Croa

Dans « je passerais aux lampes halogènes après avoir fini mon stock d’ampoules à incandescence. » il y a une incohérence puisque les lampes halogènes sont des ampoules à incandescence !

Par ailleurs celles-ci n’ont pas un meilleur rendement sauf en très basse tension (12V) et encore celui-ci reste-il éloigné de celui des lampes fluocompactes.

En secours je conseillerais plutôt les lampes de camping au gaz. Les lampes à pétrole sont juste bones pour la déco ! (Ou pour faire la fête, comme les bougies, puisqu’on fait maintenant du pétrôle parfumé !)

à Momo, petit retour sur la forme :

(ainsi qu’aux autres rédacteurs)

La rubrique tribune libre est pratique en ce sens qu’on peut y mettre tout est n’importe quoi, donc tout ce qui n’est pas classable et les rédacteurs en abusent un peu. Il s’y poste trop de contributions à mon avis.
Un petit effort de classement ne nuit jamais.

Concernant ce sujet, il avait plutôt sa place en « Actualités/Technologies ». Certainement y aurais-tu rencontré moins de cons  et plus d’échanges constructifs  

  Tout ce qui vole doit un jour redescendre 

Merci Morice pour cette contribution citoyenne à la sécurité des transports. 

Ton hypothèse paraît plausible. Pour le moment c’est la meilleure. J’avais cru aussi à l’hypothèse des capteurs anémomètriques sensibles au givrage et à une dislocation suite à une sortie du domaine de vol. Donc acte, ce n’était pas ça et là vraiment, je ne comprenais plus rien !

Si ton hypothèse est juste, elle manque de peu de pouvoir reposer une fois de plus la question du pilotage à deux pour laquelle la série des Airbus s’est posée en précurseur. Donc acte, il y avait trois pilotes, certaines leçons ont donc été retenues. Il semblerait pourtant que ce ne soit pas suffisant pour parer à tout et l’organisation des tours en cabine devra certainement être revue.

Concernant le précédent du Mont Sainte Odile il n’est pas exact de dire que «  l’avion et son logiciel de bord indiquant son altitude réelle avait été mis en cause ainsi que son VOR ». Ces présupposées erreurs sont normales en raison de la dynamique des écoulements au sommet d’une montagne pour ce qui est de la pression (donc de la mesure de l’altitude) et d’un mauvais angle d’attaque du VOR maximisant l’incertitude de la mesure... Bref, les vrais raisons de ce crash là étaient principalement les conditions météo (épouvantables mais appréhendables par un pilote expérimenté) et donc une aérologie difficile que les automatismes étaient incapables de gérer correctement.