Franchement
plus que de la peur, c’est une certaine lassitude que j’éprouve vis-à-vis de l’islam.
Cette religion est gonflante. Entre l’islam et le reste du monde, le divorce
est consommé. Bien sur tous les musulmans ne sont pas des poseurs de bombes ou
des pratiquants de l’excision. Néanmoins je n’ai jamais rencontré de musulman
libéral : droit de la femme, avortement, droit à la critique de l’islam,
etc... sont pour eux des épouvantails. Il n’y a pas de dialogue possible avec l’islam,
la seule attitude possible avec les musulmans est la fermeté. Vous n’aimez pas
ce film, on se passera de votre assentiment.
Bien sur, mais de
la à entretenir une autocensure il y a une marge. Et c’est malheureusement ce
qui se passe dans les médias, soucieux de critiquer pesamment ce film, pour
rester dans le politiquement correct. Mais en quoi ce film serait-il plus digne
de respect que le prophète ou le livre que le livre qu’il représente. La toile
est pleine de sites soulignant les incohérences et les intolérances de l’islam.
Alors faut-il sacrifier tout esprit critique pour
éviter de jeter de l’huile sur le feu, en espérant par là encourager la
coexistence entre des civilisations divergentes ? Ou bien ne vaudrait-il
pas mieux mettre les pieds dans le plat en affirmant qu’il est vain voire dangereux
d’espérer s’entendre avec une religion qui ne tolère pas le blasphème ?
Parler de la mort
aux enfants ? Pourquoi pas. L’intérêt de la chose serait donc de minimiser l’angoisse
métaphysique de l’enfant.
Mais que leur
dire exactement ? Qu’en son âme et conscience on n’a pas la moindre idée de
ce qu’il y a après ?
Ou bien leur transmettre
une foi religieuse ? Les personnes religieuses sont elles vraiment plus
sereines que les athées ou les agnostiques ? Lorsque je constate l’hystérie
que peut déclencher un simple film chez les musulmans, je doute fortement que
ces personnes sont sereines ou le seront à l’instant de leur mort.
Sans doute faut-il aborder la question avec les
enfants qui manifestent une certaine sensibilité aux questions existentielles
pour ne pas les laisser seul face à leurs questions. Pour les autres laissons
les profiter de leur innocence.
Le jour ou les
musulmans admettront qu’on a le droit de critiquer leur religion même à travers
un film ou des caricatures, alors on pourra commencer un dialogue avec eux.
Pour l’instant même les plus modérés d’entre eux ne sont pas crédible quant ils
parlent de tolérance et de respect.
J’avoue que cet acharnement de certains prétendus intellectuels
à défendre cette religion intolérante et aberrante me sidère. Ca rappelle l’acharnement
des communistes à défendre naguère des états dictatoriaux qui se sont d’ailleurs
soit effondrés soit réformés économiquement.
Il est sur que vu
le traumatisme des salariés de la poste, on va les voir quitter en masse cette
entreprise esclavagiste. Surtout ceux qui on un statut style fonctionnaire d’ailleurs.
Ils seront mille fois mieux lotis chez Peugeot par exemple.