@jjwaDal "De mémoire, il faut 1 GW embarqué pour déplacer un
objet de quelques tonnes en mode MHD dans l’air, difficile à imaginer
pour un si petit réacteur embarqué sur missile.«
Non, non, justement. Jean-Pierre Petit en parle dès 2002 dans sa conférence. Les armes dont il serait question ne seraient pas des engins MHD purs (pour cela il faudrait sûrement la puissance embarquée d’un mini-réacteur à fusion destiné à produire et à maintenir en permanence le plasma). Il s’agirait d’un système hybride. Le missile atteint les hautes couches de l’atmosphère en propulsion hypersonique classique style statoréacteur. Une fois qu’il a une vitesse suffisante une trappe s’ouvre à l’avant. Elle est recouverte d’électrodes et c’est la vitesse de l’air à plusieurs milliers de km/h qui produit temporairement des quantités gigantesques d’électricité qui serviront à créer le plasma à ionisation inverse de la coque du missile. On rentre alors en propulsion MHD (Mach 10 ou Mach 20), mais le missile prend de l’altitude et l’air se raréfie, les frottements baissent et la MHD s’arrête. L’engin retombe alors sur des couches plus basses où il pourra entrer de nouveau en mode en MHD. Si tu veux, ça ressemble au mouvement d’un galet qui rebondi sur l’eau, ou un galet qui planerait.
Mais le plus intéressant, c’est qu’il me semble que Poutine lui-même a employé le mot »planer" dans son discours pour décrire les caractéristiques de vol.
C’est vrai que le gouvernement veut casser ce qui reste d’égalitarisme et de méritocratie en France. Mais il est aussi tout à fait exact que les professeurs du secondaire (attention, pris comme groupe sociologique) ont une grande part de responsabilité dans ce qui arrive. Les profs aujourd’hui, et depuis 20 ans, c’est le gauchisme à l’oeuvre, qui, comme chacun le sait, est le meilleur ami du grand capital.
Entre diversité, vivre ensemble (heu, enfin on met quand même ses enfants dans les établissements bien blanc n’est-ce-pas, avec option latin et allemand pour surtout ne pas prendre de risques), abaissement du niveau, prise de position idéologique incongrue (appel à manifester contre Lepen en 2002 sachant que le FN devient, à l’insu de son plein gré, le seul parti réellement révolutionnaire), programmes bidons (je vois déjà d’ici les profs bobos se palucher en pensant qu’ils allaient enseigner l’histoire du glorieux empire du Mali), nullité de l’enseignement (n’est-ce pas messieurs les profs de langue) et mauvais gout complet (parler à un prof du secondaire de Michel Sardou, vous verrez sa réaction), la fin était prévisible.