Mes
parents m’obligeaient à manger les légumes ce que je déteste encore aujourd’hui.
Je préférais nettement le dessert. Mais je ne me rappelle pas avoir poussé des
cris de douleur quand on m’a dit : mange ta soupe. Ceci dit si on m’avait
coupé à vif un bout de quequette à cet âge la, je suis sur que je m’en rappellerai
avec nettement moins de tendre nostalgie.
Question 2 : Comment voulez vous qu’un musulman ou
un juif qu’on a endoctriné méthodiquement depuis le berceau ait encore le
moindre sens critique arrivé à l’âge adulte et émette le moindre doute sur ce
genre de délire religieux. Posez plutôt la question au pauvre gosse terrorisé le
jour de sa circoncision, s’il n’aimerait pas être ailleurs le jour béni de
cette cérémonie aberrante.
Bien
sur, mais je pense que Schweizer veut dire que remplacer l’horreur
wahabite-musulmane par l’abomination islamiste aurait certes l’avantage de la
simplification, mais ca ne suscite quand même pas des torrents d’enthousiasme.
Curieusement ca reviendrait à remplacer une dictature politico-religieuse
honnie par le peuple, par une dictature religieuse ou le peuple serait son
propre tortionnaire.
Néanmoins je me permets à cet endroit de suggérer histoire
de détendre l’atmosphère, ceci sans la moindre prétention au sérieux et parce
que je me sens d’humeur badine, qu’on remplace les radars par des Panzerfausten.
L’effet dissuasif serait garanti. Le seul ennui c’est qu’on aurait du mal à
collecter les amendes après la sanction.
La sécurité routière
est l’illustration du stupide principe de précaution. Paroxysme maladif qui
pousse à enquiquiner l’automobiliste au maximum.
Assez de gendarmes couchés que les voitures traversent
en douceur avant de donner un vigoureux coup d’accélérateur une fois l’obstacle
passé. Assez de pistes cyclables ou l’on voit passer un vélo toutes les 2
heures et qui rétrécissent les voies automobiles. Assez de limitations à 30 histoires
de punir l’automobiliste qui ose troubler la quiétude d’un patelin paumé. Assez
de radars qui ponctionnent les automobilistes pour assainir le budget de l’état,
trop lâche pour s’attaquer aux corporatismes qui l’empêchent de tailler dans
ses effectifs pour réaliser enfin des économies significatives.