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Les commentaires de scylax



  • scylax 28 août 2018 17:01

    L’inflation, c’est l’euthanasie des rentiers. Autrement dit, l’inflation est favorable aux « pauvres », pas aux riches. Quand l’inflation caressait les 14% (1982) dans les années 1970-1980, toute une classe de « pauvres » a rattrapé les classes moyennes en payant un pavillon le tiers de sa valeur par des intérêts composés inférieurs à l’inflation. 



  • scylax 27 août 2018 16:58

    Deux questions qui ne sont JAMAIS traitées par les anti comme le pro-immigration, et pour cause car elles mettent le doigt où ça fait mal pour les deux camps bien d’acord sur le fonds.

    1) les travailleurs immigrés sont attirés par notre niveau de vie et acceptent des bas salaires et des logements dégueulasses. Qui remplacent-ils ? la plèbe de souche française qui refuse les travaux jugés indignes de ces petits marquis (?). Et qui vote pour Le Pen et autres politicards qui veulent bouter les immigrés hors de la douce France : ces petits marquis qui ont pu s’élever (pas très haut : employés) dans la hiérarchie sociale et avoir leur petit pavillon de banlieue, la fameuse France périphérique (et lepéniste) du géographe Guilluy.
    2) Il y a entre 1 million et demi et 2 millions de travailleurs français (de souche) hors de France. Le plus souvent cadres et assimilés, principalement à Londres, Montréal, New York et pays africains francophones. C’est gens-là vont tous ou presque rentrer, leur contrat de travail une fois terminé. Seuls deux cents à trois cents mille d’exileront définitivement et s’assimileront eux et leurs enfants aux Etats-Uni, au Canada, etc....... Il n’y a donc aucune raison que nos travailleurs immigrés s’installent à vie et fabriquent de soi-disant petits français (droit du sol). Une fois ces messieurs travailleurs immigrés ne travaillant plus, ils devraient retourner chez eux. 


  • scylax 10 octobre 2017 16:57

    quand on a envie de mourir, on se suicide. O ne fait pas appel lâchement à un tiers et surtout pas à la médecine où le serment d’Hippocrate interdit formellement à un médecin de tuer. Mais c’ette pauvre illuminée ne connaissait pas Hippocrate. Elle est morte et c’est très bien comme ça. Une pitre de moins



  • scylax 3 octobre 2017 20:57

    @xana
    c’est encore plus grave que ce que je pensais...... Encore un droitdel’hommiste impénitent.......... 



  • scylax 3 octobre 2017 13:34

    S’agissant du rôle des soi-disant insoumis et dissidents du Doriot de notre époque, le rouge-brun Mélenchon, pied-noir trotskyste déglingué, il est évident qu’ils se font les agents de l’eslamo-gauchisme, fruit de la synthèse de Lénine et Ben Laden.......... Racaille et compagnie qui devront bien un jour où l’autre rendre des comptes. Saint-Just a dit ; pas de liberté pour les ennemis de la liberté. 



  • scylax 3 octobre 2017 13:30

    @Alvares
    tiens !!! le taré bolchévik vient de se réveiller. 



  • scylax 3 octobre 2017 13:28

    @xana
    vous ne vous rendez même pas compte de l’ignominie de comparer deux contextes et deux populations radicalement différents........ 



  • scylax 3 octobre 2017 01:16

     Commençons par ceux qui nous ont quitté.

    Pierre Loti, écrivain français. Son premier roman « Azadié » avait pour thème une histoire d’amour dans le cadre exotique de la Turquie de 1876-1877 entre un officier de marine européen et une jeune femme du harem d’un riche vieillard. Pas dupes, les frères Goncourt évoquaient Loti en disant de lui : « Cet auteur, dont l’amante, dans son premier roman est un monsieur ».

    Ernest Psichari, lieutenant français. Il séjourna trois ans en Mauritanie, où il exprima son admiration pour le corps des jeunes Maures, comme celui de Mohammed, « souple et mince comme un jeune palmier ».

    André Gide, écrivain français, compagnon de tourisme sexuel d’Oscar Wilde à Tanger.

    Lawrence d’Arabie, aventurier anglais et promoteur d’une unité arabe sous les Hachémites.

    Hubert Lyautey, maréchal de France, gouverneur du Maroc.

    Louis Massignon,. grand arabisant et islamologue français.

    Jacques Benoist-Méchin, historien français et politicien vichyste. Il était proche de plusieurs chefs d’Etat arabes. Il a été notamment invité à un anniversaire d’Hassan II.

    Henri de Montherlant, écrivain d’extrême-droite. Ses pérégrinations autour de la Méditerranée l’ont amené au Maghreb, où il s’est installé pendant deux périodes , respectivement à Alger et à Tunis. Dans ”La Rose de sable” , il exprime sa pitié pour “ nos indigènes musulmans, sans armes, sans presse, sans puissance civique ni politique ” et affirme dans “ Pour le chant profond ”, ”combien les Français leur sont inférieurs”.

    Daniel Guérin, militant libertaire. Il disait qu’après la Seconde Guerre mondiale, les Algériens immigrés offraient une disponibilité sexuelle que n’avaient plus les ouvriers français. Au lendemain de l’Indépendance algérienne, il effectua plusieurs voyages en Algérie.

    Jean Genet, écrivain pro-palestinien obsessionnel, sanctifié par Sartre. Il disait « Il est naturel que cette piraterie, le banditisme le plus fou qu’était l’Allemagne hitlérienne provoque la haine des braves gens, mais en moi l’admiration profonde et la sympathie ». En 1982, il écrivit « Quatre heures à Chatila », ode à la Palestinitude.

    Roger Peyrefitte, écrivain français pédophile. Il publia en 1954 « Le petit Arabe », dans la revue Arcadie, no 1.

    Oscar Wilde, écrivain irlandais. Après sa virée sexuelle à Tanger avec son giton André Gide, il proclamait que les pays musulmans sont un paradis pour les pédérastes et vantait les talents d’un certain adolescent marocain qui l’avait comblé.

    E. M. Forster, écrivain anglais. Travaillant pour la Croix-Rouge en Égypte en 1916, il tomba amoureux d’un jeune Égyptien de 17 ans, Mohammed el-Adl qui mourut prématurément en 1922.

    Joe Orton, écrivain anglais. Il séjourna en 1965 à Tanger

    William Burroughs, écrivain américain. Il parcourut l’Afrique du Nord, avant de séjourner à Tanger, au Maroc de 1954 à 1956.

    Paul Bowles, écrivain américain,. A 37ans, il s’installa au Maroc définitivement.

    Truman Capote, écrivain américain. Il séjourna à Tanger en 1949

    Allen Ginsberg, écrivain américain. Il séjourna à à Tanger en 1957

     

     Parmi les individus qui bougent encore, on note :

    Gabriel Matzneff, écrivain français pédophile assumé. Arabophile béat, il va jusqu’à dire après le 13 novembre 2015 : « On est accablé par la médiocrité petite-bourgeoise, l’insignifiance des propos tenus par les survivants de cette « génération Bataclan ! »

    Thierry Meyssan, activiste français d’extrême-droite complotiste. C’est un agent d’influence de l’Iran et de la Syrie baathiste.

    Thierry Schaffauser, prostitué français, co-fondateur du Strass (Syndicat du travail sexuel). Il publie le 03.08.2014, une pétition : « Gays pour une paix juste en Palestine, contre le racisme et l’islamophobie », contresignée entre autres par signé par « Rainbow Caucus France « (Union française des étudiant/e/s et diplômé/e/s queers et de leurs proches) ;

    Philippe de Saint-Robert, écrivain français gaulliste jurassique. Il fait partie du jury du prix Palestine-Mahmoud Hamchari.

     

    Des explications ont été tentées pour expliquer cette « disponibilité homosexuelle » dans le monde arabo-musulman, alors que la Charia est d’une férocité sans égale à l’encontre des « invertis ».

    Henri Marrou, historien des religions, affirmait en 1961 : « L’exclusion matérielle des femmes, tout effacement de celles-ci, entraînent toujours une offensive de l’amour masculin : qu’on pense à la société musulmane. ».




  • scylax 3 octobre 2017 01:15

    Nous savions déjà que Salah Abdeslam, co-auteur encore vivant des attentats du 13 novembre 2015, est homosexuel. Plusieurs médias européens (The Sunday Times, La Libre, Paris Match Belgique) ont relayé une information quasiment passée sous silence par les médias français, à savoir que Salah Abdeslam était connu à Bruxelles pour sa fréquentation régulière des bars homosexuels. « C’était un jeune prostitué, il trainait toujours avec ce genre de personnes », a expliqué au journal britannique un barman d’un de ces établissements.

    Nous venons d’apprendre que feu le héros takfiriste du Pulse à Orlando, Omar Matin (Mateen en anglais), était lui aussi de la même orientation sexuelle. Nos élites médiatiques et politiques, stupéfaites car d’une ignorance crasse s’agissant du monde musulman, tentent désespérément de minorer les implications de cette information.

    Et pourtant les faits sont têtus. Venons en donc à la réalité anthropologique et historique des liens entre homosexualité et culture arabo-islamique, par delà les incontestables anathèmes du Coran et de toute la tradition musulmane (Sounna et Hadiths) contre la « sodomie ».

     

     

    Déjà au XIVe siècle, le Dominicain Guillaume Adam, qui avait voyagé en pays d’Islam, s’écriait : « Ces Sarrasins, oubliant la dignité humaine, vont jusqu’à vivre entre hommes comme chez nous on vit entre hommes et femmes ».

    En 1853, Edouard Duchesne, dans son étude sur la prostitution à Alger, observe que l’homosexualité était « rampante » (sic) dans la société indigène. Il remarque que les femmes algériennes sont « couvertes et enfermées », et que les Arabes « se laissent tenter par la beauté remarquable de presque tous les jeunes gens. Ces belles têtes se montrent à nu par les rues, dans les bazars et les promenades publiques, tandis qu’on ne voit à côté d’eux que des femmes dont les yeux seuls sont apparents ».

    A Paris, jusqu’aux années 1950, des bars fréquentés par les « sidis » aux « bains maures », aux vespasiennes de la porte de la Chapelle et aux bals de Montmartre ou de la Montagne Sainte-Geneviève, la cartographie de la scène homosexuelle recouvrait alors, en grande partie, celle de l’immigration maghrébine.

    Quant à Tanger, ville marocaine à statut international, dans les années 1950, elle était qualifiée de métropole mondiale de l’homosexualité.

    On se souvient de ce manifeste provocateur du Front homosexuel d’Action révolutionnaire (FAHR) qui proclamait : « Nous sommes plus de 343 salopes. Nous nous sommes faits enculer par des Arabes. Nous en sommes fiers et nous recommencerons. » (Tout, n°12, le 25 avril 1971).

    Et c’est une banalité de dire que les homosexuels masculins sont très nombreux dans les milieux politiques pro-arabes et autres intellectuels à divers titres fascinés par le monde arabo-musulman et « l’orientalisme ».

     




  • scylax 21 juin 2016 12:53

    Nous savions déjà que Salah Abdeslam, co-auteur encore vivant des attentats du 13 novembre 2015, est homosexuel. Plusieurs médias européens (The Sunday Times, La Libre, Paris Match Belgique) ont relayé une information quasiment passée sous silence par les médias français, à savoir que Salah Abdeslam était connu à Bruxelles pour sa fréquentation régulière des bars homosexuels. « C’était un jeune prostitué, il trainait toujours avec ce genre de personnes », a expliqué au journal britannique un barman d’un de ces établissements.

    Nous venons d’apprendre que feu le héros takfiriste du Pulse à Orlando, Omar Matin (Mateen en anglais), était lui aussi de la même orientation sexuelle. Nos élites médiatiques et politiques, stupéfaites car d’une ignorance crasse s’agissant du monde musulman, tentent désespérément de minorer les implications de cette information.

    Et pourtant les faits sont têtus. Venons en donc à la réalité anthropologique et historique des liens entre homosexualité et culture arabo-islamique, par delà les incontestables anathèmes du Coran et de toute la tradition musulmane (Sounna et Hadiths) contre la « sodomie ».

     

     

    Déjà au XIVe siècle, le Dominicain Guillaume Adam, qui avait voyagé en pays d’Islam, s’écriait : « Ces Sarrasins, oubliant la dignité humaine, vont jusqu’à vivre entre hommes comme chez nous on vit entre hommes et femmes ».

    En 1853, Edouard Duchesne, dans son étude sur la prostitution à Alger, observe que l’homosexualité était « rampante » (sic) dans la société indigène. Il remarque que les femmes algériennes sont « couvertes et enfermées », et que les Arabes « se laissent tenter par la beauté remarquable de presque tous les jeunes gens. Ces belles têtes se montrent à nu par les rues, dans les bazars et les promenades publiques, tandis qu’on ne voit à côté d’eux que des femmes dont les yeux seuls sont apparents ».

    A Paris, jusqu’aux années 1950, des bars fréquentés par les « sidis » aux « bains maures », aux vespasiennes de la porte de la Chapelle et aux bals de Montmartre ou de la Montagne Sainte-Geneviève, la cartographie de la scène homosexuelle recouvrait alors, en grande partie, celle de l’immigration maghrébine.

    Quant à Tanger, ville marocaine à statut international, dans les années 1950, elle était qualifiée de métropole mondiale de l’homosexualité.

    On se souvient de ce manifeste provocateur du Front homosexuel d’Action révolutionnaire (FAHR) qui proclamait : « Nous sommes plus de 343 salopes. Nous nous sommes faits enculer par des Arabes. Nous en sommes fiers et nous recommencerons. » (Tout, n°12, le 25 avril 1971).

    Et c’est une banalité de dire que les homosexuels masculins sont très nombreux dans les milieux politiques pro-arabes et autres intellectuels à divers titres fascinés par le monde arabo-musulman et « l’orientalisme ».

     

     Commençons par ceux qui nous ont quitté.

    Pierre Loti, écrivain français. Son premier roman « Azadié » avait pour thème une histoire d’amour dans le cadre exotique de la Turquie de 1876-1877 entre un officier de marine européen et une jeune femme du harem d’un riche vieillard. Pas dupes, les frères Goncourt évoquaient Loti en disant de lui : « Cet auteur, dont l’amante, dans son premier roman est un monsieur ».

    Ernest Psichari, lieutenant français. Il séjourna trois ans en Mauritanie, où il exprima son admiration pour le corps des jeunes Maures, comme celui de Mohammed, « souple et mince comme un jeune palmier ».

    André Gide, écrivain français, compagnon de tourisme sexuel d’Oscar Wilde à Tanger.

    Lawrence d’Arabie, aventurier anglais et promoteur d’une unité arabe sous les Hachémites.

    Hubert Lyautey, maréchal de France, gouverneur du Maroc.

    Louis Massignon,. grand arabisant et islamologue français.

    Jacques Benoist-Méchin, historien français et politicien vichyste. Il était proche de plusieurs chefs d’Etat arabes. Il a été notamment invité à un anniversaire d’Hassan II.

    Henri de Montherlant, écrivain d’extrême-droite. Ses pérégrinations autour de la Méditerranée l’ont amené au Maghreb, où il s’est installé pendant deux périodes , respectivement à Alger et à Tunis. Dans ”La Rose de sable” , il exprime sa pitié pour “ nos indigènes musulmans, sans armes, sans presse, sans puissance civique ni politique ” et affirme dans “ Pour le chant profond ”, ”combien les Français leur sont inférieurs”.

    Daniel Guérin, militant libertaire. Il disait qu’après la Seconde Guerre mondiale, les Algériens immigrés offraient une disponibilité sexuelle que n’avaient plus les ouvriers français. Au lendemain de l’Indépendance algérienne, il effectua plusieurs voyages en Algérie.

    Jean Genet, écrivain pro-palestinien obsessionnel, sanctifié par Sartre. Il disait « Il est naturel que cette piraterie, le banditisme le plus fou qu’était l’Allemagne hitlérienne provoque la haine des braves gens, mais en moi l’admiration profonde et la sympathie ». En 1982, il écrivit « Quatre heures à Chatila », ode à la Palestinitude.

    Roger Peyrefitte, écrivain français pédophile. Il publia en 1954 « Le petit Arabe », dans la revue Arcadie, no 1.

    Oscar Wilde, écrivain irlandais. Après sa virée sexuelle à Tanger avec son giton André Gide, il proclamait que les pays musulmans sont un paradis pour les pédérastes et vantait les talents d’un certain adolescent marocain qui l’avait comblé.

    E. M. Forster, écrivain anglais. Travaillant pour la Croix-Rouge en Égypte en 1916, il tomba amoureux d’un jeune Égyptien de 17 ans, Mohammed el-Adl qui mourut prématurément en 1922.

    Joe Orton, écrivain anglais. Il séjourna en 1965 à Tanger

    William Burroughs, écrivain américain. Il parcourut l’Afrique du Nord, avant de séjourner à Tanger, au Maroc de 1954 à 1956.

    Paul Bowles, écrivain américain,. A 37ans, il s’installa au Maroc définitivement.

    Truman Capote, écrivain américain. Il séjourna à Tanger en 1949

    Allen Ginsberg, écrivain américain. Il séjourna à à Tanger en 1957

     

     Parmi les individus qui bougent encore, on note :

    Gabriel Matzneff, écrivain français pédophile assumé. Arabophile béat, il va jusqu’à dire après le 13 novembre 2015 : « On est accablé par la médiocrité petite-bourgeoise, l’insignifiance des propos tenus par les survivants de cette « génération Bataclan ! »

    Thierry Meyssan, activiste français d’extrême-droite complotiste. C’est un agent d’influence de l’Iran et de la Syrie baathiste.

    Thierry Schaffauser, prostitué français, co-fondateur du Strass (Syndicat du travail sexuel). Il publie le 03.08.2014, une pétition : « Gays pour une paix juste en Palestine, contre le racisme et l’islamophobie », contresignée entre autres par signé par « Rainbow Caucus France « (Union française des étudiant/e/s et diplômé/e/s queers et de leurs proches) ;

    Philippe de Saint-Robert, écrivain français gaulliste jurassique. Il fait partie du jury du prix Palestine-Mahmoud Hamchari.

     

    Des explications ont été tentées pour expliquer cette « disponibilité homosexuelle » dans le monde arabo-musulman, alors que la Charia est d’une férocité sans égale à l’encontre des « invertis ».

    Henri Marrou, historien des religions, affirmait en 1961 : « L’exclusion matérielle des femmes, tout effacement de celles-ci, entraînent toujours une offensive de l’amour masculin : qu’on pense à la société musulmane. ».





  • scylax 19 juin 2016 12:38

    Nous savions déjà que Salah Abdeslam, co-auteur encore vivant des attentats du 13 novembre 2015, est homosexuel. Plusieurs médias européens (The Sunday Times, La Libre, Paris Match Belgique) ont relayé une information quasiment passée sous silence par les médias français, à savoir que Salah Abdeslam était connu à Bruxelles pour sa fréquentation régulière des bars homosexuels. « C’était un jeune prostitué, il trainait toujours avec ce genre de personnes », a expliqué au journal britannique un barman d’un de ces établissements.

    Nous venons d’apprendre que feu le héros takfiriste du Pulse à Orlando, Omar Matin (Mateen en anglais), était lui aussi de la même orientation sexuelle. Nos élites médiatiques et politiques, stupéfaites car d’une ignorance crasse s’agissant du monde musulman, tentent désespérément de minorer les implications de cette information.

    Et pourtant les faits sont têtus. Venons en donc à la réalité anthropologique et historique des liens entre homosexualité et culture arabo-islamique, par delà les incontestables anathèmes du Coran et de toute la tradition musulmane (Sounna et Hadiths) contre la « sodomie ».

     

     

    Déjà au XIVe siècle, le Dominicain Guillaume Adam, qui avait voyagé en pays d’Islam, s’écriait : « Ces Sarrasins, oubliant la dignité humaine, vont jusqu’à vivre entre hommes comme chez nous on vit entre hommes et femmes ».

    En 1853, Edouard Duchesne, dans son étude sur la prostitution à Alger, observe que l’homosexualité était « rampante » (sic) dans la société indigène. Il remarque que les femmes algériennes sont « couvertes et enfermées », et que les Arabes « se laissent tenter par la beauté remarquable de presque tous les jeunes gens. Ces belles têtes se montrent à nu par les rues, dans les bazars et les promenades publiques, tandis qu’on ne voit à côté d’eux que des femmes dont les yeux seuls sont apparents ».

    A Paris, jusqu’aux années 1950, des bars fréquentés par les « sidis » aux « bains maures », aux vespasiennes de la porte de la Chapelle et aux bals de Montmartre ou de la Montagne Sainte-Geneviève, la cartographie de la scène homosexuelle recouvrait alors, en grande partie, celle de l’immigration maghrébine.

    Quant à Tanger, ville marocaine à statut international, dans les années 1950, elle était qualifiée de métropole mondiale de l’homosexualité.

    On se souvient de ce manifeste provocateur du Front homosexuel d’Action révolutionnaire (FAHR) qui proclamait : « Nous sommes plus de 343 salopes. Nous nous sommes faits enculer par des Arabes. Nous en sommes fiers et nous recommencerons. » (Tout, n°12, le 25 avril 1971).

    Et c’est une banalité de dire que les homosexuels masculins sont très nombreux dans les milieux politiques pro-arabes et autres intellectuels à divers titres fascinés par le monde arabo-musulman et « l’orientalisme ».

     



  • scylax 19 juin 2016 12:37


     Commençons par ceux qui nous ont quitté.

    Pierre Loti, écrivain français. Son premier roman « Azadié » avait pour thème une histoire d’amour dans le cadre exotique de la Turquie de 1876-1877 entre un officier de marine européen et une jeune femme du harem d’un riche vieillard. Pas dupes, les frères Goncourt évoquaient Loti en disant de lui : « Cet auteur, dont l’amante, dans son premier roman est un monsieur ».

    Ernest Psichari, lieutenant français. Il séjourna trois ans en Mauritanie, où il exprima son admiration pour le corps des jeunes Maures, comme celui de Mohammed, « souple et mince comme un jeune palmier ».

    André Gide, écrivain français, compagnon de tourisme sexuel d’Oscar Wilde à Tanger.

    Lawrence d’Arabie, aventurier anglais et promoteur d’une unité arabe sous les Hachémites.

    Hubert Lyautey, maréchal de France, gouverneur du Maroc.

    Louis Massignon,. grand arabisant et islamologue français.

    Jacques Benoist-Méchin, historien français et politicien vichyste. Il était proche de plusieurs chefs d’Etat arabes. Il a été notamment invité à un anniversaire d’Hassan II.

    Henri de Montherlant, écrivain d’extrême-droite. Ses pérégrinations autour de la Méditerranée l’ont amené au Maghreb, où il s’est installé pendant deux périodes , respectivement à Alger et à Tunis. Dans ”La Rose de sable” , il exprime sa pitié pour “ nos indigènes musulmans, sans armes, sans presse, sans puissance civique ni politique ” et affirme dans “ Pour le chant profond ”, ”combien les Français leur sont inférieurs”.

    Daniel Guérin, militant libertaire. Il disait qu’après la Seconde Guerre mondiale, les Algériens immigrés offraient une disponibilité sexuelle que n’avaient plus les ouvriers français. Au lendemain de l’Indépendance algérienne, il effectua plusieurs voyages en Algérie.

    Jean Genet, écrivain pro-palestinien obsessionnel, sanctifié par Sartre. Il disait « Il est naturel que cette piraterie, le banditisme le plus fou qu’était l’Allemagne hitlérienne provoque la haine des braves gens, mais en moi l’admiration profonde et la sympathie ». En 1982, il écrivit « Quatre heures à Chatila », ode à la Palestinitude.

    Roger Peyrefitte, écrivain français pédophile. Il publia en 1954 « Le petit Arabe », dans la revue Arcadie, no 1.

    Oscar Wilde, écrivain irlandais. Après sa virée sexuelle à Tanger avec son giton André Gide, il proclamait que les pays musulmans sont un paradis pour les pédérastes et vantait les talents d’un certain adolescent marocain qui l’avait comblé.

    E. M. Forster, écrivain anglais. Travaillant pour la Croix-Rouge en Égypte en 1916, il tomba amoureux d’un jeune Égyptien de 17 ans, Mohammed el-Adl qui mourut prématurément en 1922.

    Joe Orton, écrivain anglais. Il séjourna en 1965 à Tanger

    William Burroughs, écrivain américain. Il parcourut l’Afrique du Nord, avant de séjourner à Tanger, au Maroc de 1954 à 1956.

    Paul Bowles, écrivain américain,. A 37ans, il s’installa au Maroc définitivement.

    Truman Capote, écrivain américain. Il séjourna à Tanger en 1949

    Allen Ginsberg, écrivain américain. Il séjourna à à Tanger en 1957

     

     Parmi les individus qui bougent encore, on note :

    Gabriel Matzneff, écrivain français pédophile assumé. Arabophile béat, il va jusqu’à dire après le 13 novembre 2015 : « On est accablé par la médiocrité petite-bourgeoise, l’insignifiance des propos tenus par les survivants de cette « génération Bataclan ! »

    Thierry Meyssan, activiste français d’extrême-droite complotiste. C’est un agent d’influence de l’Iran et de la Syrie baathiste.

    Thierry Schaffauser, prostitué français, co-fondateur du Strass (Syndicat du travail sexuel). Il publie le 03.08.2014, une pétition : « Gays pour une paix juste en Palestine, contre le racisme et l’islamophobie », contresignée entre autres par signé par « Rainbow Caucus France « (Union française des étudiant/e/s et diplômé/e/s queers et de leurs proches) ;

    Philippe de Saint-Robert, écrivain français gaulliste jurassique. Il fait partie du jury du prix Palestine-Mahmoud Hamchari.

     

    Des explications ont été tentées pour expliquer cette « disponibilité homosexuelle » dans le monde arabo-musulman, alors que la Charia est d’une férocité sans égale à l’encontre des « invertis ».

    Henri Marrou, historien des religions, affirmait en 1961 : « L’exclusion matérielle des femmes, tout effacement de celles-ci, entraînent toujours une offensive de l’amour masculin : qu’on pense à la société musulmane. ».

     

     



  • scylax 28 février 2016 21:46

    SUITE...

    Oscar Wilde, écrivain irlandais. Après sa virée sexuelle à Tanger avec son giton André Gide, il proclamait que les pays musulmans sont un paradis pour les pédérastes et vantait les talents d’un certain adolescent marocain qui l’avait comblé.

    E. M. Forster, écrivain anglais. Travaillant pour la Croix-Rouge en Égypte en 1916, il tomba amoureux d’un jeune Égyptien de 17 ans, Mohammed el-Adl qui mourut prématurément en 1922.

    Joe Orton, écrivain anglais. Il séjourna en 1965 à Tanger

    William Burroughs, écrivain américain. Il parcourut l’Afrique du Nord, avant de séjourner à Tanger, au Maroc de 1954 à 1956.

    Paul Bowles, écrivain américain,. A 37ans, il s’installa au Maroc définitivement.

    Truman Capote, écrivain américain. Il séjourna à Tanger en 1949

    Allen Ginsberg, écrivain américain. Il séjourna à à Tanger en 1957

    Parmi les individus encore vivants on note :

    Gabriel Matzneff, écrivain français pédophile assumé. Arabophile béat, il va jusqu’à dire après le 13 novembre 2015 : « On est accablé par la médiocrité petite-bourgeoise, l’insignifiance des propos tenus par les survivants de cette « génération Bataclan ! »

    Thierry Meyssan, activiste français d’extrême-droite complotiste. C’est un agent d’influence de l’Iran et de la Syrie baathiste.

    Thierry Schaffauser, prostitué français, co-fondateur du Strass (Syndicat du travail sexuel). Il publie le 03.08.2014, une pétition : « Gays pour une paix juste en Palestine, contre le racisme et l’islamophobie », contresignée entre autres par signé par « Rainbow Caucus France « (Union française des étudiant/e/s et diplômé/e/s queers et de leurs proches) ;

    Philippe de Saint-Robert, écrivain français gaulliste jurassique. Il fait partie du jury du prix Palestine-Mahmoud Hamchari.

    Des explications ont été tentées pour expliquer cette « disponibilité homosexuelle » dans le monde arabo-musulman, alors que la Charia est d’une férocité sans égale à l’encontre des « invertis ».

    Henri Marrou, historien des religions, affirmait en 1961 : « L’exclusion matérielle des femmes, tout effacement de celles-ci, entraînent toujours une offensive de l’amour masculin : qu’on pense à la société musulmane. ».

    Déjà au XIVe siècle, le Dominicain Guillaume Adam, qui avait voyagé en pays d’Islam, s’écriait : « Ces Sarrasins, oubliant la dignité humaine, vont jusqu’à vivre entre hommes comme chez nous on vit entre hommes et femmes ».

    En 1853, Edouard Duchesne, dans son étude sur la prostitution à Alger, observe que l’homosexualité était « rampante » (sic) dans la société indigène. Il remarque que les femmes algériennes sont « couvertes et enfermées », et que les Arabes « se laissent tenter par la beauté remarquable de presque tous les jeunes gens. Ces belles têtes se montrent à nu par les rues, dans les bazars et les promenades publiques, tandis qu’on ne voit à côté d’eux que des femmes dont les yeux seuls sont apparents ».

    Tout récemment, nous avons appris que le dénommé Salah Abdeslam, co-auteur en fuite des attentats du 13 novembre 2015, est probablement membre de la confrérie. Plusieurs médias européens (The Sunday Times, La Libre, Paris Match Belgique) ont relayé une information quasiment passée sous silence par les médias français, à savoir que Salah Abdeslam était connu à Bruxelles pour sa fréquentation régulière des bars homosexuels. « C’était un jeune prostitué, il trainait toujours avec ce genre de personnes », a expliqué au journal britannique un barman d’un de ces établissements.

     


  • scylax 28 février 2016 21:45

    ’suite...)

    Oscar Wilde, écrivain irlandais. Après sa virée sexuelle à Tanger avec son giton André Gide, il proclamait que les pays musulmans sont un paradis pour les pédérastes et vantait les talents d’un certain adolescent marocain qui l’avait comblé.

    E. M. Forster, écrivain anglais. Travaillant pour la Croix-Rouge en Égypte en 1916, il tomba amoureux d’un jeune Égyptien de 17 ans, Mohammed el-Adl qui mourut prématurément en 1922.

    Joe Orton, écrivain anglais. Il séjourna en 1965 à Tanger

    William Burroughs, écrivain américain. Il parcourut l’Afrique du Nord, avant de séjourner à Tanger, au Maroc de 1954 à 1956.

    Paul Bowles, écrivain américain,. A 37ans, il s’installa au Maroc définitivement.

    Truman Capote, écrivain américain. Il séjourna à Tanger en 1949

    Allen Ginsberg, écrivain américain. Il séjourna à à Tanger en 1957

    Parmi les individus encore vivants on note :

    Gabriel Matzneff, écrivain français pédophile assumé. Arabophile béat, il va jusqu’à dire après le 13 novembre 2015 : « On est accablé par la médiocrité petite-bourgeoise, l’insignifiance des propos tenus par les survivants de cette « génération Bataclan ! »

    Thierry Meyssan, activiste français d’extrême-droite complotiste. C’est un agent d’influence de l’Iran et de la Syrie baathiste.

    Thierry Schaffauser, prostitué français, co-fondateur du Strass (Syndicat du travail sexuel). Il publie le 03.08.2014, une pétition : « Gays pour une paix juste en Palestine, contre le racisme et l’islamophobie », contresignée entre autres par signé par « Rainbow Caucus France « (Union française des étudiant/e/s et diplômé/e/s queers et de leurs proches) ;

    Philippe de Saint-Robert, écrivain français gaulliste jurassique. Il fait partie du jury du prix Palestine-Mahmoud Hamchari.

    Des explications ont été tentées pour expliquer cette « disponibilité homosexuelle » dans le monde arabo-musulman, alors que la Charia est d’une férocité sans égale à l’encontre des « invertis ».

    Henri Marrou, historien des religions, affirmait en 1961 : « L’exclusion matérielle des femmes, tout effacement de celles-ci, entraînent toujours une offensive de l’amour masculin : qu’on pense à la société musulmane. ».

    Déjà au XIVe siècle, le Dominicain Guillaume Adam, qui avait voyagé en pays d’Islam, s’écriait : « Ces Sarrasins, oubliant la dignité humaine, vont jusqu’à vivre entre hommes comme chez nous on vit entre hommes et femmes ».

    En 1853, Edouard Duchesne, dans son étude sur la prostitution à Alger, observe que l’homosexualité était « rampante » (sic) dans la société indigène. Il remarque que les femmes algériennes sont « couvertes et enfermées », et que les Arabes « se laissent tenter par la beauté remarquable de presque tous les jeunes gens. Ces belles têtes se montrent à nu par les rues, dans les bazars et les promenades publiques, tandis qu’on ne voit à côté d’eux que des femmes dont les yeux seuls sont apparents ».

    Tout récemment, nous avons appris que le dénommé Salah Abdeslam, co-auteur en fuite des attentats du 13 novembre 2015, est probablement membre de la confrérie. Plusieurs médias européens (The Sunday Times, La Libre, Paris Match Belgique) ont relayé une information quasiment passée sous silence par les médias français, à savoir que Salah Abdeslam était connu à Bruxelles pour sa fréquentation régulière des bars homosexuels. « C’était un jeune prostitué, il trainait toujours avec ce genre de personnes », a expliqué au journal britannique un barman d’un de ces établissements.

     


  • scylax 28 février 2016 21:44

    De ce côté de la Méditerranée on a un wagon de préjugés sur l’Islam. Prenons le cas de l’orientation sexuelle.

    A Paris, jusqu’aux années 1950, des bars fréquentés par les « sidis » aux « bains maures », aux vespasiennes de la porte de la Chapelle et aux bals de Montmartre ou de la Montagne Sainte-Geneviève, la cartographie de la scène homosexuelle recouvrait alors, en grande partie, celle de l’immigration maghrébine.

    Quant à Tanger, ville marocaine à statut international, dans les années 1950, elle était qualifiée de métropole mondiale de l’homosexualité.

    On se souvient de ce manifeste provocateur du Front homosexuel d’Action révolutionnaire (FAHR) qui proclamait : « Nous sommes plus de 343 salopes. Nous nous sommes faits enculer par des Arabes. Nous en sommes fiers et nous recommencerons. » (Tout, n°12, le 25 avril 1971).

    Et c’est une banalité de dire que les homosexuels masculins sont très nombreux dans les milieux politiques pro-arabes et autres intellectuels à divers titres fascinés par le monde arabo-musulman.

    Commençons par ceux qui nous ont quitté.

    Pierre Loti, écrivain français. Son premier roman « Azadié » avait pour thème une histoire d’amour dans le cadre exotique de la Turquie de 1876-1877 entre un officier de marine européen et une jeune femme du harem d’un riche vieillard. Pas dupes, les frères Goncourt évoquaient Loti en disant de lui : « Cet auteur, dont l’amante, dans son premier roman est un monsieur ».

    Ernest Psichari, lieutenant français. Il séjourna trois ans en Mauritanie, où il exprima son admiration pour le corps des jeunes Maures, comme celui de Mohammed, « souple et mince comme un jeune palmier ».

    André Gide, écrivain français, compagnon de tourisme sexuel d’Oscar Wilde à Tanger.

    Lawrence d’Arabie, aventurier anglais et promoteur d’une unité arabe sous les Hachémites.

    Hubert Lyautey, maréchal de France, gouverneur du Maroc.

    Louis Massignon,. grand arabisant et islamologue français.

    Jacques Benoist-Méchin, historien français et politicien vichyste. Il était proche de plusieurs chefs d’Etat arabes. Il a été notamment invité à un anniversaire d’Hassan II.

    Henri de Montherlant, écrivain d’extrême-droite. Ses pérégrinations autour de la Méditerranée l’ont amené au Maghreb, où il s’est installé pendant deux périodes , respectivement à Alger et à Tunis. Dans ”La Rose de sable” , il exprime sa pitié pour “ nos indigènes musulmans, sans armes, sans presse, sans puissance civique ni politique ” et affirme dans “ Pour le chant profond ”, ”combien les Français leur sont inférieurs”.

    Daniel Guérin, militant libertaire. Il disait qu’après la Seconde Guerre mondiale, les Algériens immigrés offraient une disponibilité sexuelle que n’avaient plus les ouvriers français. Au lendemain de l’Indépendance algérienne, il effectua plusieurs voyages en Algérie.

    Jean Genet, écrivain pro-palestinien obsessionnel, sanctifié par Sartre. Il disait « Il est naturel que cette piraterie, le banditisme le plus fou qu’était l’Allemagne hitlérienne provoque la haine des braves gens, mais en moi l’admiration profonde et la sympathie ». En 1982, il écrivit « Quatre heures à Chatila », ode à la Palestinitude.

    Roger Peyrefitte, écrivain français pédophile. Il publia en 1954 « Le petit Arabe », dans la revue Arcadie, no 1.




  • scylax 7 février 2016 20:58

    Et dire que cet auteur est normalien...

    Il est vrai qu’il est aussi énarque : ça explique tout.


  • scylax 7 février 2016 19:54

    Bien sûr que l’on nous donne une image d’un Islam rétrograde. Et pourtant, prenons l’exemple de l’homosexualité.

    A Paris, jusqu’aux années 1950, des bars fréquentés par les « sidis » aux bains maures , des vespasiennes de la porte de la Chapelle aux bals de Montmartre ou de la Montagne Sainte-Geneviève, la cartographie de la scène homosexuelle recouvrait alors, en grande partie, celle de l’immigration maghrébine. 

    Quant à Tanger, ville marocaine à statut international, dans les années 1950, elle était qualifiée de métropole mondiale de l’homosexualité.

    Et c’est une banalité de dire que les homosexuels masculins sont très nombreux dans les milieux politiques pro-arabes et autres intellectuels fascinés à divers titres par le monde arabo-musulman. Commençons par ceux qui nous ont quitté.

     

    Pierre Loti,  écrivain français. Les frères Goncourt évoquaient Loti en disant de lui : « Cet auteur, dont l’amante, dans son premier roman est un monsieur ».

    Ernest Psichari,  lieutenant français. Il séjourna trois ans en Mauritanie, où il exprima son admiration pour le corps des jeunes Maures, comme celui de Mohammed, « souple et mince comme un jeune palmier ».

    André Gide,  écrivain français, compagnon de voyage d’Oscar Wilde, notamment à Tanger.

    Lawrence d’Arabie, aventurier anglais et promoteur d’une unité arabe sous les Hachémites.

    Hubert Lyautey, maréchal de France, gouverneur du Maroc. 

    Louis Massignon,. grand arabisant et islamologue français.

    Jacques Benoist-Méchin, historien français et politicien vichyste, proche de plusieurs chefs d’Etat arabes. Il a été invité à un anniversaire d’Hassan II.

    Henri de Montherlant,  écrivain d’extrême-droite. Ses pérégrinations autour de la Méditerranée l’ont amené à Alger et à Tunis. Dans « La Rose de sable ,. Il exprime sa pitié pour “ nos indigènes musulmans, sans armes, sans presse, sans puissance civique ni politique ”.

    Daniel Guérin, militant libertaire. Il disait qu’après la Seconde Guerre mondiale, les Algériens immigrés offraient une disponibilité sexuelle que n’avaient plus les ouvriers français. 

    Jean Genet, écrivain pro-palestinien obsessionnel, sacralisé par Sartre. En 1982, il écrivit « Quatre heures à Chatila », ode à la Palestine.

    Roger Peyrefitte,  écrivain français pédophile. Il publia en 1954 « Le petit Arabe », dans la revue Arcadie, no 1.

    Oscar Wilde, écrivain irlandais. Après sa virée sexuelle à Tanger avec son giton André Gide, il proclamait que les pays musulmans sont un paradis pour les pédérastes et vantait les talents d’un certain adolescent marocain qui l’avait comblé.

    E. M. Forster,  écrivain anglais. Travaillant pour la Croix-Rouge en Égypte en 1916, il tomba amoureux d’un jeune Égyptien de 17 ans, Mohammed el-Adl, qui mourut prématurément en 1922. 

    Joe Orton,  écrivain anglais. Il séjourna en 1965 à Tanger

    William Burroughs,  écrivain américain. Il parcourut l’Afrique du Nord, avant de séjourner à Tanger, au Maroc de 1954 à 1956. 

    Paul Bowles, écrivain américain,. A 37ans, il s’installa au Maroc définitivement. 

    Truman Capote,  écrivain américain. Il séjourna à Tanger en 1949

    Allen Ginsberg, écrivain américain. Il séjourna à à Tanger en 1957

     

    Parmi les individus encore vivants on note :

    Gabriel Matzneff,  écrivain français pédophile assumé. Il va jusqu’à dire après le 13 novembre 2015 : « On est accablé par la médiocrité petite-bourgeoise, l’insignifiance des propos tenus par les survivants de cette « génération Bataclan ! »

    Thierry Meyssan, activiste français d’extrême-droite complotiste. C’est un agent d’influence de l’Iran et de la Syrie baathiste.

    Thierry Schaffauser, prostitué français, co-fondateur du Strass (Syndicat du travail sexuel). Il publie le 03.08.2014, une pétition : « Gays pour une paix juste en Palestine, contre le racisme et l’islamophobie ».

    Philippe de Saint-Robert,  écrivain français gaulliste jurassique. Il fait partie du jury du prix Palestine-Mahmoud Hamchari.

     




  • scylax 1er octobre 2015 13:37

    @Saltz
    Ca fait un mois que je propose chaque jour cet article.

    Refus !

    Pensez en ce que vous voulez. Ce site est justement tenu par ces « dissidents » de mes deux...


  • scylax 1er octobre 2015 11:16

    2) Le bobo dissident, version cadre parvenu, vise la réussite, cultive l’esbrouffe. C’est un cynique par excellence, bien conscient qu’il est privilégié mais qu’il a surtout eu beaucoup de « chance », les magouilles et les réseaux aidant. En gros, il a digéré les mécanismes de la société de consommation... et d’internet : slasheur, il sait ce qui convient aux barbus mais préfère se raser. Grâce aux réseaux sociaux de type coach surfing, dans le passage obligé de sa carrière internationale, il a surmonté sa solitude et rencontré des « expats » de diverses nationalités, avec lesquels il part faire du rafting ou jouer au bowling dans les malls, en évitant soigneusement les spécialités culinaires locales. Tous les espaces lui sont ouverts, à condition de déployer un savoir-être en contexte. Il s’agit de se plier aux règles tacites ou explicites propres à chaque lieu : savoir séduire en anglais ses partenaires chinois de paint-ball, parler avec autorité de sujets qu’il ne maîtrise pas (à peu près tous, sa formation professionnalisante pourtant de haut niveau ayant oblitéré toute imprégnation culturelle). Il a des milliers de followers Instagram, mais n’a presque pas d’abonnés sur Twitter. Il évite les tatouages (un move plutôt risqué). Il a été “dans la banque” et prononce bizarrement le mot “finance”. Il achète le Monde, mais ne le lit pas vraiment. Jeune adulte, il lisait encore Pif Gadget.

    Issu d’un milieu modeste, le bobo cadre parvenu a milité aux Jeunesses communistes ou à Luute ouvrière, acquérant ainsi un vision totalisante qu’il va conserver même après la fameuse crise de la quarantaine quand il passera l’arme à droite. Parfois à l’extrême-droite jurassique, ou chez les nazbols de Soral. Mais plutôt dans le « souverainisme » bourgeois de réminiscence gaulliste à la Dupont-Aignant, qui est plus présentable. Il préfère curieusement toujours le lointain au proche. Le Russe au Polonais, l’Arabe (le panarabisme syrien) à l’Israëlien, Cuba aux Etats-Unis, les autres continents à l’Europe. Il est plutôt indifférent aux débats sociétaux, mais se veut « moderne », dans le sens de l’histoire, ayant coupé le cordon ombilical avec la vraie culture populaire du « sens commun » comme disait Orwell. Par réflexe pavlovien, il crie sans cesse France, République, Souveraineté, en sautant comme un cabri, alors qu’il n’a pas la plus petite idée de l’héritage historique de notre nation, et n’est jamais entré dans une église ou sur un site archéologique. Le parvenu, aussi aisé soit-il financièrement, est un déraciné hors-sol, pur produit de la débâcle de l’enseignement de la famille. Il est le vecteur privilégié des théories complotistes. Il ne croit pas au 11 septembre ou plus généralement aux attentats en France. Il écrit est souvent la proie de sectes de type larouchien. Il lit le Monde Dipomatique, soutient la démocratie dite « directe ». Il soutient par droitdelhommisme abstrait la liberté totale d’expression, soutient Dieudonné. Il estime représenter le Camp de la Morale et des colonisés sur le plan diplomatique, le Camp du Bien contre l’impérialisme américo-sioniste, la Bien-pensance contre le cynisme des gouvernements anti-démocratiques (ah, ce referendum de 2005 !). Une sorte de conformiste béat et narcissique sous un vernis de révolte de nouveau riche.

     

    De fait, le paradigme est le suivant. Deux couches sociales (sociotypes) participent de la Dissidence bobo. D’une part, ce que Régis Debray a appelé la « Basse intelligentsia » (les hipsters anglo-saxons) relativement cultivée et médiocrement rémunérée, majoritairement de gauche radicale dont le moteur de leur dissidence est le ressentiment des frustrés de ne pas être reconnus et bien payés (Brétécher l’avait bien pointé). D’autre part, les cadres parvenus (les yuppies anglo-saxons) peu cultivés et très bien rémunérés, majoritairement de droite radicale, dont le moteur de leur dissidence vient de leur frustration de n’être pas intégrables dans la vraie bourgeoisie. Rappelons que tous les bobos ne rentrent pas dans ces deux sociotypes puisque je me suis borné aux versions « dissidentes ».

    Quand on analyse les mouvements révolutionnaires du XXe siècle, on constate que les avant-gardes bolchéviks et nazi-fascistes étaient le produit de la fusion de ces deux couches, dans les limbes à l’époque et beaucoup moins nombreuses et influentes qu’aujourd’hui. Or actuellement, on peut observer des prodromes de conjonction intellectuelle, voire politique, entre ces deux Dissidences bobos. Les mêmes causes conduisant aux mêmes conséquences, tout est à craindre.

     




  • scylax 1er octobre 2015 11:15

    Interrogeons-nous sur le phénomène de l’ainsi nommée « Dissidence » à la française, portée par une fraction grandissante des bobos. Il existe deux types bien caractérisés de Bobos dissidents à ne pas confondre, même si l’on observe des convergences de plus en plus évidentes.

     

    Le concept de bobos (bourgeois-bohèmes) a été popularisé par l’essayiste américain David Brooks dans un livre paru en 2000, « Bobos au Paradis ». Philippe Muray parlait d’Homo festivus : « Festivus festivus existe, je l’ai rencontré, vous aussi. On les a appelés élites urbaines. Ou bourgeois-bohèmes ». (Festivus festivus, 2005). En fait, l’expression « bourgeois-bohème » a été créée par Claire Bretécher dans le tome 3 de la bande dessinée « Les Frustrés », publié en 1978. Contrairement à l’usage polémique qui en est fait, le terme ne désigne nullement une idéologie politique univoque qualifiée de « socio-libérale » (?) et intégrée au « système ». Il s’agit en fait d’un statut social regroupant deux sociotypes très différents professionnellement et politiquement. Ils sont néanmoins très difficiles à différencier au premier abord, jusque dans l’accoutrement. A la terrasse d’un café, on repère le bobo. Est-il du genre cadre parvenu ou du genre socio-éducatif (lire ci-dessous) ? Et puis est-il « intégré » ou « dissident » ? Nous allons nous borner à la sphère dissidente qui affecte les deux sociotypes.

     

    1) Le bobo dissident version socio-éducatif se caractérise par une aisance matérielle médiocre et une forte dose d’individualisme, mais aussi par un souci éthique affiché. Il exerce dans les professions sociales et enseignantes, ou dans des métiers créatifs (chercheurs, artistes). Régis Debray les a caractérisés comme « basse intelligentsia » en référence au bas-clergé d’Ancien Régime, sorte de semi-intellectuels en opposition avec les authentiques intellectuels de haut vol. Les bobos dissidents socio-éducatifs constituent une partie de la population pour qui le capital culturel (assez élevé) à plus d’importance que le capital économique (médiocre). Raisonnablement diplômé, ils se vivent comme injustement traités (et rémunérés) en comparaison des cadres industriels et financiers traditionnels, s’estiment supérieurs moralement car désintéressés, et manifestent un syndrome obsidional de « raté ». Leur principale force est d’être en phase avec la société telle qu’elle évolue spontanément, avec les rapports sociaux fondés sur la communication. Ils sont paradoxalement à la fois hédonistes et altruistes. Ils sont de fervents adeptes de l’école publique, de l’audiovisuel public, des transports publics, des hôpitaux publics, du théâtre public. A Paris, il vont au cinéma voir les films français (psychologisants). Dans les transports en commun, ils lisent des Prix Goncourt écrits avec compassion pour ceux qui souffrent, ou des romans d’autofiction dépeignant une femme libérée se masturbant compulsivement. Ils sont très concernés par les menaces de la mondialisation, le réchauffement climatique global, la brevetabilité du vivant, ou les dangers des OGM. Ils signent des pétitions contre les mauvais traitements infligées aux animaux, aux Gazaouis, aux femmes afghanes et contre les interventions américaines où qu’elles soient. Ils habitent un appartement exigu à Paris ou en proche banlieue. Ils adorent les journées sans voiture, la fête de la musique et la Gay-Pride. Ils voudraient vivre dans un monde plus festif où l’individu est à la fois déchaîné (au sens étymologique) et pris en charge par la collectivité, car ils détestent l’entreprise privée par principe.

     

    Le bobo dissident socio-éducatif est bien entendu affilié au Front de Gauche, au NPA ou chez les Verts, plus rarement chez Soral (mais ça progresse, en même temps que l’antijudaïsme). Il méprise les « beaufs » sans les connaître vraiment. C’est un peu en touriste qu’il prône la mixité ethnique, car il se garde bien de la vivre au quotidien. Ses enfants sont scolarisés dans les meilleurs établissements publics des métropoles, où l’on pratique au moyen de tuyaux appropriés, la préférence nationale, voire la préférence de classe, tout en étant en paroles contre la sélection scolaire. Il est foncièrement social-libertaire, et affectionne les idées provocatrices dites « progressistes ». Il est contre les prisons, pour les théories du « genre », ouvert à toutes les expériences pourvu qu’elles ne remettent pas en cause son confort. A priori hostile aux frontières, il en érige par ses propres moyens pour lui-même : il peut habiter dans un loft avec plusieurs codes d’entrée, tout en continuant à tenir un discours en faveur des bienfaits de l’immigration.