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Fergus

Fergus

Autodidacte retraité au terme d'une carrière qui m'a vu exercer des métiers très différents allant d'informaticien à responsable de formation, je vis à Dinan (Côtes d'Armor). Depuis toujours, je suis un observateur (et de temps à autre un modeste acteur) de la vie politique et sociale de mon pays. Je n'ai toutefois jamais appartenu à une quelconque chapelle politique ou syndicale, préférant le rôle d'électron libre. Ancien membre d'Amnesty International. Sur le plan sportif, j'ai encadré durant de longues années des jeunes footballeurs en région parisienne. Grand amateur de randonnée pédestre, et occasionnellement de ski (fond et alpin), j'ai également pratiqué le football durant... 32 ans au poste de gardien de but. J'aime la lecture et j'écoute chaque jour au moins une heure de musique, avec une prédilection pour le classique. Peintre amateur occasionnel, j'ai moi-même réalisé mon avatar.

Tableau de bord

  • Premier article le 31/07/2008
  • Modérateur depuis le 22/11/2008
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Derniers commentaires



  • Fergus Fergus 26 septembre 2013 11:59

    Bonjour, La Râleuse.

    Bravo pour ce coup de gueule lucide et pertinent dans son constat !

    Contrairement à ce que dit Gaijin (que je salue), cette culture ne nous a pas été imposée, nous nous la sommes imposée nous-mêmes, le grand tournant ayant été la mode yé-yé des années 60, et l’apparition de tous ces chanteurs aux noms américains : Johnny Hallyday, Dick Rivers, Eddy Mitchell et tant d’autres, passés à la trappe, à l’image de ce gars que j’ai bien connu et qui n’a pas percé malgré son patronyme de scène dans l’air du temps : Samy Jones ! 

    Le phénomène des tropismes exotiques n’est pas nouveau : au cours de l’histoire, il y a eu des modes, plus ou moins durables, qui ont mis sous les feux de la rampe l’Egypte ou les pays colonisés d’Afrique noire ou d’Asie, mais cela concernait principalement les classes bourgeoises. La différence est sans doute venue de l’énorme puissance américaine qui s’est emparée de cet attrait apparu lors des sixties (avant il était très marginal) pour envahir progressivement tous les secteurs de la société en s’appuyant sur des jeunes de plus en plus autonomes relativement à leurs parents et assez largement conditionnés par l’émergence des médias audio de masse.

    Le plus désespérant est que le mouvement se poursuit et phagocyte désormais les cultures asiatiques et africaines. Nous allons donc vers une culture unique, et nos bons vieux patrimoines culturels ne seront plus bientôt que des objets de musée. Hélas !

    Cordialement.

     



  • Fergus Fergus 26 septembre 2013 10:09

    Bonjour, Morvandiau.

    Malheureusement d’accord avec ce triste constat.

    Le pire en matière agricole étant l’évolution des élevages de volailles et de porcs, passée, à de rares exceptions près, en quelques décennies du plein air à des univers concentrationnaires où les exploitants ne sont plus que des kapos pilotés par des groupes industriels, sans la moindre marge de manœuvre. Je suis sidéré de constater comment certains paysans ont pu, sans broncher, accepter cette évolution.



  • Fergus Fergus 26 septembre 2013 10:00

    Bonjour à tous.

    D’accord avec Richard sur le fait que Merkel a probablement tenté d’obtenir la majorité absolue au Bundestag. Son objectif n’était donc pas, à mon point de vue, de mettre en place une politique de centre-gauche, mais bel et bien une politique allemande et européenne dominée par l’ « euromark » comme le souligne Richard avec pertinence, mais une politique probablement teintée de social par la création d’un salaire minimum.

    Un pari raté, au grand dam (malgré ses sourires) de la Chancelière qui se trouve confrontée à la nécessité de mettre sur pied une coalition avec le SPD. Des socialistes qui vont vendre très cher leur ralliement, la culture de consensus allemande imposant de facto cette coalition. Très cher car il ne faut pas oublier que la 1ere coalition du même type avait coûté 11 points au SPD, pourtant les véritables maîtres d’œuvre de la politique suivie alors par le gouvernement Merkel .

    Tout le talent de la dame est là : dans cette faculté à récupérer les qualités des autres à son profit. Mais comme dit le proverbe allemand  : « Gebranntes Kind scheut das Feuer », l’enfant brûlé craint le feu, dont le sens  équivaut à notre « Chat échaudé craint l’eau froide ». Un proverbe que les caciques du SPD ont, plus que jamais présent à l’esprit !

    Cordialement.



  • Fergus Fergus 26 septembre 2013 09:38

    Bonjour, Taverne.

    Bravo pour ce florilège original.

    J’aime beaucoup « La biaiseuse », mai aussi la plupart des chansons évoquées là, des plus entraînantes, style « La matchiche » aux plus idiotes, style « Pétronille, tu sens la menthe », en passant par le comique-troupier, style « L’anatomie du conscrit ».

    Ecouter ces vieux titres, c’est un bon moment de détente garanti.



  • Fergus Fergus 26 septembre 2013 09:18

    Bonjour, Alinea.

    En réalité, ce qui faisait la beauté du travail paysan d’autrefois, même lorsqu’il était rude et porteur de désagréments, c’était son caractère à la fois artisanal et solidaire. Après est venu le temps des regroupements d’exploitations, puis celui de l’industrialisation.

    Des moissonneuses-batteuses, seule une petite minorité de paysans en possèdent une en Auvergne. De nombreuses Gaec n’ne sont même pas équipées. Il est vrai que l’on est là (les Limagnes mises à part) sur des exploitations principalement d’élevage où les cultures céréalières sont plus marginales, et cela d’autant plus que les rendements sont médiocres.

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