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Le Hérisson

Le Hérisson

Journaliste.
J’aime l’information même si elle déplait Je pense que c’est en réalité l’un des premiers droits de l’homme. Je suis passionné de sémiologie, d’actualité, de psychologie, notamment. .
Formation : Paris IV, sémiologie, direction de projets socioculturels. Actuellement en formation psychanalyse, psychosomatique.
Autres centres d’intérêt : psychanalyse, médias, art contemporain.

Tableau de bord

  • Premier article le 03/10/2006
  • Modérateur depuis le 17/10/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Le Hérisson Le Hérisson 7 janvier 2010 18:15

    « Tout est dit. On dépense l’argent des contribuables locaux pour faire la promo des élus. Je ne pense pas que l’on puisse parler de presse libre et de journalisme, en l’espèce. »

    Non, on peut être journaliste local sans pour autant faire « la promo » des élus. Le métier a changé. D’autre part, la presse quotidienne locale, par exemple, peut être suspectée, elle aussi, de faire la promo des élus.



  • Le Hérisson Le Hérisson 7 janvier 2010 15:14

    Cela intéresse tout le monde, la liberté de la presse...



  • Le Hérisson Le Hérisson 29 décembre 2009 17:34

    « J’ai une explication à vos questionnement : trouver un porte parole honnête dans les rangs de l’UMP s’avère être une sacrée gageure sans doute. »

    Ou alors, on choisit de faire parler des clowns, pour amuser la galerie et laisser passer ce message subliminal : « Voyez, il y a toujours un c... plus c... que moi ! »



  • Le Hérisson Le Hérisson 29 décembre 2009 12:52

    A l’auteur,

    Merci pour votre article qui décrit assez bien les limites du système du « journalisme participatif », si on peut l’appeler ainsi.
    Moi-même, j’ai écrit un peu plus d’une vingtaine d’articles sur Agoravox. Quand j’observe ceux qui furent les plus lus, c’est un peu désespérant. Mon papier le plus lu fut un article sur Le Pen, puis ensuite, sur la Franc-maçonnerie ou sur Ségolène Royal.. Ce n’est pas, loin de là, les papiers que je juge les plus intéressants !

    Par exemple, j’ai écrit aussi un article sur le malaise du couple, ou encore la dépression, qui arrivent en queue de mon petit peloton de rédacteur et que je juge bien plus percutants. Mais ils ont eu bien peu de commentaires, alors qu’il s’agit pourtant de sujets qui intéressent normalement beaucoup de monde.

    Etant journaliste, j’écris sur Agoravox en respectant la déontologie de ma profession, c’est à dire que j’essaie de ne pas verser dans le commentaire subjectif, mais je vérifie les faits et j’essaie d’écrire, non pas sur les sujets qui vont faire un « buzz », mais à propos de ceux que je connais.

    Le problème est qu’Agoravox hiérarchise les articles en fonction des commentaires ou du nombre de lectures, à la différence d’un vrai journal. Si, par exemple, on écrit un article sur Israël, pro ou anti, on aura toutes les chances de créer le buzz et de se retrouver en haut de la une, même si les informations qu’on livre ne sont pas exactes ou subjectives. C’est la limite du journalisme possible à chacun sur le Net.



  • Le Hérisson Le Hérisson 29 décembre 2009 12:41

    A l’auteur,

    Je connais assez bien D. Paillé car il fut député dans ma région. Que ce monsieur soit encore sollicité par les médias me laisse songeur. D’abord, il a été condamné en 2004 pour abus de confiance :
    « Le 26 mars 2004, Dominique Paillé est condamné par le tribunal correctionnel de Paris à une peine de dix mois de prison avec sursis et 30 000 euros d’amende, pour « abus de confiance » dans le cadre d’une affaire privée. Il a ainsi prélevé 40 000 euros pour ses voyages privés et des dépenses personnelles dans les comptes de l’association Appel Europe, qu’il avait créée[6]. »

    Ensuite, alors qu’il était député dans le nord des Deux-sèvres, région historiquement de droite, (berceau des guerres de Vendée), il a réussi ce tour de force de se faire battre (pour la première fois depuis la révolution française dans cette région !) par un homme de gauche, très bien au demeurant, Jean Grelier.

    N’empêche, malgré ses casseroles, D. Paillé continue à faire entendre sa voix...

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