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ddt99

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Une victime de plus de la France qui cherche par ses écrits à faire évoluer ce pays vers une vraie démocratie. Et c'est loin d'être gagné, car personne dans ce pays n’a envie ou l’intention de remettre en question le mauvais fonctionnement de la Justice.
Le véritable problème des victimes qui se battent dans la dignité contre l’injustice de la Justice française est que nous sommes tous plus ou moins isolés. Et c’est sans doute pour cela que nos gouvernants et dirigeants n’en ont rien à faire de nous.
Tous nous ignorent, car nous ne faisons pas de bruit et ne faisons aucun dégât.
Nous n’existons pas.

Tableau de bord

  • Premier article le 05/08/2010
  • Modérateur depuis le 26/11/2010
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Derniers commentaires



  • ddt99 ddt99 18 mars 2016 17:38

    @Sozenz

    Concernant l’honnêteté et la violence !

    Il n’y a pas photo, l’honnêteté doit primer en toute circonstance, mais cela ne m’empêche pas de m’interroger et/ou de comprendre lorsque des gens disjonctent et commettent l’irréparable. 

    Beaucoup de gens n’ayant pas ma force de caractère auraient commis l’irréparable, soit par le suicide, soit par la violence.

    Et ma comparaison entre ma qualité de victime de l’administration qui m’a interné pour avoir « manifesté des idées différentes  » et qui m’a fait juger sur un Décret-loi abrogé, et le fait que si j’avais commis ce qui m’était reproché, je n’aurais pas été d’avantage puni, était purement analytique. 

    D’où ma conclusion : le crime à de beaux jours dans ce pays, car la peine encourue par une victime et un criminel est quasi équivalente.

    Dix ans de galère judiciaire pour la victime que je suis, et dix ans de prison pour un meurtrier, avec remise de peine, etc., nourri, logé, etc.

    Je peux comprendre que certains choisissent la voie de la violence plutôt que le respect de la Loi et le dialogue.



  • ddt99 ddt99 18 mars 2016 16:54

    @Crab2

    C’est sur, mais dans mon cas, 58 ans de conditionnement à nous faire croire que la France est le pays des droits de l’homme ont laissé des traces.

    J’ai vite compris, même s’il a fallu m’expliquer longtemps que la France est bien le pays des droits de l’homme violés et bafoués.

    Le plus difficile est de le prouver, maintenant j’ai toutes les preuves qu’il me faut.



  • ddt99 ddt99 18 mars 2016 16:43

    @Sozenz

    Il y a une ligne entre le bien et le mal, lorsqu’elle est franchie, on ne peut plus être un homme de bien.

    Suis-je un homme de bien ?

    Je le pense, car je n’ai jamais franchi cette ligne, malgré tout ce qui me fut opposé à tort arbitrairement et dans illégalité la plus totale. Ma morale m’a toujours interdit de me rendre justice, mais aujourd’hui, je me demande s’il n’eut pas mieux valu que je me satisfasse au préalable de tout ce qui m’est arrivé par la faute de ces voyous de la République.

     

    Puisque vous me demandez de méditer sur les hommes de bien et de mal

    Je vous retourne la méditation sur ces trois questions suivantes :

    Tous ces hommes dits de bien que sont les juges, les magistrats, les médecins et autre policiers qui ont agi arbitrairement et illégalement contre moi, sont-ce des hommes de bien ou des hommes de mal ?

    Et vu qu’ils œuvrent au nom du peuple français, les Français sont-ils des gents de bien ou de mal ?

    Vous-même, maintenant que vous êtes informé des crimes judiciaires qui ont été menés contre moi, si vous ne dénoncez pas les agissements criminels des agents de l’État français, êtes-vous un homme de bien ou de mal ?



  • ddt99 ddt99 18 mars 2016 16:24

    @Daniel Roux

    Si vous souhaitez plus d’info sur mes mésaventures avec la Justice, vous les trouverez au travers de mes précédents articles ou sur mon site, que je viens de mettre en ligne qui et toujours en construction.

    Je n’ai pas été poursuivi pour « trouble à l’ordre public », délit qui peut ne reposer que sur la parole de l’agent de police, mais sous l’autre délit tout aussi invérifiable et qui n’a tenu que sur la parole du maire de ma commune, pour « menace et acte d’intimidation sur une personne investie d’un mandat électif public ». Une accusation sans aucun fondement qui s’est terminée par un non-lieu, mais peut-importe, le mal était fait.

    Le principe du contradictoire, laissez-moi rire, il n’en a que le nom, car le juge écarte par déni tout ce qui ne va pas dans le sens recherché, et ne tient compte que de ce qu’il veut bien retenir, tout ce qui fut en ma faveur, a été dénié, et dans ces conditions, n’importe qui peut être condamné.

    Avec votre histoire, vous confirmez ce que j’écris, tous ces gens de justice sont des Dieux qui se connaissent tous et agissent les uns en défenses des autres.



  • ddt99 ddt99 6 février 2016 19:15

    @TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE

    Pauvre France ?

    Non ! Pauvre français ! Pauvre de nous !

    Lesquels sont les idiots, les élus bien payés, ou bien ceux qui subissent leur loi ?

    Ils seraient bien bêtes de s’arrêter de nous pressuriser, de nous ponctionner, de nous interner, de nous enfermer, de nous juger, etc. on les laisse faire, et pire, on renouvelle inlassablement leurs mandats, pour qu’ils continuent à nous pressuriser, à nous ponctionner, à nous interner, à nous enfermer, à nous juger, etc.

    De la démocratie française, il n’en reste que le nom.

    Nous sommes déjà dans une France totalitaire qui refuse de l’admettre.

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