• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Imhotep

Imhotep

Quelques études, un peu de sport antan, encore un peu de temps en temps, j'aime lire. J'ai l'espoir que la générosité et l'honnêteté puissent, le plus possible, guider nos actes. 
 
A propos, vous pouvez toujours télécharger gratuitement ici  : Les douze lunes du guide ou in Sarkozyae annus horribilis
 
Et également gratuitement cet ouvrage, une biographie pamphlétaire non autorisée que vous pouvez agrémenter de cette vidéo (une lettre d'amour) : Monsaigneur Lefebvre
 
Un autobiographie apocryphe de Nicolas Sarkozy tout autant gratuite : Avant je n'étais pas Carlito.
 
Et un dossier complet gratuit sur l'affaire Tapie/Adidas ici et les affaires de Woerth .
 
Et un petite nouvelle tout autant gratuite : Révolution 
 
 
Et enfin Sarkozy et ses méfaits :
 

Apple Store
Le Sarkozyland et ses méfaits
 
Le Sarkozyland et ses méfaits(issuu)
 
Par ailleurs, en 2012, rédaction d'une petite histoire du Mouvement Démocrate et de François Bayrou
 

Tableau de bord

  • Premier article le 23/10/2007
  • Modérateur depuis le 27/11/2007
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 664 4284 34130
1 mois 1 11 243
5 jours 0 1 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 2473 1899 574
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Imhotep Imhotep 14 novembre 2020 09:20

    @CN46400
    L’article du Lancet a été immédiatement critiqué et a été retiré très rapidement. A l’inverse l’étude de Raoult publiée en 24 heures par son pote a été revue à la demande de la revue elle-même à un spécialiste neutre, ce spécialiste après étude a déclaré cette étude nulle et dangereuse et a demandé son retrait. La revue du pote de Raoult a refusé de retirer l’étude et n’a mis que simplement la mention : débat scientifique. Et il a fallu attendre juillet pour que cette revue soit publiée. C’est là : 

    Le parisien, le 13 juillet 2020, dans une « revue » critique, publiée dans la revue The International Journal of Antimicrobial Agents, le chercheur hollandais Frits Rosendaal démonte en dix points le protocole du directeur de l’IHU de Marseille.


    Le Parisien nous apprend qui est Frits Rosendal : professeur d’épidémiologie clinique et président du département d’épidémiologie clinique au sein d’un l’hôpital universitaire aux Pays-Bas. Ponte de la médecine dans son pays, il a été distingué du prix Spinoza, la plus haute distinction hollandaise en termes de prix scientifique.


    Il est intervenu à la demande de la revue dans laquelle avait été publiée l’étude de Didier Raoult afin de la faire évaluer. Rosendaal, qui ne l’avait pas lue, a décidé de l’étudier comme il le ferait pour toute autre étude soumise à son regard.


    « Cette étude souffre de lacunes méthodologiques majeures qui la rendent presque sinon complètement non informative ». […] « Le ton du rapport, présenté comme une preuve d’un effet de l’hydroxychloroquine et même en recommandant son utilisation, est non seulement non fondé, mais, étant donné la demande désespérée d’un traitement pour Covid-19, couplée avec le côté potentiellement de graves effets de l’hydroxychloroquine, totalement irresponsable ».


    Le professeur démonte en dix points l’étude de Raoult. Alors que cette revue a été faite en avril, elle n’est publiée que le 13 juillet (plus de trois mois après quand il a fallu 24 heures pour publier l’étude de Raoult) et, de plus, alors que Rosendaal demande le retrait de l’article de Raoult, ce ne sera pas le cas : « J’ai recommandé de la retirer, car elle n’était pas informative, et à mon avis avec des conclusions de grande portée qui étaient sans fondement et peut-être trompeuses. L’ISAC a décidé de ne pas se rétracter, mais de considérer cela comme un débat scientifique. J’ai alors pris la position qu’il serait important de rendre cette revue publique, et j’ai insisté pour la publier sans qu’une seule lettre ne soit modifiée. Je pense qu’une action en justice était à craindre à ce sujet, ce qui retarderait la publication de la revue, et ces délibérations ont donc pris du temps ».



  • Imhotep Imhotep 14 novembre 2020 09:13

    @zygzornifle
    Alors que Raoult ne soigne que ceux qui guérissent tout seuls, et que son traitement entraîne une surmortalité entre 7 et 17 %, les vrais médecins eux sauvent des vies (anticoagulant, corticostéroïdes, oxygénation précoce etc.). Entre le début de l’épidémie et aujourd’hui les vrais médecins ont fait des progrès extraordinaires. Quand en début d’épidémie il y avait 100 morts, il n’y en a plus que 30 pour les mêmes cas grâce à une meilleure prise en charge et de soins améliorés (60 % de moins de passage en réanimation, et 50 % de moins de mortalité en réanimation). Les vrais médecins soignent Raoult fait des vidéos.



  • Imhotep Imhotep 14 novembre 2020 09:09

    @Imhotep
    PS tous ces éléments font que :
     dans ses études Raoult a sorti tous les patients qui ne pouvaient recevoir le traitement donc a soli les personnes qu’iront le plus susceptible de décéder ce qui fausse ses résultats
     la nécessité de faire des analyses poussées avant l’administration de la molécule et le suivi important pendant son administration fait que l’argument de son faible coût tombe totalement à l’eau. Au coût du médicament il faut ajouter celui des analyses cardiaques (ophtalmiques, rénales, hépatiques etc.) et donc ajouter le coût des analyses de ceux aussi qui ne suivront pas le traitement. Il faut ensuite ajouter le coût plus élevé du suivi médical spécifique à ce traitement.



  • Imhotep Imhotep 14 novembre 2020 09:05

    Notice d’avertissement du plaquent diffusée par SANOFI fabricant de l’hydroxychloroquine, notice qui ne peut être lise en doute :

    Contexte du problème de sécurité


    À ce jour, les preuves cliniques sont insuffisantes pour tirer des conclusions sur l’efficacité clinique et l’innocuité de l’hydroxychloroquine dans la gestion de COVID-19, qu’elle soit utilisée en monothérapie ou en association avec tout autre médicament tel que l’azithromycine.


    L’hydroxychloroquine a une longue demi-vie d’élimination terminale allant de 30 à 60 jours.


    L’hydroxychloroquine est connue pour prolonger l’intervalle QT chez certains patients de manière dose-dépendante. Ce risque cardiaque est multifactoriel et est potentialisé par l’association d’hydroxychloroquine avec d’autres médicaments connus pour prolonger l’intervalle QT, par exemple les antiarythmiques de classe IA et III, les antidépresseurs tricycliques, les antipsychotiques, certains anti-infectieux (comme l’azithromycine), ainsi que par les conditions sous-jacentes du patient :

    Maladie cardiaque, insuffisance cardiaque, infarctus du myocarde,

    Bradycardie (<50 bpm),

    Antécédents de troubles du rythme ventriculaire,

    Hypocalcémie, hypokaliémie et / ou hypomagnésémie non corrigées.

    La prudence est également recommandée chez les patients atteints d’une maladie hépatique ou rénale, chez qui, une réduction de la posologie d’hydroxychloroquine peut être nécessaire.

    Un nombre important de cas graves et potentiellement mortels d’allongement de l’intervalle QT, de torsade de pointe, de syncope, d’arrêt cardiaque et de mort subite ont été signalés au cours des dernières semaines dans le cadre de la gestion de Covid-19. Dans la plupart de ces cas, l’hydroxychloroquine a été co-administrée avec un médicament connu pour induire un allongement de l’intervalle QT (par exemple l’azithromycine). La majorité des patients se sont rétablis après l’arrêt de l’hydroxychloroquine.

    Compte tenu de la gravité de ces cas, l’utilisation d’hydroxychloroquine « off-label » dans la prise en charge de COVID-19 doit être soigneusement évaluée par les prescripteurs et son utilisation en association avec tout médicament prolongeant le QT doit être supervisée par un médecin à l’hôpital, et une surveillance étroite des patients doit être effectuée, comprenant au moins les éléments suivants :

    Utiliser la plus faible dose d’hydroxychloroquine possible

    Effectuer une surveillance cardiaque au début et pendant le traitement

    Surveiller régulièrement le potassium et le magnésium sériques

    Envisager l’arrêt de l’hydroxychloroquine si le QTc augmente de >60 millisecondes ou
    QTc absolu > 500 millisecondes
    Signalement :
    Les professionnels de santé doivent signaler toute utilisation hors indications approuvées, avec ou sans effets indésirables associés à l’utilisation de l’hydroxychloroquine, conformément au système national de déclaration spontanée :
    Swissmedic recommande aux personnes concernées d’utiliser le système électronique ElViS. Toutes les informations nécessaires sont disponibles sous www.swissmedic.ch
    .



  • Imhotep Imhotep 14 novembre 2020 09:00

    @CN46400
    Ah oui ?

    Interdit de 12 publications prestigieuses pour fraude

    A perdu le label CNRS et INSERM pour articles médiocres, fraudes, inconsistances des recherches

    Ses articles sont refusés dans les revues internationales et ne sont publiées que dans des revues de secondes zones ou bien dans des revues dirigées par ses collaborateurs notamment les 3 sur l’hydroxychloroquine

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité

365 derniers jours

Articles les plus lus de cet auteur

  1. Ukraine - Quand les media scénarisent la guerre

Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv