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Agor&Acri

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A coeur et à cris c’est, entre autre, le titre d’une biographie de Coluche.
Agor(avox) et Acri(med) sont 2 sites qui redonnent la liberté de parole aux citoyens.
La manipulation de l’information et la propagande à grande échelle que nous font subir les « Grands Media » est indigne d’une démocratie.
J’interpelle les politiques, les media et mes concitoyens pour combattre le totalitarisme ambiant.

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  • Agor&Acri Agor&Acri 22 février 2010 12:36

    Vous avez raison Denis,

    je suis partiellement hors sujet
    et vous prie de m’en excuser.

    Partiellement seulement, parce que les dérives s’insinuent souvent par la petite porte.
    Je ne prétend pas que cela correspond à votre état d’esprit, j’ai simplement généralisé le risque de dérive.

    On instaure le vote électronique au sein des partis politiques puis, une fois qu’il fait parti du paysage, on peut l’étendre à d’autre types d’élections.

    C’est comme cela, par petites touches successives, que progresse le totalitarisme.

    Et c’est comme ça, par exemple, qu’on se retrouve dans un aéroport à devoir quitter ses chaussures ou à être fouillé...ou maintenant, à se soumettre à un scanner corporel intégral
    ...et bientôt à être interdit de voyage si on a refusé de se faire implanter une puce RFID.

    Je préfèrerais mille fois une réflexion visant à permettre de sanctionner durement et, si nécessaire, à mettre hors jeu, des représentants politiques tricheurs, menteurs, manipulateurs, plutôt qu’une démarche permettant à plus de votants de s’exprimer, via le vote électronique.

    = Changer les comportements dans les partis politiques pourrait s’obtenir en ciblant ceux qui ne jouent pas un jeu honnête, et non pas ceux qui sont exposés à ceux qui ne jouent pas un jeu honnête.

    C’est en cela qu’une analyse débouchant sur les possibles bienfaits du vote électronique m’a dérangé.



  • Agor&Acri Agor&Acri 22 février 2010 11:29

    bjr,

    il y a des choses intéressantes dans le développement du sujet.

    Mais, à titre personnel, je bloque sur le dernier paragraphe (intérêt du vote électronique)
    dont je perçois mal le rapport avec ce qui précède
    et sur lequel j’émettrais de très lourdes réserves.

    L’auteur dit :
    "C’est une piste extrêmement intéressante dont il nous reste toutefois à fixer les conditions techniques de son utilisation afin de garantir la sincérité du vote« .

    Or, le vote électronique impliquerait une opacité maximum et la création d’une véritable »boite noire« .
    Parce que, au prétexte (sincère ou non) d’éviter tout risque de piratage, de triche, de sabotage, etc...
    il faudrait hyper-protéger, hyper-isoler et donc rendre hyper-hermétique le système.

    Et rien ne nous permettrait alors de vérifier ce qui se passe dans cette boite noire.
    j’ai déjà vu des arguments terriblement creux et irréalistes sur la possibilité qui serait laissée de vérifier l’honnêteté du système.
    Comme, par exemple, la possibilité qu’aurait chaque citoyen d’accéder à son »compte" pour vérifier que l’enregistrement de son vote est conforme au choix qu’il a validé sur son clavier.

    Sauf que rien ne permettrait de lier ce vote unitaire avec le résultat global de l’élection. smiley

    Par ailleurs, nous savons que le traçage électronique est une arme au service du totalitarisme.

    Que ce soit

    1/ le traçage des déplacement : déjà techniquement bien avancé avec les péages autoroutiers, les GPS ds les voitures et les téléphones, les Pass Navigo, etc...
    2/ le traçage des paiements : on assiste à une dérive lente et inquiétante, sous des prétextes sécuritaires comme souvent, qui vise à réduire au maximum les paiements en liquide (des voix se sont déjà exprimées pour leur suppression totale smiley )
    3/ le traçage des échanges sur le net (mails, forums, ...)
    4/ le traçage des opinions politiques : quoi de mieux que le vote électronique !

    L’éternel argument des pro-pistages  :
    « en quoi cela dérangerait-il ceux qui n’ont rien à se reprocher ? »
    perd tout son sens quand le risque existe d’une dérive totalitaire du système.
    Chaque citoyen serait alors mis à nu, à la merci d’un pouvoir susceptible de le considérer à tout instant comme un dissident commettant des délits d’opinion ou des actes non conformes à la doctrine officielle.

    La dérive sécuritaire est patente et le profil de ceux qui la soutienne ne doit pas nous laisser indifférent.



  • Agor&Acri Agor&Acri 19 février 2010 16:13


    ..et pour compléter

    Tu dis cette autre ânerie aurelien :

    « La haine de « la finance » remonte au XIX eme siècle, largement alimentée par la gauche marxiste et l’extrême droite ».

     

    …moi je renvois les lecteurs vers ces qques célèbres citations historiques provenant de célèbres marxistes et extrémistes de droite : 


    "Si jamais le peuple américain autorise les banques privées à contrôler leur masse monétaire, les banques et les corporations qui se développeront autour d’elles vont dépouiller les gens de leurs possessions jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront sans domicile sur le continent que leurs pères avaient conquis" (Thomas Jefferson, 3ème Président des Etats-Unis, Lettre au Ministre des Finances Albert Gallatin en 1802)

    James Madison (1751-1836), quatrième Président des Etats-Unis : "L’histoire révèle que les banquiers utilisent toutes les formes d’abus, d’intrigues, de supercheries et tous les moyens violents possibles afin de maintenir leur contrôle sur les gouvernements par le contrôle de l’émission de la monnaie."

    Le 23 décembre 1913, le Congrès américain votait la loi de la Réserve Fédérale, qui enlevait au Congrès lui-même le pouvoir de créer l’argent, et remettait ce pouvoir à la « Federal Reserve Corporation ». Un des rares membres du Congrès qui avait compris tout l’enjeu de cette loi, Charles A. Lindbergh (le père du célèbre aviateur), déclara :
    « Cette loi établit le plus gigantesque trust sur terre. Lorsque le Président (Wilson) signera ce projet de loi, le gouvernement invisible du Pouvoir Monétaire sera légalisé... le pire crime législatif de tous les temps est perpétré par cette loi sur la banque et le numéraire. »


    Dans son ouvrage, The New Freedom (La Nouvelle Liberté), le Président Wilson semble avoir enfin compris, mais trop tard, combien il avait été manipulé : "Une grande nation industrielle se trouve dominée par son système de crédit. (...) La richesse de la nation et toutes nos activités sont entre les mains de quelques hommes. (...)" (Woodrow Wilson, The New Freedom : A Call for the Emancipation of the Generous Energies of a People)

     

    « Si vous voulez rester esclaves des banquiers et payer les coûts de votre propre esclavage, laisser les continuer à créer l’argent et contrôler le crédit de la nation  »
    (Sir Josiah Stamp, directeur de la Banque d’Angleterre de 1928 à 1941).

     

    Il y a un moment où il faud arrêter de ré-écrire l’histoire.



  • Agor&Acri Agor&Acri 19 février 2010 16:12

    @ aurelien

    Es-tu ignare où donnes-tu dans la désinformation ? smiley

    A propos des banques centrale, tu dis cette belle ânerie :

    "Ce monopole public est à l’origine de toutes les bulles"


    Parlons simplement de la FED (Federal Reserve US)

    1/ juste en consultant Wikipedia, tu tomberas sur cette phrase :
     « l’institution est en pratique quasiment indépendante du pouvoir politique ».

    2/ La FED est un organisme privé.  smiley

    La FED est détenue par 12 banques régionales privées
    dont les actionnaires sont...MYSTERIEUX,
    puisqu’il est impossible de savoir qui ils sont.
    Même des sénateurs américains ont essayés, encore récemment, d’obtenir ces informations : en vain.

    On sait juste qu’une partie de l’actionnariat est détenue par les banques commerciales se trouvant dans la zone géographique de l’une des « Regional Federal Reserve Banks » .

    Avoue qu’il a une drôle de tête ton « monopole public » smiley

     

    A noter : un livre de G. Edward Griffin qui en est à sa 6ème édition :

    The Creature from Jekyll Island : A Second Look at the Federal Reserve

    Griffin explique que la Réserve fédérale a été créée en 1910 sur Jekyll Island dans un club très privé de milliardaires. Il affirme qu’elle est un cartel de plusieurs banques privées travaillant contre l’intérêt public, qu’elle encourage la guerre et déstabilise l’économie.

    Parmi les 7 personnes présentes sur l’île pour fonder la Réserve, Griffin cite Nelson Wilmarth Aldrich chef de la commission monétaire du Congrès et associé de John Pierpont Morgan ainsi que beau-père de John D. Rockefeller, Abraham Piat Andrews, assistant du secrétaire au Trésor, Frank A. Vanderlip président de la National City Bank of New York représentant les intérêts des Rockefeller et de la Kuhn, Loeb & Co, Henry Davison, senior partner de la J.P. Morgan & Co., Charles Norton président de la First National Bank of New York, Benjamin Strong, tête de la JP Morgan’s Banker’s Trust Company et qui deviendra 3 ans plus tard en 1913 le premier président de la Fed et finalement Paul Warburg représentant partenaire d’affaires de la Kuhn, Loeb & Co, représentant les intérêts des Rothschild de France et de Grande-Bretagne et conservant des liens étroits avec son frère Max Warburg gérant le consortium bancaire Warburg d’Allemagne et de Hollande.

    Lorsque que le système de la fédérale réserve a été accepté aux Etats-Unis, des années après le vote de la Federal Reserve Act, les participants à cette réunion sur l’île Jekyll en 1910 ont écrit des livres et des articles. Chacun voulait tirer partie de ce qu’il avait fait. C’est la raison pour laquelle nous savons maintenant tous les détails. Ce qui est intéressant au sujet de la Federal Reserve Act, c’est que cette loi était supposée casser le cartel des banques. En fait, la loi a été écrite par les membres de ce cartel.



  • Agor&Acri Agor&Acri 19 février 2010 12:42

    Voir qui censure.
    Voir qui défend la censure
    Voir qui s’interpose à l’établissement de la vérité.
    Voir qui manipule la vérité, travestit les faits, s’exprime de façon outrageusement subjective.

    Monter des dossiers, garder des traces (videos, extraits audio, articles de presse, copies d’écran), stocker et archiver sur des supports locaux, de préférence amovibles.

    Parce que la défense habituelle de ces imposteurs qui ont pris le contrôle de la parole publique et verrouillent les débats, consiste à accuser l’accusateur de mensonge, de parti-pris, de tout et n’importe quoi...et bien pire encore.
    Et ils se serrent les coudes et se soutiennent mutuellement.

    Alors, rendez-leur la tâche impossible en produisant les documents qui révèlent ce qu’ils sont vraiment et les méthodes qu’ils utilisent.

    Je vais publier ce conseil dans plusieurs files
    car je considère que c’est une démarche positive et d’utilité publique.

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