusement compliqué les choses. Mon souci cependant était de me placer au niveau de l’élève , pour expliquer que lorsqu’il arrivait face a ses maîtres porteur de toute sa problématique, sociale, personnelle, environnementale il n’était souvent pas prêt a bénéficier du savoir qu’on s’efforçait de lui inculquer... et que les dispositions qu’on lui demandait pour ce faire entraient souvent en concurrence avec les élèments extérieurs à l’école.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv