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Les commentaires de ZEN



  • ZEN ZEN 16 décembre 2017 12:48

    @velosolex

    Salut 
    Ah ! Ah ! Les chaussettes...On n’en a jamais assez.
    Mon épouse refuse de les repriser, contrairement à ma grand mère
    Hop ! à la poubelle... smiley
    S’il n’y avait que Bleu Forêt (fabrication vosgienne), où irait-on sans la Chine, je vous le demande ?


  • ZEN ZEN 16 décembre 2017 11:57

    @CN46400

    Merci pour ce lien.


  • ZEN ZEN 4 décembre 2017 16:03
     ....j’ai l’impression de ressentir des gratouillis...

    Ça vous chatouille ou ça vous gratouille ?


  • ZEN ZEN 1er décembre 2017 13:52

    @Attila


    Tout à fait. Le glyphosate est aussi inoffensif que l’était Attali, pardon, Attila...


  • ZEN ZEN 1er décembre 2017 12:23

     ....un changement de vision du monde aussi radical que celui propulsé par la Modernité après Descartes, Galilée, Newton et Darwin.


    J’en suis baba... smiley


  • ZEN ZEN 1er décembre 2017 10:48

    ...ainsi que le glyphosate d’ailleurs...



  • ZEN ZEN 1er décembre 2017 10:46

    Bonjour,


     C’est ma revanche de cancre ....
    Les cancres sont parfois intéressants.
    Je signale aux chers zauditeurs que j’ai moi aussi arrêté les statines


  • ZEN ZEN 30 novembre 2017 11:31

    @Fergus

    Cela ne fait plus tellement débat après les aveux US eux-mêmes, notamment :
    Dans ses mémoires, l’amiraLeahy, chef d’état-major particulier des présidents Roosevelt puis Truman, expliquait :
       « Les Japonais étaient déjà vaincus et prêts à se rendre. (...) L’utilisation à Hiroshima et à Nagasaki de cette arme barbare ne nous a pas aidés à remporter la guerre. (...) En étant le premier pays à utiliser la bombe atomique, nous avons adopté (...) la règle éthique des barbares. »
     Quant au général
     Eisenhower, qui dénonça plus tard les dangers du complexe militaro-industriel, il écrivait lui aussi dans ses Mémoires : « À ce moment précis [août 1945], le Japon cherchait le moyen de capituler en sauvant un peu la face. (...) Il n’était pas nécessaire de frapper avec cette chose horrible. »


  • ZEN ZEN 30 novembre 2017 10:31

    Bonjour,


    Accompagné par des Navajos lors d’un circuit à Monument Valley et autour, j’en garde un bon souvenir.
    Hiroshima et Nagazaki : des opérations inutiles....


  • ZEN ZEN 24 novembre 2017 16:57

    @eddofr

    J’ai tout compris, merci ! smiley


  • ZEN ZEN 24 novembre 2017 10:22

    Bonjour,

    Mon papier était surtout, pour ceux qui l’ont lu jusqu’au bout, un exercice humoristico-critique, un jeu de métaphore sur certains aveuglements et myopies économiques et politiques...



  • ZEN ZEN 21 novembre 2017 20:14

    @velosolex

    Il faudrait donc un retour du politique. L’économie au service de la politique, et non le contraire
    Tout est dit.



  • ZEN ZEN 21 novembre 2017 17:31

    Bonjour, 

    Il s’agit bien sûr de contre-utopies nés dans le cerveau de certains cinglés de la Silicon Valley, qui sont déjà en régime de haute concentration, mais qui expriment une tendance montante consistant à s’échapper des règles communes et de favoriser encore plus les privilèges par concentration territoriale.
    Dans le 16° arrondissement, la Villa Montmorency en est une expression, comme la commune de Bondues dans le Nord, où la pointe Nord de la Sardaigne, par exemple.
    La tendance à vivre en vase clos, en quartiers privés, avec gardes armés et défenses électroniques en tous genres n’est plus une utopie...
    Une île symbolique, mais un île quand même...


  • ZEN ZEN 21 novembre 2017 14:15

    @velosolex

    Bien sûr, il faut être nuancé, notamment en faisant l’histoire de la Grèce depuis son autonomie par rapport à l’empire ottoman et du rapport particulier avec l’Etat en cette période, des ruines laissées par la 2de guerre mondiale, la terrible guerre civile qui a suivi, de la période désastreuse des colonels, etc...
    La Grèce revient de loin. Mais qui a eu l’idée de la faire entrer dans l’UE ? Giscard, avec « l’aide technique » de Goldman Sachs...
    Je vous livre ces propos : 
    .             Ce fut à l’évidence une erreur grossière, induite par une fraude qui ne l’était pas moins, d’admettre la Grèce dans la zone euro (lire ici). Ce fut très probablement une faute de l’y maintenir en 2010, la facture sociale à payer étant disproportionnée. Mais il ne s’agissait évidemment pas de « sauver la Grèce » et son peuple mais avant tout les banques européennes, notamment allemandes et françaisesLe temps, ce puissant analgésique, a-t-il changé les données du problème ? Autrement dit, la mauvaise décision d’hier peut-elle être la bonne réponse aujourd’hui et à quelles conditions ? 
    Paradoxalement, compte tenu des sacrifices supportés depuis quatre ans et des maigres résultats économiques engrangés, le niveau d’adhésion à la monnaie unique dans la population de la République hellénique (73 %) est un des plus élevés en Europe. Syriza, le parti de la « gauche radicale », dont le chef Alexis Tsipras pourrait conduire un gouvernement de coalition après les élections anticipées du 25 janvier prochain, vient de réaffirmer sa volonté de maintenir le pays dans la zone euro. Est-ce bien raisonnable ?
     D’abord, un constat. Alors que l’Irlande et le Portugal, les deux autres pays de la « périphérie de la zone euro » placés sous « intervention » au début de la crise des dettes souveraines (Chypre y tombera plus tard), ont retrouvé leur « autonomie » (avec l’appui de la BCE et sous surveillance des marchés financiers), la Grèce reste sous le régime de la Troïka UE-FMI-BCE et la levée d’écrou a été différée au-delà des prochaines élections.
     Ensuite, un rappel. Si la dette souveraine domine le débat, elle n’était pas et n’est toujours pas (nous y reviendrons) au centre de la problématique des pays « périphériques ». Leur crise était avant tout un problème de balance des comptes courants, masqué par le filet de protection étendu par l’appartenance à la monnaie unique. Sans l’euro, qui avait plongé dans une douce somnolence les « vigiles » du marché obligataire, ces pays n’auraient pas pu accumuler, dix années durant, des déficits commerciaux de l’ordre de 10 % de leur PIB, alimentés par des niveaux de consommation et d’investissements financés à bon compte en vertu du « jeu de la convergence », vers le bas, des taux d’intérêt. Accessoirement, des classes politiques irresponsables, clientélistes et corrompues n’auraient pas pu gaspiller l’argent public comme s’il n’y avait pas de lendemain.
     L’existence de la monnaie unique interdisant le recours à la dévaluation externe pour régler un problème qualifié grossièrement de « compétitivité », il fallait donc conduire une « dévaluation interne », provoquée par une baisse du coût des facteurs de production, et notamment du coût du travail. Élémentaire, mon cher Watson ! Élémentaire mais faux. Dans le cas de la Grèce, cette « stratégie » a été poussée à l’extrême sous la houlette de la Troïka. Sans produire les résultats escomptés, c’est-à-dire une amélioration visible de la performance du pays à l’export.
    « Réduire les salaires dans le secteur privé a très peu contribué à améliorer la compétitivité de l’économie grecque parce que cela n’a jamais été le vrai problème », analysait récemment l’économiste Theodore Pelagidis« Le facteur principal qui a bridé la compétitivité de l’économie privée se trouvait plutôt dans l’existence de règles dictées par la rente au service de structures d’oligopole sur les marchés de produit, de rentes étouffant la création concurrentielle et augmentant le coût de l’introduction d’innovations dans la production et les chaînes d’approvisionnement, toutes choses qui favoriseraient l’évolution d’écosystèmes productifs et le progrès de l’innovation fondée sur la recherche. »
    Et d’ajouter : « En dernière analyse, l’échec de la dévaluation interne dans l’amélioration de la performance de la Grèce à l’export résulte de l’accroissement des coûts et de l’imposition de nouveaux risques et de charges nouvelles sur l’économie productive qui ont annulé les éventuels gains de compétitivité provoqués par la baisse des coûts salariaux... »


  • ZEN ZEN 21 novembre 2017 11:21

    @Fergus
    Bonjour,

    L’ applaudimètre de Allo Ciné n’est pas toujours un critère sûr.
    Comme toujours, je suis réticent à aller voire un film transposé d’un roman.
    Celui-là m’a tellement pris aux tripes, que j’hésite à aller voir une adaptation filmée qui en dénaturerait la richesse.. J’ai souvent été déçu par de telles expériences.


  • ZEN ZEN 21 novembre 2017 10:41

    Une oeuvre polyphonique et stimulante, bien propre aussi à susciter la discussion critique, notamment sur des sujets comme la notion de culpabilité, l’image de la psychanalyse, la philosophie anglo-saxonne, etc...
    Il y a peu de domaines qu’il n’ait abordés.

    Ses premiers intérêts : Etienne Marcel, Gadamer, etc...sont d’un intérêt mineur et à mes yeux trop marqués par une problématique chrétienne.


  • ZEN ZEN 21 novembre 2017 10:17

    @JL


    Bonjour, 
    Merci pour ce lien que je suis en train d’analyser.



  • ZEN ZEN 20 novembre 2017 19:01

    Une référence instrumentalisée ?...



  • ZEN ZEN 20 novembre 2017 18:47

    Bonjour,

    J’ai suivi quelques cours de Paul Ricoeur dans,les années 70
    J’ai apprécié ses cours rigoureux sur la pensée de Platon, Freud, Husserl.
    Ses champs d’instigation et ses centre d’intérêts étaient immenses.
    Ses engagements protestants restaient toujours en retrait et ne gênaient pas un athée comme moi.. Il ne mélangeait pas les genres, et acceptait la discussion sur certaines de ses options phénoménologiques.
     Je n’ai pas rencontre le petit Macron ni à la Sorbonne ni à Nanterre.....
    Cette revendication proclamée n’aurait sans doute pas plu au modeste Ricoeur.
    Je me demande quelles circonstances ont fait se rencontrer et collaborer brièvement les deux hommes.


  • ZEN ZEN 20 novembre 2017 13:12

    Bonjour, 


    Curiosité ?